Deux très, très bons films vu dernièrement:
- He Was A Quiet Man , avec Christian Slater à l'affiche. Un film assez étonnant qui ne manque pas de suprises. L'histoire en gros ? Un employé de bureau basique ( dépressif, maniaque et psycopathe, basique quoi ), va, lors d'une fusillade dans ses bureaux, se retrouver malgré lui, le grand héro du jour en tuant le responsable de cette fusillade ( par la simple et bonne raison qu'il voulait faire exactement la même fusillade, mais pas d'bol, il s'est fait devancé. ), et par la même occasion, sauver une certaine Vanessa... Sa vie va ainsi commencer à changer brutalement.
Christian Slater est absolument remarquable dans ce film, vraiment. Il est totalement méconnaissable, et rentre entièrement dans la peau de son personnage. Il n'y a rien à redire là dessus, son jeu d'acteur est parfait.
On a de la pitié pour lui, puis on passe à la sympathie, pour ensuite arriver à une certaine peur...bref, on ne reste pas de marbre devant ce personnage assez atypique.
Le film peut paraitre très simple, mais la fin vient justement basculer cette simplicité ...
Bref un excellent film à voir.
[Voir le message caché (spoiler)]
_____________________
- Pour le deuxième film je vais être plus bref car je ne veux rien dévoiler. Il s'agit de Southland Tales.
Probablement un des films les plus...déroutants, de par son scénario et sa mise en scène, qu'il m'est été donné de voir ( Les Lynch & co mis à part... En parlant de ce dernier, faudra aussi que je parle de SlipStream, le film réalisé par Anthony Hopkins, absolument déjanté et psychedélique... mais bref. ).
En gros: La fin du monde est arrivé, on sait tous comment celle ci va se produire : Par une explosion. Mais avant ça, on va suivre la vie de quelques personnages, chaqu'un responsable, en quelque sorte, de cette fin du monde.
Le plus étonnant en fait dans ce film, c'est le casting... Voyez vous même:
Dwayne Johnson " The Rock "
Seann William Scott
Sarah Michelle Gellar
Justin Timberlake
Mandy Moore
et...
accrochez vous...
Non, encore mieux...
Voilà...
Christopher Lambert !
La bande son est excellente, et colle bien au film ( un des personnage va même se mettre à danser et à chanter sur une zik des The Killers, formant ainsi un petit clip dans le film... ). La mise en scene est parfaite, et l'ambiance du film est... mmmh... spéciale.
Il va falloir s'accrocher et probablement mater le film une deuxieme fois pour vraiment tout comprendre... car il est bourré de significations cachées ( bien souvent religieuses ) qui prennent leur sens au final du film ( final on ne peut plus epic ... )
Bref, foncez mater ce film.
Ah j'oubliais, c'est par le réalisateur/scénariste de Donnie Darko. ( ceci expliquant beaucoups de choses, et quelques similitudes... )
Et pour vous, la bande annonce:
(on voit cricri à la fin ! )
Et je vais me coucher, il le faut vraiment là.
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Du Bon cinéma
Posté vendredi 14 mars 2008 à 18:12 (#737)
Je viens également de finir de mater Southland Tales. Et que dire... Je suis restée sur le cul. Autant j'ai absolument rien compris, autant il y a énormément de clins d'oeil tout le long comme l'a dit Neo et parfois les sens sautent aux yeux, ou alors on se demande ce que c'est que ces machins. Mais sinon c'est vraiment bien fait, et question filmage/jeux des acteurs c'est plus que niquel (je répète aussi ce qui a été dit juste au dessus, mais ca fait un avis de plus qui le pense.)
Enfin, c'est à mater, plutôt deux fois qu'une.
Et aussi, je sais même pas ce que c'est qu'un Mac.
Enfin, c'est à mater, plutôt deux fois qu'une.
Et aussi, je sais même pas ce que c'est qu'un Mac.

Posté vendredi 14 mars 2008 à 18:29 (#738)
KalintZ`, le 14/03/2008 à 18:12, dit :
Et aussi, je sais même pas ce que c'est qu'un Mac.

Les stats du jeu du cinéma sur sharemanga : Le jeu du cinéma SM
Jouez à XM, jeu de rôle !
Posté mardi 08 avril 2008 à 11:48 (#739)
Ni pour ni contre (bien au contraire)
Je connaissais pas, et je remercie M6 pour la diffusion. Très bon film, scottché du début jusqu'a la fin sur mon petit écran.
Synopsis : Caty, une jeune fille de 27 ans, travaille depuis quelques années comme caméraman pour le journal télévisé. Elle fait bientôt la rencontre d'une bande de malfrats qui ont besoin de quelqu'un pour filmer leur prochain braquage. Elle accepte leur proposition et découvre la vie de ces charismatiques gangsters.
Tentée par leur vie de pacha, Caty devient leur complice, quitte à risquer la prison. Elle accepte même de participer à un dernier gros coup avec la bande : l'attaque d'un dépôt de transfert où sont garés des fourgons blindés remplis d'argent. Caty aura pour mission de séduire le patron du dépôt.
[Voir le message caché (spoiler)]
C'est un film Français qui vaut bien plus qu'une grosse production Américaine, à voir absolument.
Je connaissais pas, et je remercie M6 pour la diffusion. Très bon film, scottché du début jusqu'a la fin sur mon petit écran.
Synopsis : Caty, une jeune fille de 27 ans, travaille depuis quelques années comme caméraman pour le journal télévisé. Elle fait bientôt la rencontre d'une bande de malfrats qui ont besoin de quelqu'un pour filmer leur prochain braquage. Elle accepte leur proposition et découvre la vie de ces charismatiques gangsters.
Tentée par leur vie de pacha, Caty devient leur complice, quitte à risquer la prison. Elle accepte même de participer à un dernier gros coup avec la bande : l'attaque d'un dépôt de transfert où sont garés des fourgons blindés remplis d'argent. Caty aura pour mission de séduire le patron du dépôt.
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C'est un film Français qui vaut bien plus qu'une grosse production Américaine, à voir absolument.

Posté samedi 12 avril 2008 à 01:03 (#740)
Recemment:
-Walk Hard: The Dewey Cox Story, une parodie de Walk The line. Un peu l'humour de la bande de Ben Stiller, mais bien sympa. Un peu long aussi (2h c'est un peu beaucoup). Ca raconte comment un chanteur du sud profond, qui decoupe son frère en 2 en jouant, va devenir une star de la chanson, en passant des 50's au 80's (avec un show bien ridicule). Ce qui est sympa, c'est que toutes les periodes musicales sont abordées, avec les excès de drogue qui vont avec. Et puis les chansons sont plutot pas mal. Pas exceptionnel, mais catue le temps.
-Clerks 2. Pas transcendant. Quelques bon moments, mais pas aussi barré que le 1er. Au final, Smith ressort ses classiques: situations impossibles, humour en dessous de la ceinture, et un certain niveau de geek. Ya vraiment de bons moments, comme la fete pour Randall vers la fin. Peut etre moins inattendu. Peut etre le genre de film qui s'apprecie pleinement avec le temps. Mais ca reste quand meme un bon moment.
-A l'instant: Le Bon, La Brute et le Truand. Je me suis dit tout le long que c'etait le genre de film a voir au cinéma. Vraiment excellent, je m'en lasse pas. Entre les repliques cultes, les personnages aux gueules impossibles, et des acteurs impeccables, sans parler de la mise en scène et de la musique, le genre de film qu'on prend plaisir a revoir de temps en temps.
-Walk Hard: The Dewey Cox Story, une parodie de Walk The line. Un peu l'humour de la bande de Ben Stiller, mais bien sympa. Un peu long aussi (2h c'est un peu beaucoup). Ca raconte comment un chanteur du sud profond, qui decoupe son frère en 2 en jouant, va devenir une star de la chanson, en passant des 50's au 80's (avec un show bien ridicule). Ce qui est sympa, c'est que toutes les periodes musicales sont abordées, avec les excès de drogue qui vont avec. Et puis les chansons sont plutot pas mal. Pas exceptionnel, mais catue le temps.
-Clerks 2. Pas transcendant. Quelques bon moments, mais pas aussi barré que le 1er. Au final, Smith ressort ses classiques: situations impossibles, humour en dessous de la ceinture, et un certain niveau de geek. Ya vraiment de bons moments, comme la fete pour Randall vers la fin. Peut etre moins inattendu. Peut etre le genre de film qui s'apprecie pleinement avec le temps. Mais ca reste quand meme un bon moment.
-A l'instant: Le Bon, La Brute et le Truand. Je me suis dit tout le long que c'etait le genre de film a voir au cinéma. Vraiment excellent, je m'en lasse pas. Entre les repliques cultes, les personnages aux gueules impossibles, et des acteurs impeccables, sans parler de la mise en scène et de la musique, le genre de film qu'on prend plaisir a revoir de temps en temps.

Posté mardi 15 avril 2008 à 09:56 (#741)
Je viens de regarder Brume et c'est une sacrée claque dans la tronche que je me suis pris. Je vous recommande vivement cette excellente adaptation d'une nouvelle de Stephen King (chose rare s'il en est) ne serait-ce que pour la fin, monstrueuse.
Posté mardi 22 avril 2008 à 16:44 (#742)

Je suis allé voir Mongol, au cinéma des Halles à Paris (très belle salle (la 2 - ciné cité), avec une bonne accoustique). J'avais vu l'affiche dans les rues et avais pensé à un jeu vidéo du genre d'Assassin Creed. Et quand j'ai su que c'était un film, je me suis dit "oula, ça fait faire son seigneur des anneaux, mixé à du 300, sur fond de Gengis Kahn".
J'ai ensuite regardé quelques images du film (sur le net) et j'ai rapidement compris que l'affiche n'avait rien à voir avec le long métrage (ou très peu).
Je suis donc allé voir Mongols. On suit Gengis Kahn, avant qu'il ne soit Kahn (chef de tous les mongols). Ca commence lorsqu'il est enfant et ça s'arrête quand il devient Kahn (son combat pour unifier les mongols). En vous disant ça, je n'en raconte pas trop. Au contraire, c'est mieux de savoir qu'on ne voit pas toute la vie Gengis Kahn, sinon on pourrait attendre la partie "conquête du monde" et être déçu de ne pas la voir.
Je n'irai pas plus en avant dans l'histoire, beaucoup la connaissent déjà. Je précise quand même que c'est romancé (comme "La pierre et le sabre" et l'histoire de Musashi).
J'ai passé un très bon moment en allant voir ce film. Les paysages sont magnifiques, les costumes superbes, les plans léchés et le rythme global bien tenu (le film dure 2 heures). Le tout est bien enrobé et passe très bien.
On ne s'emmerde pas. Les batailles (qui ne sont pas l'apanage du film), sont nerveuses est bien foutues (le sang en 3d est bien torché, contrairement à pas mal de blockbusters ricains - en étant honnête, je dirais qu'il y a juste une ou deux giclades qui m'ont géné sur tout le film, mais c'est du pinaillage), ça garde le coté poétique d'une fresque asiatique, sans devenir rébarbatif (et dieu sait que certains métrages asiat' de 3 heures sont bien relous, façon "je pleure pendant 30 ans sur le peigne que tu m'as donné avant de partir").
Ca évite la mode du chef qui va gueuler pour motiver ses troupes (voir 300/1000/gladiator), ici, le leader est davantage philosophe/sage/cowboy à la sergio léone (regard posé).
Le film a bien quelques défauts par-ci par-là (certaines éllipses), mais rien d'important. C'est un grand film, qui ne rougit pas à coté d'un Gladiator, d'un Braveheart et autres grosses productions (ce n'est pas un film pauvre, au contraire).
Je conseille ce film aux : amoureux d'Asano Tadanobu (i'm. Un japonais qui joue Gengis Kahn !), à ceux qui aime les beaux paysages, les batailles à la braveheart (ce n'est pas lord of the ring ou 300), à ceux qui ont aimé la Pierre et le sabre ou tout simplement aux curieux.
C'est un spectacle qui prend tout son sens sur grand écran. Le voir au cinéma m'a fait tripper. Sur petit écran, ça doit perdre tout le coté grandiose et majestueux qu'offre une projo ciné (cela va de soi).
C'est aussi un film à voir en Vo, parce que les mongols doublés par Gérard Depardieu, non merci (c't'une blague, gégé à pas fait le doublage du film).
Bref, foncez !
1. Eviter toutes pensées perverses.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
Posté mercredi 30 avril 2008 à 16:43 (#743)
Vu que je suis un vil consommateur soumis, j'ai mangé du [REC] le week end dernier.
Honnêtement j'ai un peu hésité à le mettre dans "Du mauvais cinéma"...
Autant annoncer la couleur histoire de donner une idée de mes goûts : j'ai trouvé Blair Witch plus flippant, et le passage dans le métro de Cloverfield plus stressant. Voilà ! Ca c'est fait.
Déjà je pense que la VF est sur la ligne rouge, entre "passable" et "à chier", ce qui aide pas pour s'immerger complètement ( même si ça gueule les 3/4 du film ).
Beaucoup de clichés dans ce film, qui surprend plus qu'il ne fait peur. Les mécanismes type "Pas de bruit, pas de lumière...et BOUH !" sont surexploités au point de faire à peine sursauter au bout d'un moment, on s'attend à voir un truc à un moment donné, et on voit effectivement CE truc à CE moment donné... Bref du téléphoné, par forcément sublimé par la manière de filmer.
D'ailleurs en parlant de ça, y'a des plans-séquences bien sympathoche quand même, on est loin du "Les fils de l'homme" mais quand même.
Le film ne fait pas peur, il n'est pas térrifiant, il met une certaine pression, mais souffre de gros problèmes de rythme. Les dix dernières minutes risque de diviser, certains vont les trouver insoutenables, d'autres ridicules ^^ .
J'ai trouvé Silent Hill plus inquiétant, et mieux réussi au niveau de son ambiance que REC.
Max, hmmm...ouais j'aurais du le mettre dans "Du mauvais cinéma" finalement !
Honnêtement j'ai un peu hésité à le mettre dans "Du mauvais cinéma"...
Autant annoncer la couleur histoire de donner une idée de mes goûts : j'ai trouvé Blair Witch plus flippant, et le passage dans le métro de Cloverfield plus stressant. Voilà ! Ca c'est fait.
Déjà je pense que la VF est sur la ligne rouge, entre "passable" et "à chier", ce qui aide pas pour s'immerger complètement ( même si ça gueule les 3/4 du film ).
Beaucoup de clichés dans ce film, qui surprend plus qu'il ne fait peur. Les mécanismes type "Pas de bruit, pas de lumière...et BOUH !" sont surexploités au point de faire à peine sursauter au bout d'un moment, on s'attend à voir un truc à un moment donné, et on voit effectivement CE truc à CE moment donné... Bref du téléphoné, par forcément sublimé par la manière de filmer.
D'ailleurs en parlant de ça, y'a des plans-séquences bien sympathoche quand même, on est loin du "Les fils de l'homme" mais quand même.
Le film ne fait pas peur, il n'est pas térrifiant, il met une certaine pression, mais souffre de gros problèmes de rythme. Les dix dernières minutes risque de diviser, certains vont les trouver insoutenables, d'autres ridicules ^^ .
J'ai trouvé Silent Hill plus inquiétant, et mieux réussi au niveau de son ambiance que REC.
Max, hmmm...ouais j'aurais du le mettre dans "Du mauvais cinéma" finalement !
Posté samedi 03 mai 2008 à 04:04 (#744)
Je suis allé voir Iron Man se soir et franchement j'ai trouvé ça très sympa !
Les effets spéciaux sont du niveau de transformers (voir mieux), on retrouve du ACDC dans la BO et le casting des acteurs est quand même bien sympa ;)
L'acteur qui incarne le personnage principale colle tout à fait au milliardiaire assez prétencieux mais très sympatique et l'ambiance du film m'a beaucoup plus !
Je mets un petit résumé trouvé sur allo ciné:
Tony Stark, inventeur de génie, vendeur d'armes et playboy milliardaire, est kidnappé en Aghanistan. Forcé par ses ravisseurs de fabriquer une arme redoutable, il construit en secret une armure high-tech révolutionnaire qu'il utilise pour s'échapper. Comprenant la puissance de cette armure, il décide de l'améliorer et de l'utiliser pour faire régner la justice et protéger les innocents.
Et aussi une petite bande anonce qui va bien:
En gros je vous le recommande
Les effets spéciaux sont du niveau de transformers (voir mieux), on retrouve du ACDC dans la BO et le casting des acteurs est quand même bien sympa ;)
L'acteur qui incarne le personnage principale colle tout à fait au milliardiaire assez prétencieux mais très sympatique et l'ambiance du film m'a beaucoup plus !
Je mets un petit résumé trouvé sur allo ciné:
Tony Stark, inventeur de génie, vendeur d'armes et playboy milliardaire, est kidnappé en Aghanistan. Forcé par ses ravisseurs de fabriquer une arme redoutable, il construit en secret une armure high-tech révolutionnaire qu'il utilise pour s'échapper. Comprenant la puissance de cette armure, il décide de l'améliorer et de l'utiliser pour faire régner la justice et protéger les innocents.
Et aussi une petite bande anonce qui va bien:
En gros je vous le recommande


Posté mardi 06 mai 2008 à 10:08 (#745)
+1 pour Iron Man, je l'ai vu hier soir et j'ai bien aimé.
D'abord la construction du film en 3 parties est efficace, même si elles auraient gagné à être plus équilibré (la phase construction de l'armure est un peu trop longue).
Ensuite les scènes d'actions sont lisibles (ce qui semble être devenu un luxe ces temps-ci avec la mode des shaky cam), le tout évoquant fortement Robocop. L'interprétation est irréprochable, de Gwyneth Paltrow à Jeff Bridges en passant par Robert Downey Jr, tous sonnent juste.
Enfin les FX sont superbes !! Les différentes armures sont excellentes, la technologie entourant Stark aussi et le tout dans le respect du comic (avec différents clins d'oeil tout au long du film : le SHIELD, Stan Lee, etc.).
Un bon film de super-héros donc, qui relève le niveau après les désastreux Ghost Rider et autre Catwoman et donne à rêver sur un éventuel film sur les Vengeurs.
D'abord la construction du film en 3 parties est efficace, même si elles auraient gagné à être plus équilibré (la phase construction de l'armure est un peu trop longue).
Ensuite les scènes d'actions sont lisibles (ce qui semble être devenu un luxe ces temps-ci avec la mode des shaky cam), le tout évoquant fortement Robocop. L'interprétation est irréprochable, de Gwyneth Paltrow à Jeff Bridges en passant par Robert Downey Jr, tous sonnent juste.
Enfin les FX sont superbes !! Les différentes armures sont excellentes, la technologie entourant Stark aussi et le tout dans le respect du comic (avec différents clins d'oeil tout au long du film : le SHIELD, Stan Lee, etc.).
Un bon film de super-héros donc, qui relève le niveau après les désastreux Ghost Rider et autre Catwoman et donne à rêver sur un éventuel film sur les Vengeurs.
Posté mardi 06 mai 2008 à 15:50 (#746)
J'ai été voir [REC] et si c'est pas le film le plus original qui ai été fait, il n'en reste pas moins que ça faisait longtemps que j'avais pas eu aussi "peur" devant un film. Car il faut bien l'avouer, si le doublage français est vraiment a chier, la réalisation et l'ambience sont vraiment impeccable!

Posté mardi 06 mai 2008 à 19:37 (#747)
Je reviens d'aller voir Iron Man sympa je m'attendais pas à ça en fait je pensais genre spiderman ou un truc dans le genre (j'avais pas vu d'extrait loll ) ^^ mais pas du tout déçue
bien au contraire
Par contre j'ai été voir la semaine derniere la version américaine de The Eye avec Jessica Alba !! Bahh ça reprend bien la version asiatique mais la boff j'ai été déçue comme toujours avec les remake des films asiatiques .. y aller pour vous messieurs si vous aimez Alba sinon boffff !!!

Par contre j'ai été voir la semaine derniere la version américaine de The Eye avec Jessica Alba !! Bahh ça reprend bien la version asiatique mais la boff j'ai été déçue comme toujours avec les remake des films asiatiques .. y aller pour vous messieurs si vous aimez Alba sinon boffff !!!

~~ Un jour la joie, un jour la tristesse, tous les jours le sourire.~~
Posté vendredi 09 mai 2008 à 13:23 (#748)
Je suis allé voir Iron Man, j'ai trouvé bien sympa, ce n'st pas mou, le personnage principal à du carisme, de l'humour. Je vous le conseil .
Posté vendredi 09 mai 2008 à 15:48 (#749)
C'est vrai que Iron man est bien sympa ; Franchement Robert downey junior , il est géniale ce type tellement il incarne a la perfection Tony Stark (parallele entre ses anciens problemes de drogues et les blem de stark avec l'alcool), coolitude , charisme , musculature (il m'a impréssionné dis donc ).
Le plus grand mérite de ce film c'est de nous donner envie de voir la suite
[Voir le message caché (spoiler)]
Le plus grand mérite de ce film c'est de nous donner envie de voir la suite

[Voir le message caché (spoiler)]
Posté mardi 13 mai 2008 à 13:02 (#750)
Et puis les touristes (prochainement au cinéma)
L'histoire :
Un jeune allemand est envoyé à Auschwitz pour effectuer son service civil. Il doit assister un ancien déporté qui n'a jamais voulu quitter le camp et travaille à la bonne marche de son musée.
Un pitch pareil est attrayant. Mais il fait aussi peur. On est dans quel genre de film ? Une grosse farce qui tache ? Non. Une comédie faussement grinçante façon le raté Mon Führer ? Non plus. Dans une comédie larmoyante type Goodbye Lenin (Amélie Poulain Style) ? Heureusement non.
Alors dans quoi sommes-nous ? Dans un film sérieux, mais qui ne se prend pas la tête. Dans un film qui nous montre, au travers des yeux d'un allemand qui se demande ce qu'il fout dans un lieu pareil, comment vit Auschwitz de nos jours.
Entre les touristes qui se font prendre en photo sous le panneau "Le travail rend libre", les cars de visiteurs qui se garent dans le camp comme si c'était le parc Astérix, le musée où l'on entasse les objets confisqués aux juifs, les commerçants qui vendent des objets souvenirs façon Paris tour Eiffel et les habitants qui vivent leur vie à coté d'un endroit chargé d'histoire (paye ta ballade en vélo familiale dont le trajet passe à coté des barbelés du camp), on se demande si l’on doit rire ou pleurer.
Attention, il n'est nullement question de faire du voyeurisme, de la dénonciation ou autre morale facile. Il s'agit de montrer le poids de l'histoire sur un endroit pareil. Entre une volonté de vivre (les jeunes sont comme ceux de n'importe quel pays) et le rapport au passé (on entretient minutieusement le camp pour qu'il reste comme il l'était à l'époque, ce qui, si on y réfléchit bien est quand même douteux) nous suivons donc l'histoire de Sven, coincé dans un endroit qu'il va apprendre à apprécier.
Et puis les touristes est un film qui distrait et prête à réfléchir. Ce n'est pas la superproduction avec des plans de oufs. Mais c'est un film avec un scénario plaisant, de très bonnes idées :
- Le déporté qui ne veut pas quitter le camps (c'était le cas de plusieurs déportés et actuellement, il n'en reste plus qu'un a vivre dans le camp)
- Le jeune allemand envoyé pour son service civil ("les allemands reviennent" lui dit un protagonistes) et lui aussi porteur d'un passé qui le dépasse.
- Et cette jeunesse Polonaise que l'on force à entretenir le passé comme moyen de construire son avenir.
C'est un film que j'ai trouvé beau et qui a le mérite, en plus de nous faire réfléchir, de ne pas tomber dans la comédie pure ou le larmoyant facile dans lesquels se plantent tellement de longs métrages traitant de ce genre de sujet. Rien que pour ça, bravo.
Note : Ce film bénéficie d'une minuscule distribution. Si vous voulez le voir, ne traînez pas.
Comme une étoile (prochainement au cinéma)
L'histoire :
C'est très classique. Un couple. Le gars tombe malade. La fille le soutient dans sa maladie. Et...
J'avais travaillé sur ce scénario en cours. C'est un de mes profs qui réalise ce film. A l'époque, j'en avais fait une version comique. C'était et c'est toujours, selon moi, le seul moyen de magnifier ce genre d'histoire vue milles fois.
Oui, mais tout à été fait dans le cinéma, tout à déjà été raconté. Le refaire, avec un angle intéressant peu valoir le coup (le comique, le comique, le comique, allé !). Alors, qu'est-ce qu'a choisit mon prof ?
Niveau montage, il travaille sur le faux raccord en permanence (le faux raccord permet d'insinuer une ellipse et donc de dynamiser un récit). C'est un très bon point, car on quitte d'emblée le style téléfilm. Je parle de téléfilm car ce long métrage a été tourné avec une HVX200, caméra HD qui coûte environ 5000 euros.
Quand on sait ça, on se dit que c'est pas gagné pour que ça fasse "film cinéma". Et pourtant, ça passe (sauf dans les scènes sombres, qui montrent clairement les faiblesses de ce type de matériel).
Mais René Féret n'est pas du genre à courir après la technique et les jolis plans. Je sais que la religion de l’image et de la technique est une tendance écrasante chez tous les jeunes cinéastes, d'ailleurs certains élèves sont incendiaires contre le parti pris de René Féret.
Ce qui l'intéresse, lui, c'est la direction d'acteurs, ce rapport à l'humain et la naissance des émotions. Pour beaucoup de jeunes réal, c'est aussi un truc qui fait rire, ils s'en détachent et oublient complètement cette dimension primordiale (pour ma part, je crois qu'il faut marier les deux points de vu. C'est dur, ça semble impossible, mais c'est là qu'on reconnaît les vrais génies).
Sur le plan des acteurs, c'est réussi pour les premiers rôles. Pour les seconds, c'est une autre histoire, même si c'est toujours un travail acceptable.
Comme une étoile, prend le pari d'un film d'auteur au scénario pas très aguicheur et s'en sort bien, affichant une simplicité qui s'est révélée impossible à atteindre pour bien des étudiants (combien d'entre eux, qui ont travaillé leur propre version du scénario, ai-je vu sombrer dans du pathos écœurant).
On pourra tout de même reprocher une sur exploitation de la nudité du couple. A croire qu'ils font quasi tout à poil.
J'ai été agréablement surpris par ce film. Le précédent de René Féret, Il a fallu que maman s'en aille, tourné avec une HVX100 ne dépassait pas le cadre du téléfilm. La technique y était laborieuse (par moment le caméraman ne faisait la mise au point sur rien). Ici, on sent qu'il y a une vraie direction photo et ça contribue grandement au succès du film.
Comme quoi, la relation avec les acteurs et la technique sont deux notions vitales...
L'histoire :
Un jeune allemand est envoyé à Auschwitz pour effectuer son service civil. Il doit assister un ancien déporté qui n'a jamais voulu quitter le camp et travaille à la bonne marche de son musée.
Un pitch pareil est attrayant. Mais il fait aussi peur. On est dans quel genre de film ? Une grosse farce qui tache ? Non. Une comédie faussement grinçante façon le raté Mon Führer ? Non plus. Dans une comédie larmoyante type Goodbye Lenin (Amélie Poulain Style) ? Heureusement non.
Alors dans quoi sommes-nous ? Dans un film sérieux, mais qui ne se prend pas la tête. Dans un film qui nous montre, au travers des yeux d'un allemand qui se demande ce qu'il fout dans un lieu pareil, comment vit Auschwitz de nos jours.
Entre les touristes qui se font prendre en photo sous le panneau "Le travail rend libre", les cars de visiteurs qui se garent dans le camp comme si c'était le parc Astérix, le musée où l'on entasse les objets confisqués aux juifs, les commerçants qui vendent des objets souvenirs façon Paris tour Eiffel et les habitants qui vivent leur vie à coté d'un endroit chargé d'histoire (paye ta ballade en vélo familiale dont le trajet passe à coté des barbelés du camp), on se demande si l’on doit rire ou pleurer.
Attention, il n'est nullement question de faire du voyeurisme, de la dénonciation ou autre morale facile. Il s'agit de montrer le poids de l'histoire sur un endroit pareil. Entre une volonté de vivre (les jeunes sont comme ceux de n'importe quel pays) et le rapport au passé (on entretient minutieusement le camp pour qu'il reste comme il l'était à l'époque, ce qui, si on y réfléchit bien est quand même douteux) nous suivons donc l'histoire de Sven, coincé dans un endroit qu'il va apprendre à apprécier.
Et puis les touristes est un film qui distrait et prête à réfléchir. Ce n'est pas la superproduction avec des plans de oufs. Mais c'est un film avec un scénario plaisant, de très bonnes idées :
- Le déporté qui ne veut pas quitter le camps (c'était le cas de plusieurs déportés et actuellement, il n'en reste plus qu'un a vivre dans le camp)
- Le jeune allemand envoyé pour son service civil ("les allemands reviennent" lui dit un protagonistes) et lui aussi porteur d'un passé qui le dépasse.
- Et cette jeunesse Polonaise que l'on force à entretenir le passé comme moyen de construire son avenir.
C'est un film que j'ai trouvé beau et qui a le mérite, en plus de nous faire réfléchir, de ne pas tomber dans la comédie pure ou le larmoyant facile dans lesquels se plantent tellement de longs métrages traitant de ce genre de sujet. Rien que pour ça, bravo.
Note : Ce film bénéficie d'une minuscule distribution. Si vous voulez le voir, ne traînez pas.
Comme une étoile (prochainement au cinéma)
L'histoire :
C'est très classique. Un couple. Le gars tombe malade. La fille le soutient dans sa maladie. Et...
J'avais travaillé sur ce scénario en cours. C'est un de mes profs qui réalise ce film. A l'époque, j'en avais fait une version comique. C'était et c'est toujours, selon moi, le seul moyen de magnifier ce genre d'histoire vue milles fois.
Oui, mais tout à été fait dans le cinéma, tout à déjà été raconté. Le refaire, avec un angle intéressant peu valoir le coup (le comique, le comique, le comique, allé !). Alors, qu'est-ce qu'a choisit mon prof ?
Niveau montage, il travaille sur le faux raccord en permanence (le faux raccord permet d'insinuer une ellipse et donc de dynamiser un récit). C'est un très bon point, car on quitte d'emblée le style téléfilm. Je parle de téléfilm car ce long métrage a été tourné avec une HVX200, caméra HD qui coûte environ 5000 euros.
Quand on sait ça, on se dit que c'est pas gagné pour que ça fasse "film cinéma". Et pourtant, ça passe (sauf dans les scènes sombres, qui montrent clairement les faiblesses de ce type de matériel).
Mais René Féret n'est pas du genre à courir après la technique et les jolis plans. Je sais que la religion de l’image et de la technique est une tendance écrasante chez tous les jeunes cinéastes, d'ailleurs certains élèves sont incendiaires contre le parti pris de René Féret.
Ce qui l'intéresse, lui, c'est la direction d'acteurs, ce rapport à l'humain et la naissance des émotions. Pour beaucoup de jeunes réal, c'est aussi un truc qui fait rire, ils s'en détachent et oublient complètement cette dimension primordiale (pour ma part, je crois qu'il faut marier les deux points de vu. C'est dur, ça semble impossible, mais c'est là qu'on reconnaît les vrais génies).
Sur le plan des acteurs, c'est réussi pour les premiers rôles. Pour les seconds, c'est une autre histoire, même si c'est toujours un travail acceptable.
Comme une étoile, prend le pari d'un film d'auteur au scénario pas très aguicheur et s'en sort bien, affichant une simplicité qui s'est révélée impossible à atteindre pour bien des étudiants (combien d'entre eux, qui ont travaillé leur propre version du scénario, ai-je vu sombrer dans du pathos écœurant).
On pourra tout de même reprocher une sur exploitation de la nudité du couple. A croire qu'ils font quasi tout à poil.
J'ai été agréablement surpris par ce film. Le précédent de René Féret, Il a fallu que maman s'en aille, tourné avec une HVX100 ne dépassait pas le cadre du téléfilm. La technique y était laborieuse (par moment le caméraman ne faisait la mise au point sur rien). Ici, on sent qu'il y a une vraie direction photo et ça contribue grandement au succès du film.
Comme quoi, la relation avec les acteurs et la technique sont deux notions vitales...
1. Eviter toutes pensées perverses.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
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