Sharemanga: Le fait du jour ! - Sharemanga

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Le fait du jour ! qu'est ce qui vous a marqué dans l'actualité du moment ?

Posté jeudi 02 avril 2009 à 13:18 (#3241) L'utilisateur est hors-ligne   Doudy 

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Voir le messageMorpheus14, le 02/04/2009 à 12:48, dit :

:rolleyes: doudy Image IPB

... c'te honte. Dis Doudy, tu sais que Junta en fait c'est un saturnien et qu'il a 6 yeux et 4 oreilles?
:lol:
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Posté jeudi 02 avril 2009 à 13:49 (#3242) L'utilisateur est hors-ligne   Vashu-San 

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Pour la peine Doudy tu sera le seul à ne plus avoir le droit de fumer dehors ^^
Sinon :


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Et Michelle Obama posa sa main sur le dos de la reine...

La reine a accueilli son douzième président américain avec ce qu'elle a de plus précieux : son sourire éclatant, sa main molle et ses fins de phrases inaudibles. Insigne faveur, Elizabeth II a invité Barack Obama et son épouse Michelle dans sa salle d'audience privée située dans ses appartements du premier étage de Buckingham Palace, auquel même ses plus proches conseillers n'ont jamais accès.

La conversation à bâtons rompus, sans autres témoins que les conjoints, a eu lieu dans son salon personnel aux murs vert pâle et or, décoré de porcelaines Wedgwood et de portraits de parents éloignés.

A la demande de son premier ministre, le monarque a déroulé son tapis rouge élimé pour célébrer pendant vingt minutes "la relation particulière" entre les Etats-Unis et son ancienne tutelle coloniale, l'Angleterre. Il y avait urgence en la matière.

En effet, après l'investiture, Barack Obama avait rendu à l'ambassade britannique à Washington le buste de Winston Churchill que Tony Blair avait prêté à George W. Bush, lequel l'avait mis dans le bureau Ovale. A la fin février, le porte-parole de la Maison Blanche avait ramené ces liens historiques au simple rang de special partnership ("un partenariat spécial"). Le 2 mars, lors de la visite préparatoire de Gordon Brown à Washington, seule une brève séance de questions-réponses dans le bureau Ovale avait été organisée pour l'occasion. Gordon Brown avait reçu de surcroît un coffret de vingt-cinq DVD de classiques américains qui n'étaient pas configurés pour l'Europe.

"Dans l'imagination des gens en Amérique, je pense que ce que la reine défend, sa dignité et sa politesse, ce qu'elle représente, c'est très important" : au cours de la conférence de presse au Foreign Office, Barack Obama a passé sous silence ces bisbilles. Peut-être parce que sa tâche s'annonçait rude : rivaliser avec les deux présidents favoris d'Elizabeth II, Eisenhower et Reagan.

Pas de souci à se faire. Courtois, affable, élancé, le chef de l'exécutif est le genre d'homme que la souveraine apprécie (quoique, en lieu et place de DVD, il ait apporté un iPod à la reine). Michelle Obama pouvait, en revanche, nourrir quelques inquiétudes. Aux yeux de la locataire de "BP", qui déteste les féministes, les first ladies doivent se conformer aux modèles "grand-mère" façon Barbara Bush, "glamour" style Jackie Kennedy, "dame de bonne volonté" à la Rosalind Carter ou "fantomatique" à la Pat Nixon.

REGARD ASSASSIN

Puis soudain, à la stupéfaction du protocole, Michelle a eu l'audace de lui poser la main sur le dos. Elle a eu droit à un regard assassin de la reine. Sa Majesté, qui a eu un petit geste de recul, a toutefois su se montrer indulgente, blâmant le décalage horaire. Pour ce crime de lèse-majesté, il y a quatre siècles, Michelle aurait pu perdre la tête sur le billot d'un échafaud Tudor façon sixième épouse d'Henry VIII.

Les thèmes abordés ont été politiquement neutres, et aucun procès-verbal n'a été rédigé. Aucune boisson n'a été servie. Une réception au champagne devait suivre dans trois salles somptueuses du rez-de-chaussée comprenant des toiles de la collection royale - Rubens, Rembrandt et Canaletto - à donner le vertige.

Aux yeux des Obama, "Ma'am" sera restée un mystère jusqu'au bout. C'est la règle. Faute de quoi, le trône risque de devenir une chaise.

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Posté jeudi 02 avril 2009 à 14:13 (#3243) L'utilisateur est hors-ligne   Alexkiddmw 

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Et la news sur Danone Vs les yaourtières c'était mon poisson d'avril :rolleyes:

Posté jeudi 02 avril 2009 à 18:59 (#3244) L'utilisateur est hors-ligne   Morpheus14 

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Bon et bien.....

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Hadopi : la suspension de la connexion à l'Internet votée à l'Assemblée

L'article 2 du projet de loi Création et Internet, où figure notamment le principe d'une suspension de l'abonnement à l'Internet en cas de téléchargement illégal après une "riposte graduée" (deux mises en garde) a été adopté à l'Assemblée nationale, jeudi 2 avril.

La quasi-totalité des amendements déposés ayant été systématiquement rejetés, cet article ouvre la voie à l'adoption complète du projet de loi si décrié. Quant au débat sur l'obligation de sécurisation et de filtrage de sa ligne Internet, il aura tourné court, pointant au passage le problème de l'utilisation des logiciels libres et des logiciels antispams.

Le dispositif du gouvernement prévoit un premier avertissement avec l'envoi d'un mail, puis d'une deuxième mise en garde, accompagnée éventuellement d'une lettre recommandée, en cas de récidive dans les six mois. Pour toute nouvelle récidive dans l'année, l'internaute pourra voir son abonnement suspendu pendant un délai de deux mois à un an, avec interdiction d'en souscrire un autre pendant ce délai.

Les trente-six députés présents dans l'Hémicycle ont tout de même réussi à faire adopter, contre l'avis de la ministre de la culture, Christine Albanel, un amendement prévoyant que les abonnés à qui l'on aurait suspendu la ligne ne devront pas payer la partie couvrant la connexion à l'Internet. Un autre amendement retenu prévoit qu'aucune sanction ne pourra être prise si les ayants-droit des œuvres téléchargées résident dans un paradis fiscal.

L'examen du projet de loi doit s'achever dans la nuit de jeudi à vendredi. Une fois son vote par les députés, une commission mixte paritaire sera convoquée pour mettre au point un texte qui sera soumis aux deux assemblées le 9 avril pour un vote définitif.


Une fois de plus, ses idiots vont à l'encontre de l'europe qui a INTERDIT cette sanction :sifle:

Posté jeudi 02 avril 2009 à 19:20 (#3245) L'utilisateur est hors-ligne   cerber 

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Voir le messageMorpheus14, le 02/04/2009 à 18:59, dit :

Bon et bien.....



Une fois de plus, ses idiots vont à l'encontre de l'europe qui a INTERDIT cette sanction :sifle:


Rien n'est moins sur; Selon Numerama, le lobbying de la france auprès du conseil de l'europe est en train de vider l'amendement bono de sa substance.
A lire ici

Autre joyeuseté en bonne route, l'imposition d'un spyware sur nos machines si on veut prouver sa bonne foi (La source toujours sur Numérama). Les linuxiens apprécierons je pense...

Posté vendredi 03 avril 2009 à 00:57 (#3246) L'utilisateur est hors-ligne   Doudy 

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J'en rajoute une couche...

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La loi Hadopi votée à la sauvette par 16 députés !

Alors que le vote n'était pas prévu avant la semaine prochaine, les quelques députés présents à l'hémicycle à la fin de la discussion sur la loi Création et Internet ont été priés de passer immédiatement au vote, contrairement à l'usage. La loi a été adoptée, en attendant son passage en CMP puis au Conseil Constitutionnel.

On peine à en croire la démocratie dans laquelle on prétend vivre et écrire. Après 41 heures et 40 minutes d'une discussion passionnée sur le texte, il ne restait qu'une poignée de courageux députés autour de 22H45 jeudi soir lorsque l'Assemblée Nationale a décidé, sur instruction du secrétaire d'Etat Roger Karoutchi, de passer immédiatement au vote de la loi Création et Internet, qui n'était pas attendu avant la semaine prochaine. Un fait exceptionnel, qui permet de masquer le nombre important de députés UMP qui se seraient abstenus si le vote s'était fait, comme le veut la tradition, après les questions au gouvernment mardi soir. Ainsi l'a voulu Nicolas Sarkozy.
Les protestations du centriste Jean Dionis du Séjour n'y ont rien changé. "On est 2,5 % du Parlement", constatait-il pourtant d'un rapide calcul désolé, lui qui fut l'un des rares députés à avoir été omniprésent dans l'hémicycle pendant toute la durée du débat. Mais il a alors appris que son président de groupe François Sauvadet, qui lui ne s'est pas présenté une seule fois au débat, avait donné son accord pour ne pas fixer de date ultérieure à un vote solennel. Quant aux députés socialistes, à l'attitude décidémment bien ambigue, ils n'ont pas jugé utile de s'en émouvoir. Emballez, c'est voté. Quatre députés ont voté non (Martine Billard, Patrick Bloche et deux députés non identifiés), et une dizaine de mains se sont levées sur les bancs de la majorité pour voter oui. En tout, 16 députés étaient dans l'hémicycle au moment du vote.
Ca n'est pourtant pas rien qu'ont adopté les députés, en attendant le vote final qui suivra la Commission Mixte Paritaire du 9 avril, chargée de concilier les quelques divergences entre le Sénat et l'Assemblée.

Dans le seul et unique but affiché de protéger les intérêts d'une partie de l'industrie culturelle (et non des artistes), les députés ont créé un tribunal d'exception, l'Hadopi, qui aura pour charge d'avertir et de sanctionner des internautes dont le seul tort avéré aura été que leur adresse IP apparaisse sur des relevés d'infractions effectués, on ne sait trop par quelle méthode, par des ayants droit. Même si l'on connaît d'ores-et-déjà l'énorme risque de faux positif, le seul moyen pour l'internaute innocent de plaider sa bonne foi auprès de l'Hadopi sera d'avoir installé au préalable un logiciel de sécurisation labellisé par l'Etat, qui sera contrôlé à distance et en permanence par une société privée. Un véritable spyware imposé par l'Etat, aux conséquences funèbres, qui révèle en réalité le but principal de la loi : obliger chaque internaute à équiper son ordinateur d'un filtre, qui permettra de cacher ces pirates que l'on ne saurait voir, et surtout demain, de sacrifier la liberté d'expression. Le tout en bafouant allègrement les droits de la défense, puisque malgré la mise en place d'une usine qui sera chargée d'envoyer 10.000 avertissements par jour et de prendre 1.000 décisions de suspension par jour, les internautes qui se sentent accusés à tort n'auront pas la possibilité de contester les accusations, ou alors uniquement après leur condamnation, sans suspension de la peine. Et bien sûr, sans qu'il soit matériellement possible de démontrer son innocence, pourtant réelle, sauf à produire d'improbables preuves qui n'en sont pas.

Et l'on nous dit que "tous les artistes" sont d'accord avec cela ? Qui peut le croire ?

En tant qu'internautes, la loi Création et Internet nous est totalement égale. Elle ne changera rien, ni pour les pirates qui ont déjà trouvé les failles ni pour les artistes qui ne mettront pas un centime de plus à leur déclaration d'impôts grâce à la riposte graduée. Mais en tant que citoyens, cette violation des principes qui fondent la République nous révulse. Elle aurait pousser, en d'autres temps, à l'insurrection. Et elle poussera, c'est certain, à la désobéissance civile. Si la démocratie étatique ne s'accomode pas d'Internet, l'Internet démocratique se fera sans l'Etat.

Source : Numerama.com

Mais pfff :sifle:
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Posté vendredi 03 avril 2009 à 06:19 (#3247) L'utilisateur est hors-ligne   Thirqual 

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J'avais adoré le poisson d'avril n°1 sur ./ : Google lançait la première vraie IA (nommée CADIE) le matin, celle-ci, 4h plus tard, créait un blog dans lequel elle déclarait son indépendance.

Pour hadopi, même réflexion que pour dadvsi ya bientôt 3 ans. Les lois se vident de sens et s'écartent des comportements moyens des citoyens. Et inefficaces contre les cibles désignées. Et potentiellement dangereuses pour des gens "honnêtes" (vas-y, prouve que ton réseau est sécurisé papy !).
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Tasogare yori mo kuraki mono, Chi no nagare yori akaki mono Toki no nagare ni uzumore shi idai, Na nanji no na ni oite
Ware koko ni yami ni chikawan, Warera ga mae ni tachi fusagari shi Subete no oroka naru mono ni, Ware to nanji ga chikara mote
Hitoshiku horobi o ataen koto o ! DRAGON SLAYERS !!!

Posté samedi 04 avril 2009 à 18:58 (#3248) L'utilisateur est hors-ligne   Morpheus14 

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130 000 euros à payer pour avoir aidé à télécharger des films


Mauvais scénario pour Sébastien Budin. Ce jeune facteur de 26 ans, résidant à Mions, (Rhône) vient probablement de décrocher le César de la plus lourde sanction dans une affaire de téléchargement illégal. Ce passionné de cinéma et d'Internet vient d'être condamné à une peine d'un an de prison avec sursis et 130 000 euros de dommages et intérêts à verser à divers éditeurs de films comme la 20th Century Fox, Warner ou Disney. Son tort : avoir exploité, durant plus d'un an, un site Web baptisé « stationdivx.com », sur lequel il mettait à disposition des fiches sur des films, mais aussi des mots-clés pour chercher les oeuvres sur des plateformes de téléchargement comme Emule. Illégal, a déclaré la 5e chambre du tribunal correctionnel de Lyon dans son jugement du 5 mars. « Je ne suis pas un truand. J'incitais à télécharger, mais sans mettre les films à disposition. Je suis révolté par cette hypocrisie. On trouve les mêmes mots-clés sur Google », indique le jeune homme, un peu dépassé par les événements.

Il avait commencé par ouvrir un simple forum sur sa passion. Puis la machine s'emballe, 30 000 personnes visitent son site chaque jour. Pour financer ses serveurs, il met en ligne des liens publicitaires, crée aussi des sites pornos qui lui rapporteront 25 000 euros. La police s'intéresse à son site début 2007. Perquisition, saisie de films téléchargés, garde à vue. « La police n'a pas eu de mal à me trouver. Il y avait mes coordonnées et mon nom sur le site. Je ne m'étais pas caché car je n'avais pas le sentiment de faire quelque chose d'illégal. » Sébastien Budin a fait appel de la décision. Et a décidé de se battre pour dénoncer cette sanction « sévère ». Il a ouvert un site* dans lequel il raconte son histoire. « Quand ma mère m'a offert Internet, j'étais loin de me douter que ce serait un tel cadeau empoisonné », écrit-il. ■* www.soutenezmoi.free.fr


hum hum :crying:

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Il aidait les internautes à télécharger des films: 130.000 euros d'amende

Sur Le Post, Sébastien Budin explique que les studios de cinéma "veulent juste faire peur aux internautes".


Un an de prison avec sursis et 130.000 euros d'amende : c'est la condamnation de Sébastien Budin, 26 ans. Sa faute ? "On me reproche d'avoir télécharger pour ma consommation personnelle et surtout d'avoir fait un site pour trouver des films sur eMule", explique le jeune homme au Post.fr.

Créé en 2006, station-divx.com, qui recevait 20.000 à 30.000 visiteurs par jour, proposait des fiches sur des films et indiquait les mots clés à taper sur le site de peer-to-peer pour accéder aux fichiers. "Je ne mettais pas directement les films à disposition des internautes", précise Sébastien Budin.


Le tribunal correctionnel de Lyon a jugé Sébastien Budin coupable de complicité de contrefaçon, le 5 mars dernier. Face à ce jeune facteur, des poids lourds de l'industrie cinématographique : 20th Century Fox, Buena Vista, Paramount etc...

Contacté par LePost.fr, Sébastien Budin estime que cette sanction, tombée en plein débat sur la loi Hadopi, a un but : "passer un message fort aux internautes".

Vous vous rendiez compte à l'époque que vous preniez un risque ?
"Non, je n'ai d'ailleurs pas caché mon identité. C'est pour ça que la police m'a retrouvé facilement. Pour moi, je ne risquais rien car il y a des sites où l'on trouve directement des films et ils n'ont pas de problème."

Vous allez faire appel. Vous n'avez pas l'impression que votre procès, c'est David contre Goliath ?
"Si, mais j'ai contacté des médias et ça a pris petit à petit. J'ai aussi créé le site de soutien pour raconter mon histoire. Ce n'est pas parce que ce sont des géants qu'il faut que je me taise."

Vous pensez que vous avez une chance de gagner ?
"Alors là, si je savais... Même en arrivant au verdict en première instance, je ne pensais pas me faire allumer comme ça. Les parties civiles ont estimé un préjudice de 4 millions d'euros. Dans ce cas, pourquoi ne me demandent-ils que 150.000 euros ? Pour eux, ce n'est rien. Ils ne veulent pas d'argent, ils veulent juste faire peur aux internautes. Pour moi, cette somme est exorbitante."

Vous semblez assez serein. Vous n'êtes pas du tout inquiet ?
"J'ai été inquiet mais j'essaie de passer outre. Dans ma tête, je n'ai plus rien à perdre. Je me dis que je devrais tout payer donc je vais me battre pour moi, mais aussi pour tous les autres qui téléchargent."

Votre procès a eu lieu en plein débat sur le projet de loi Hadopi. Pensez-vous que votre sanction est donnée à titre d'exemple ?
"Le but est de passer un message fort aux internautes. Je n'ai pas été condamné pour téléchargement illégal mais pour complicité de contrefaçon. Il y a une nuance. Mais les gens vont lire les mots téléchargement, divx, sanction... et vont faire le lien."

Vous téléchargez encore ?
"Non, j'écoute la musique sur Deezer et je ne regarde plus du tout de film, je suis dégoûté du cinéma."


Posté samedi 04 avril 2009 à 20:32 (#3249) L'utilisateur est hors-ligne   jpschuck 

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Il y a quand même de la mauvaise fois chez ce soi-disant Monsieur tout-le-monde qui se finance à coup de liens publicitaires et de sites pornos allopass. Ceci dit, son tort principal est d'avoir réussi à attirer l'attention de gros poissons.
Jean-Philippe - Retrouvez vos génériques préférés sur mon blog "Un générique, un autre jour"

Posté lundi 06 avril 2009 à 10:09 (#3250) L'utilisateur est hors-ligne   Doudy 

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Au moins 27 morts dans un séisme en Italie

Le centre de l’Italie a été frappé lundi par un violent tremblement de terre, pire séisme dans la Péninsule depuis plus de dix ans, faisant au moins 27 morts selon un bilan provisoire qui pourrait encore s’alourdir.

Un bilan établi dans la matinée par des sources hospitalières, cité par l’agence Ansa, a fait état d’au moins 27 morts à L’Aquila, capitale de la province montagneuse des Abruzzes (à environ 100 km au nord-est de Rome) et ville la plus touchée par le tremblement de terre.

Les carabiniers ont comptabilisé une trentaine de disparus.

S’exprimant sur la chaîne de télévision SkyTG24, le Premier ministre Silvio Berlusconi a décrété l’urgence nationale et désigné le chef de la protection civile Guido Bertolaso comme coordonnateur des secours.

«Il faut s’attendre à de nombreuses victimes, beaucoup de blessés et beaucoup de maisons effondrées» a déclaré à la radio M. Bertolaso qui a estimé qu’il faudrait «beaucoup de temps» pour faire disparaître les traces de cette catastrophe.

Selon la protection civile, plus de dix mille maisons et édifices ont été endommagés par la secousse d’une magnitude de 5,8 dont l’épicentre se situait à 5 km sous L’Aquila.

Le centre historique de cette ville de 60.000 habitants a particulièrement souffert. La nef d’une église s’est effondrée de même qu’une partie d’une résidence pour étudiants. Un hôpital de la ville a du être évacué par peur des répliques.

De très nombreux édifices portent les traces du séismes, a constaté un photographe de l’AFP à L’Aquila. Les accès sont de la ville sont difficiles et les secours encore peu nombreux, a-t-il constaté.

«J’ai vu les pompiers de Rome en route vers la région», ajoute-t-il.

Les premières images des télévisions montrent des toits effondrés, des routes jonchées de pierre tombées de la montagne.

Des milliers d’habitants sont descendus dans les rues dans la nuit ou se sont rassemblés dans les stades de la région par peur des répliques.

La secousse a été ressentie dans tout le centre de l’Italie, de l’Adriatique à la mer Thyrénienne, et notamment dans la capitale où elle a réveillé de nombreux romains.

Une autre secousse assez forte (magnitude 4,6) avait déjà été ressentie dimanche dans la soirée en Italie du nord dans région portuaire de Ravenne, sans faire ni victime ni dégâts, selon l’agence Ansa.

L’hypocentre du séisme, qui s’est produit à 22H20 (20H20 GMT) dans la région de l’Emilie-Romagne, était exceptionnellement profond, à quelque 28 km de profondeur, ont indiqué des responsable de la sécurité publique.

En raison de sa profondeur, ces premières secousses -totalement distinctes du tremblement de terre dans la nuit dans les Abruzzes- ont été ressenties sur une large zone, et notamment dans la région des Marches, plus au sud sur la côte Adriatique.

L’ensemble du territoire italien, qui s’étend sur plusieurs plaques tectoniques, est fortement exposé aux risques de tremblements de terre. Vingt millions d’Italiens sont «potentiellement exposés au risque sismique», selon la protection civile.

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Posté mardi 07 avril 2009 à 14:40 (#3251) L'utilisateur est hors-ligne   Chris Cool 

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SCIENCES - C'est à Marseille qu'une équipe de chercheurs a réussi à modifier génétiquement un groupe sanguin...
C'est un bond en avant pour la médecine. Une équipe de chercheurs est parvenue à une modification génétique, in vitro, de cellules sanguines, révèle «France info». Une réussite qui pourrait révolutionner les transfusions sanguines et la fabrication d’échantillons de sang rare.

C’est à Marseille que cette première a été réalisée par les chercheurs de l’Etablissement Français du Sang. Ils ont mis «en culture des cellules-souches, prélevées sur du sang de cordon ombilical, et ont réussi à les modifier génétiquement pour qu’elles donnent un groupe sanguin en particulier» explique la radio.

Du sang à la demande

Alors que le besoin de sang se fait de plus en plus important, cette avancée pourra permettre dans un futur très proche de créer des échantillons de référence pour les analyses de sang. Une solution pour renforcer la sécurité des transfusions sanguines. A plus long terme, ce succès devrait permettre de produire, à la demande, des globules rouges humains du groupe sanguin nécessaire.


Source 1
Source 2

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Posté mercredi 08 avril 2009 à 10:39 (#3252) L'utilisateur est hors-ligne   Behachev 

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Téléchargement : les internautes sanctionnés devront payer leur abonnement
LEMONDE.FR avec AFP | 08.04.09 | 08h23 • Mis à jour le 08.04.09 | 09h10


La disposition centrale du texte prévoit une suspension de deux mois à un an de l'accès à Internet pour sanctionner le téléchargement illégal.

L'internaute dont l'accès à Internet aura été suspendu pour sanctionner des actes de téléchargement illégal devra continuer de s'acquitter du coût de l'abonnement auprès de son opérateur, ont décidé les parlementaires, mardi 8 avril, deux jours avant l'adoption définitive du texte.

Sept députés et sept sénateurs se sont en effet réunis en commission mixte paritaire (CMP) pour élaborer une rédaction commune du projet de loi "protection des droits sur Internet" après son examen au Sénat en octobre et à l'Assemblée la semaine dernière.

La disposition centrale du texte prévoit une suspension de deux mois à un an de l'accès à Internet pour sanctionner le téléchargement illégal. Contre l'avis du gouvernement, l'Assemblée avait décidé que l'internaute ainsi sanctionné n'aurait pas à continuer de payer le coût de l'abonnement, ce qui était prévu dans le texte initial adopté au Sénat. En CMP, les parlementaires ont rétabli le texte initial, parce que le vote de l'Assemblée réduisait significativement la portée dissuasive de la sanction et faisait "porter aux fournisseurs d'accès Internet le préjudice d'une sanction prononcée contre l'un de ses abonnés", a estimé le sénateur UMP Michel Thiollière, rapporteur au nom du Sénat. M. Thiollière a aussi estimé que "la suspension du paiement du prix de l'abonnement pose un problème constitutionnel".

Par ailleurs la CMP est revenue sur une "amnistie" votée par l'Assemblée pour les internautes qui se sont livrés à du téléchargement illégal. De même, le texte ramène de six mois à quatre mois le délai nécessaire après la sortie d'un film en salles pour son exploitation en DVD ou en vidéo. Ce délai peut être, dans certains cas, ramené à trois mois ou bien au contraire supérieur à quatre mois.

Le texte issu de la CMP doit être définitivement adopté par le Parlement jeudi lors d'un ultime vote du Sénat et de l'Assemblée. Le groupe PS à l'Assemblée a annoncé mardi qu'il préparait un recours devant le Conseil constitutionnel contre le texte, invoquant notamment "la conformité avec le droit européen".


Quel magnifique lobbyisme de France Telecom, Bouygue et consort... >_< Il n'y a même plus de soucis à se faire pour eux... Après la privatisation des services publiques, voila la privatisation des amandes.
La question est maintenant aura-t-on encore le droit de résiliation de l'abonnement :lol:
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Posté mercredi 08 avril 2009 à 10:57 (#3253) L'utilisateur est hors-ligne   Kintaro_ohe_ 

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Quand Benoît XVI écrivait dans une revue facho

Par Blaise Gauquelin | Journaliste | 08/04/2009 | 10H53Un député autrichien a déterré un vieux texte de 1998 signé du cardinal Ratzinger dans une publication nationale-allemande.



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Janvier 2009. Karl Öllinger, un député écologiste autrichien qui s'est spécialisé dans le combat contre l'extrême droite florissante dans son pays, tombe sur un hors-série de la revue Die Aula, paru à l'occasion du 150e anniversaire de la révolution allemande de 1948.

Au milieu des affabulations de négationnistes de députés d'extrême droite et de membres du parti néonazi allemand NDP, il tombe - éberlué - sur un texte signé du cardinal Ratzinger et intitulé « Freiheit und Wahrheit » (« Liberté et Vérité »).

En fait, une charge virulente contre les libertés individuelles et le système démocratique, qui aujourd'hui encore, peut être consultée à Vienne, au Centre de documentation et d'archives sur la résistance (DÖW), un organisme chargé de surveiller les mouvements extrémistes.


Embarras de l'Eglise
Dans un premier temps, le diocèse de Vienne a affirmé que le cardinal Ratzinger n'a jamais donné son feu vert pour une publication dans Die Aula : « Liberté et Vérité » était en fait un vieux texte datant de 1995, publié pour la première fois dans une revue chrétienne conservatrice.

Pas de bol, celui qui avait à l'époque négocié la publication avec le secrétaire du cardinal a gardé tous les échanges de leurs lettres : le cardinal a bel et bien, à l'époque, donné son accord par écrit pour une reproduction.

Aujourd'hui encore, les milieux extrémistes germaniques considèrent Benoît XVI comme l'un des leurs et se flattent que le souverain ait publié dans leur revue. Le hors-série est d'ailleurs en vente sur Internet !


Die Aula défend les négationnistes
Cette information éclaire d'un jour nouveau le tournant idéologique du Vatican depuis que Benoît XVI a été nommé pape. L'homme, bavarois de naissance, peut en effet difficilement expliquer aujourd'hui n'avoir pas su ce qu'était Die Aula en 1998, la revue étant publiée en langue allemande. Elle soutenait alors clairement l'ascension de et sa triste notoriété dépassait les frontières de la petite Autriche.

Die Aula défend les négationnistes et ceux qu'elle nomme les « victimes de la liberté d'expression », à savoir les hommes politiques d'extrême droite qui sont condamnés pour offense à l'islam. Elle critique les lois qui répriment les propos révisionnistes, flirte très souvent avec l'antisémitisme et tente de réécrire l'histoire récente de l'Autriche. Lors de la nomination de Benoît XVI, elle avait bruyamment fait part de sa joie.


Quelle surprise... <_<
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Merci à Az' pour la sign'

Posté mercredi 08 avril 2009 à 11:01 (#3254) L'utilisateur est hors-ligne   Vashu-San 

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Vous êtes virés ! : la télé réalité en temps de crise

Attention cette news, en raison de son contenu, pourrait véhiculer des éléments radioactifs.
La Fox annonce, sur une proposition d'Endemol (la fine équipe), un nouveau concept de télé réalité béton : Someone's Gotta Go, ou la télé réalité du licenciement en entreprise.

Le principe : une boite de moins de 20 salariés, en difficulté, doit se séparer d'un de ses employés pour faire quelques économies. Concept familier à bien trop de gens partout dans le monde en ce moment. Sauf que, et là est toute la beauté du jeu, au lieu de laisser le choix du condamné à la direction, celle-ci fournira toutes les informations nécessaires à tous les salariés sur chacun d'entre eux - salaire, évaluation etc - et les laissera décider qui doit se faire virer. Autrement dit la boucherie.

Oui, vous avez bien compris. La Fox a réussi à trouver un moyen de se faire du pognon sur le dos des licenciements entraînés par la crise.
On n'ose évoquer les multiples problèmes juridiques qu'un tel système devrait soulever, même aux Etats-Unis où le droit du travail n'est pas aussi balisé qu'en France.

On n'a parfois même plus le courage de s'indigner, le cynisme nous gagne dangereusement car nous ne sommes plus surpris de découvrir la bassesse et les horreurs que la crise peut inspirer aux chaînes de télé - à peine un haussement de sourcil à la lecture de l'info sur le Washington Post.


Ne plus donner le mauvais rôle qu'au patron, mais quel incroyable créativité peut avoir l'esprit humain, sachant profiter de tout même en temps de crise XD
A quand un jeu sur 100 employés virés seuls 20 auront la chance d'être re-embauchés et devront être désignés par l'ensemble (ça serait presque drôle de voire à quel point un groupe peut se désolidarisé dès qu'il est question d'enjeu personnel ^^).

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Posté mercredi 08 avril 2009 à 13:03 (#3255) L'utilisateur est hors-ligne   Doudy 

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Il devient pas gai le topic...

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Paulo Branco : "Ca n'est pas comme ça qu'on peut résoudre le problème du piratage"

Invité mardi soir de Frédéric Taddeï dans son émission Ce Soir Ou Jamais sur France 3 (lien Windows Media), le producteur Paulo Branco a expliqué les raisons qui l'ont poussé à publier lundi, avec d'autres, une tribune opposée à la loi Création et Internet. Il a souhaité "alerter l'opinion publique, les pouvoirs publics, les partis (politiques), pour un vrai débat". "Ca n'est pas comme ça qu'on peut résoudre le problème du piratage", assure le producteur portugais.

"Ce qui m'a surtout révolté c'est le côté répressif de la loi", explique-t-il. Il dénonce un "système un peu parano qui commence à exister dans la société française et européenne qui pense régler les problèmes par la répression".

"Le Parlement européen a voté 3 fois pour dire que l'accès à Internet est un droit fondamental, et curieusement c'est la France qui bloque. La loi transforme chacun de nous en policier, comment voulez-vous contrôler qui a vraiment accès à cet ordinateur ? C'est un peu comme si on disait qu'on rend responsable les pères des enfants qui fument", résume-t-il. "Internet donne une dimension énorme à notre civilisation, on ne peut pas être contrôlé parce qu'on a un ordinateur. On va sûrement instaurer des logiciels ou quelque chose comme ça qui vont contrôler exactement ce qu'on fait, donc on devient encore plus policier dans une société qui est déjà tellement policière".

Selon Paulo Branco, le piratage "est vraiment quelque chose qui est maintenant dans la modernité, c'est une autre façon de voir le monde, d'être présent dans le monde". "On ne peut pas par un esprit corporatiste résoudre le problème du piratage", indique le producteur, qui prône le choix d'une licence globale pour financer la création tout en laissant l'échange des oeuvres se poursuivre.

"La licence globale aurait été beaucoup plus simple à faire, je ne sais pas pourquoi elle n'a pas été adoptée. Il y a eu une pression des groupes d'ayants droits pour que toute une corporation défende cette loi (Création et Internet). Quand il y a eu les radios pirates, c'était la même chose, et ce qu'on a fait c'était une licence globale (...) Dès qu'il y a une petite chute dans un marché, par exemple le DVD, la profession rentre en panique. Or tout le monde reconnaît que les entrées en salle ont augmenté. La profession doit trouver les moyens de convaincre les gens de consommer, d'avoir accès à la culture".

"Moi producteur indépendant, je suis ravi si mes films peuvent être vus à droite et à gauche, même d'une telle façon, parce que si on produit des films c'est pour qu'ils soient vus", rappelle Paulo Branco, qui adresse une pique à Luc Besson, grand défenseur de la riposte graduée et pourfendeur du P2P. "Si Luc Besson se plaint avec le succès qu'il a en ce moment, vraiment il y a quelque chose qui ne va pas avec lui. S'il y a des films de Luc Besson qui sont téléchargés, c'est qu'ils ont acquis une notoriété telle qu'ils ont été récompensés énormément, et on peut trouver d'autres moyens pour qu'il puisse lui aussi continuer à profiter de la diffusion sur Internet".

"La licence globale rapporterait aux producteurs indépendants beaucoup plus que cette loi qui ne rapporte rien, qui coûte 90 millions d'euros pour ne rien nous rapporter à nous".

Source :Numerama.com


Et aussi :

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La ministre française de l'Intérieur, Michèle Alliot-Marie, souhaite interdire dans les manifestations le port de cagoules, derrière lesquelles peuvent se dissimuler des "casseurs".

"Ceux qui manifestent pour leurs idées jamais ne dissimulent leurs visages", a-t-elle déclaré mercredi à des journalistes à la sortie du conseil des ministres.

Si la liberté de manifester fait partie de la démocratie, a-t-elle dit, il y a aussi "des gens qui ne viennent pas du tout pour la manifestation mais pour casser" et commettre des exactions, "dissimulés derrière des cagoules".

Elle a cité l'exemple des violents incidents qui ont marqué les manifestations anti-Otan vendredi et samedi à Strasbourg et la manifestation nationaliste corse de samedi à Bastia.

Michèle Alliot-Marie a demandé une réflexion à ses services "pour, éventuellement, introduire dans la lopsi (loi d'orientation et de programmation pour la sécurité intérieure, en préparation) des dispositions qui permettraient d'interdire ce type d'action par des gens qui sont de toute évidence des voyous".

Elle a précisé avoir fait cette demande mardi, "en tirant le bilan des deux manifestations de Bastia et de Strasbourg".

Les incidents de Strasbourg se sont notamment soldés par la destruction d'un hôtel, d'anciens locaux des douanes, d'un office du tourisme et d'une pharmacie par des incendies allumés par plusieurs centaines de jeunes masqués et habillés de noir.

Ces incidents ont suscité une polémique sur le manque de réaction des forces de l'ordre, pourtant déployées en nombre.

"La priorité du gouvernement était qu'il n'y ait pas de mort", a déclaré mercredi le porte-parole du gouvernement, Luc Chatel, en marge du compte rendu du conseil des ministres.

Il a confirmé que le maire socialiste de Strasbourg, Roland Ries, serait reçu "rapidement" par le directeur de cabinet du président Nicolas Sarkozy, puis par le chef de l'Etat lui-même. Il n'a pas donné de date.

Source :Yahoo

Euh juste comme ça, elle compte faire comment pour les empêcher de porter une cagoule? :D
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Tentai Senshi Sunred : Complet [Shinrei], Higepiyo : Complet [FLA], Saki : Complet [T-F],
Oruchuban Ebichu : Complet [Zeu$-Team], Pani Poni Dash : 1 à 11 [Rey-T], Giant Killing : 1 à 26 [MJF]

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