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On a été voir au cinéma hier soir : Duke of Hazard (Shérif fait moi peur) avec Jonhy Knoxville, Scott et Jessica Simpson...
Je croyais trouver ca plutot moyen, mais en fait, j'ai bien aimé. De belles cascades de voitures, des moments assez cocasse et une histoire assez bien ficellée
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Du Bon cinéma
Posté vendredi 19 août 2005 à 11:04 (#302)
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Les ailes du désirs : (durée env 2 h)
Genre : Philo . De Wim Wenders
J'en suis encore perplexe. Je ne sais pas comment le décrire. C'est tellement fort.
Pendant 1h30 c'est très très lent. Il y a quelques longeurs qui peuvent lasser. C'est pour cela qu'il vaut mieux être en condition pour voir le film (ne pas avoir envie de dormir et être concentré). En gros, ca alterne des discussions philosophiques ou des questionnements intérieurs qui durent de 5 à 10 minutes chacun, avec des passages contemplatifs de même durée.
C'est captivant, mais ça peut lasser. Par contre, il faut voir le film en entier, c'est une oeuvre que l'on ne peut pas démembrer sous prétexte que le début est trop lent. Même si on peut penser que la première heure et demi pourrait faire l'objet d'un court métrage seul.
Au final, on comprends que le réalisateur à saisit avec brio le trait "humain".
La fin du film permet au reste de prendre tout son sens et ça devient jouissif.
De manière globale, ça traite du fait qu'il y a ait des anges qui vivent sur terre parmi nous et que l'on ne voit pas. C'est un sujet traité sous un jour unique, loin de toute les merdes hollywoodiennes (du style dogma).
C'est boulversant comme film. Mais il faut se laisser les moyens d'être touché, car ici, il est facile de céder au "c'est chiant, c'est lent".
Genre : Philo . De Wim Wenders
J'en suis encore perplexe. Je ne sais pas comment le décrire. C'est tellement fort.
Pendant 1h30 c'est très très lent. Il y a quelques longeurs qui peuvent lasser. C'est pour cela qu'il vaut mieux être en condition pour voir le film (ne pas avoir envie de dormir et être concentré). En gros, ca alterne des discussions philosophiques ou des questionnements intérieurs qui durent de 5 à 10 minutes chacun, avec des passages contemplatifs de même durée.
C'est captivant, mais ça peut lasser. Par contre, il faut voir le film en entier, c'est une oeuvre que l'on ne peut pas démembrer sous prétexte que le début est trop lent. Même si on peut penser que la première heure et demi pourrait faire l'objet d'un court métrage seul.
Au final, on comprends que le réalisateur à saisit avec brio le trait "humain".
La fin du film permet au reste de prendre tout son sens et ça devient jouissif.
De manière globale, ça traite du fait qu'il y a ait des anges qui vivent sur terre parmi nous et que l'on ne voit pas. C'est un sujet traité sous un jour unique, loin de toute les merdes hollywoodiennes (du style dogma).
C'est boulversant comme film. Mais il faut se laisser les moyens d'être touché, car ici, il est facile de céder au "c'est chiant, c'est lent".
1. Eviter toutes pensées perverses.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
Posté vendredi 19 août 2005 à 14:37 (#303)
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- Immigré sud-américain
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- Groupe : Membres
- Messages : 1 008
- Inscrit(e) : 31/07/2003
Perdre est une question de méthode [Perder es cuestión de método]
Colombie/Espagne 2004 - 1h45~
Genre : Film noir
L'histoire [pour faire court je repompe allociné] :
Un matin, la police découvre le corps d'un homme crucifié et empalé sur les rives du lac Bogotá. Victor Silanpa, journaliste et détective privé occasionnel, enquête en compagnie de l'employé Estupiñán sur cet assassinat.
Avec l'aide de Quica, une jeune prostituée, et après avoir soudoyé le colonel en charge du dossier, ils vont découvrir que les enjeux de cette affaire sont bien plus complexes et dangereux qu'ils ne le soupçonnaient à priori. Au fil de leurs rencontres, entre politiciens véreux, hommes d'affaires corrompus, prostituées et journalistes, leur investigation les mènera au coeur d'une sordide histoire de biens immobiliers...
C'est une grande surprise que de voir sortir un film colombien en France, mais encore plus d'en voir un qui soit bon.
Perdre est une question de méthode [PEUQDM pour les intimes] est un polar qui brille plus par son classicisme que par son originalité. On y trouve tous les éléments qui font le genre : héros désabusé, vamp séductrice, petit ami de galères sorte de Sancho Panza fidèle des temps modernes... mais là où le film prend tout son intérêt, c'est dans la transposition des éléments classiques du polar dans l'environnement colombien.
Je ne sais pas comment on peut appeler le résultat, en tout cas, ça donne quelque chose de bien. Des personnages caricaturaux au langage fleuri ["on dirait du San Antonio"], d'autres plus sérieux, le tout agrémenté d'une intrigue, qui, bien que confuse ne manque pas d'intérêt.
Et même si elle en manquait ? Où est le problème, de toute façon le plus intéressant dans cette histoire est le portrait très réaliste que dresse Cabrera de la société colombienne, loin des clichés putassiers sur la violence [La vierge des tueurs, Carlitos Medellin et autres reportages TV] ou le trafic de drogues [Blow].
Reste quand même un point noir [et c'est pas qu'il est blanc] : le héros, non pas qu'il soit mauvais, mais son accent méxicain gâche un peu la chose, mais bon j'imagine que c'étaient les conditions de la production, il faut que ça se vende un minimum et l'acteur colombien moyen n'a pas la renommé d'un Camacho [c'est déjà pas mal qu'ils nous aient pas foutu un García Bernal].
Cela dit, je ne pense pas que ça gênera le spectateur français, sauf s'il est amateur d'accents latinoaméricains.
Et puis si ça ne vous tente toujours pas, PEUQDM peut encore vous donner autre chose :
[Voir le message caché (spoiler)]
Colombie/Espagne 2004 - 1h45~
Genre : Film noir
L'histoire [pour faire court je repompe allociné] :
Un matin, la police découvre le corps d'un homme crucifié et empalé sur les rives du lac Bogotá. Victor Silanpa, journaliste et détective privé occasionnel, enquête en compagnie de l'employé Estupiñán sur cet assassinat.
Avec l'aide de Quica, une jeune prostituée, et après avoir soudoyé le colonel en charge du dossier, ils vont découvrir que les enjeux de cette affaire sont bien plus complexes et dangereux qu'ils ne le soupçonnaient à priori. Au fil de leurs rencontres, entre politiciens véreux, hommes d'affaires corrompus, prostituées et journalistes, leur investigation les mènera au coeur d'une sordide histoire de biens immobiliers...
C'est une grande surprise que de voir sortir un film colombien en France, mais encore plus d'en voir un qui soit bon.
Perdre est une question de méthode [PEUQDM pour les intimes] est un polar qui brille plus par son classicisme que par son originalité. On y trouve tous les éléments qui font le genre : héros désabusé, vamp séductrice, petit ami de galères sorte de Sancho Panza fidèle des temps modernes... mais là où le film prend tout son intérêt, c'est dans la transposition des éléments classiques du polar dans l'environnement colombien.
Je ne sais pas comment on peut appeler le résultat, en tout cas, ça donne quelque chose de bien. Des personnages caricaturaux au langage fleuri ["on dirait du San Antonio"], d'autres plus sérieux, le tout agrémenté d'une intrigue, qui, bien que confuse ne manque pas d'intérêt.
Et même si elle en manquait ? Où est le problème, de toute façon le plus intéressant dans cette histoire est le portrait très réaliste que dresse Cabrera de la société colombienne, loin des clichés putassiers sur la violence [La vierge des tueurs, Carlitos Medellin et autres reportages TV] ou le trafic de drogues [Blow].
Reste quand même un point noir [et c'est pas qu'il est blanc] : le héros, non pas qu'il soit mauvais, mais son accent méxicain gâche un peu la chose, mais bon j'imagine que c'étaient les conditions de la production, il faut que ça se vende un minimum et l'acteur colombien moyen n'a pas la renommé d'un Camacho [c'est déjà pas mal qu'ils nous aient pas foutu un García Bernal].
Cela dit, je ne pense pas que ça gênera le spectateur français, sauf s'il est amateur d'accents latinoaméricains.
Et puis si ça ne vous tente toujours pas, PEUQDM peut encore vous donner autre chose :
[Voir le message caché (spoiler)]
Les stats du jeu du cinéma sur sharemanga : Le jeu du cinéma SM
Jouez à XM, jeu de rôle !
Posté vendredi 19 août 2005 à 17:14 (#304)
Alors ce soir, c'est la folie chez Rock: Je viens de m'acheter le DVD de "Sacré Graal" des Monthy Pythons et je vais me le matter ce soir, je sens la grosse poilade en perspective!! Vivement ce soir!!!
EDIT: Putain c'est chaud!!! J'ai pas arretter de hurler de rire pendant une heure et demi, c'est vraiment de l'humour de dingue, bravo aux monty Pythons, achetez (ou downloadez) le tous!!!!
EDIT: Putain c'est chaud!!! J'ai pas arretter de hurler de rire pendant une heure et demi, c'est vraiment de l'humour de dingue, bravo aux monty Pythons, achetez (ou downloadez) le tous!!!!
Posté mercredi 24 août 2005 à 01:10 (#305)
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- Pilier
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je viens de repenser a festen (sorti au jeu du cinema 
). C'est vrai que c'est un tres bon film. Peut etre le meilleur Dogme (en tout cas le meilleur que j'ai vu). Le pitch: pour le 60ans du patriarche, toute la famille est conviée. D'ailleurs un des fils de cet homme vient aussi et decide de devoiler les secrets familiaux.
Donc c'est un film dogme, faut pas s'attendre a des effets speciaux incroyables (yen a pas), des beaux mouvements de camera (tourné camera a l'epaule), ou meme a une bande-son (yen a pas non plus, son direct). Ca peut paraitre rebutant, mais le film aurait perdu si il y avait eu tous ces artifices. On a vraiment l'impression de faire parti du film.
Sinon un autre film Dogme: "strass". le pitch: une equipe de tele suit une troupe de theatre, et plus particulierement un prof, qui a des idées bien etablies sur le theatre (faut etre d'avant garde et choquer le petit bourgeois).
Ce qui vaut vraiment le detour dans ce film, c'est l'acteur principal, il incarne le tyran par excellence: autoritaire, mechant, fourbe, pervers (il pense qu' a se faire ses eleves), menteur... En plus il est incarne par un acteur magistral (dont j'ai oublié le nom et j'ai la flemme de chercher...), il faut le voir piquer ses coleres, ca met vraiment mal a l'aise tellement c'est realiste! vraiment a voir pour les performances d'acteurs, l'histoire est pas impressionante...
). C'est vrai que c'est un tres bon film. Peut etre le meilleur Dogme (en tout cas le meilleur que j'ai vu). Le pitch: pour le 60ans du patriarche, toute la famille est conviée. D'ailleurs un des fils de cet homme vient aussi et decide de devoiler les secrets familiaux. Donc c'est un film dogme, faut pas s'attendre a des effets speciaux incroyables (yen a pas), des beaux mouvements de camera (tourné camera a l'epaule), ou meme a une bande-son (yen a pas non plus, son direct). Ca peut paraitre rebutant, mais le film aurait perdu si il y avait eu tous ces artifices. On a vraiment l'impression de faire parti du film.
Sinon un autre film Dogme: "strass". le pitch: une equipe de tele suit une troupe de theatre, et plus particulierement un prof, qui a des idées bien etablies sur le theatre (faut etre d'avant garde et choquer le petit bourgeois).
Ce qui vaut vraiment le detour dans ce film, c'est l'acteur principal, il incarne le tyran par excellence: autoritaire, mechant, fourbe, pervers (il pense qu' a se faire ses eleves), menteur... En plus il est incarne par un acteur magistral (dont j'ai oublié le nom et j'ai la flemme de chercher...), il faut le voir piquer ses coleres, ca met vraiment mal a l'aise tellement c'est realiste! vraiment a voir pour les performances d'acteurs, l'histoire est pas impressionante...
Posté mercredi 31 août 2005 à 06:04 (#306)
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- Storm Trooper lubrique
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PIng pong, un film japonais que j'ai pris sans en avoir jamais entendu parler mais franchement c'est mon coup de coeur du moment... Drôlé, léger et dur a la fois ^^ Je ne voyais vraiment pas le ping pong comme ca ^^ Une belle lecon sur l'amitié 
( lol en écrivant ca, je viens de vraiment comprendre la fin, elle est géniale ^^ 11/10 pour ce film ^^)
( lol en écrivant ca, je viens de vraiment comprendre la fin, elle est géniale ^^ 11/10 pour ce film ^^)
Proud to be a fan of Kuroi Neko
ENCORE Un grand merci a Gigueur pour cette nouvelle signature
"Each night, when I go to bed, I die. And the next morning when I wake up, I am reborn." Ghandi
Posté lundi 12 septembre 2005 à 01:13 (#307)
Un film que j'ai adoré (je viens de finir de le mater), c'est CONSTANTINE.
Un film avec des anges et des démons, des voyages en enfer....
c'est vraiment ultra trippant, en plus le héros est vraiment trop bon
Un film avec des anges et des démons, des voyages en enfer....
c'est vraiment ultra trippant, en plus le héros est vraiment trop bon
Posté lundi 12 septembre 2005 à 08:17 (#308)
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Sudaka82, le 19/08/2005 à 15:37, dit :
de toute façon le plus intéressant dans cette histoire est le portrait très réaliste que dresse Cabrera de la société colombienne, loin des clichés putassiers sur la violence [La vierge des tueurs, Carlitos Medellin et autres reportages TV] ou le trafic de drogues [Blow].
Ha bon parce que c'est pas le coté violent de la société colombienne qui transpire dans ce film ?
Punaise, c'est pas des fiottes les colombiens alors !!
Edit : Je salue au passage nos amis colombiens qui sillonent ce forum. Qu'ils ne voient pas dans mon post un quelconque jugement de ma part sur les moeurs de leurs compatriotes.
(Ca me rappelle le sketch des inconnus sur la météo.... L'après midi quelques pétits nouages.... : Ha là la combien de clichés peuvent se nicher jusque dans l'humour...
Posté lundi 12 septembre 2005 à 11:19 (#309)
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Boulayman, le 31/08/2005 à 07:04, dit :
PIng pong, un film japonais que j'ai pris sans en avoir jamais entendu parler mais franchement c'est mon coup de coeur du moment... Drôlé, léger et dur a la fois ^^ Je ne voyais vraiment pas le ping pong comme ca ^^ Une belle lecon sur l'amitié ( lol en écrivant ca, je viens de vraiment comprendre la fin, elle est géniale ^^ 11/10 pour ce film ^^)
( lol en écrivant ca, je viens de vraiment comprendre la fin, elle est géniale ^^ 11/10 pour ce film ^^)Tu l'as chopé où ?
J'arrive pas à trouver sur eMule... :/
Posté lundi 12 septembre 2005 à 12:10 (#310)
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Pour Ping Pong, les sous-titres ici et les liens mule.. sur la mule... par une recherche rapide tu devrais trouver des fichiers avec 6-7sources... j'en fait parti (demande-moi les liens en pv si tu veux... comme ce n'est pas un anime, le lien ed2k n'a rien à faire ici)
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Pour ma part, un film que j'ai bien aimé c'est Running on Karma :
Genre : Action, Policier, Comedie
Pays : Hong-Kong
Année : 2003
Réalisateur : Johnnie TO Kei-Fung
Acteurs : Andy LAU Tak-Wah,Cecilia CHEUNG Pak-Chi
Scénario : Un ancien moine aide une femme policier dans son enquête, grâce à ses talents particuliers. Il peut en effet voir le Karma des personnes qu'ils approchent, si celles-ci vont mourir dans un proche futur.
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Et dans le cinéma déjanté de Edouard Baer, c'est Akoibon, récemment sorti en salle et déjà dispo sur la mule... ce film souffre un peu de mauvaises critiques, mais ceux qui ont apprécié l'esprit déjanté de Baer dans La Bostella vont aimer :
Réalisé par Edouard Baer
Avec Jean Rochefort, Nader Boussandel, Marie Denarnaud
Pays : Film français.
Genre : Comédie
Année de production : 2004
Site officiel : http://www.akoibon-lefilm.com/
Scénario : Nader, un petit escroc, est contraint de se rendre sur une minuscule île du Sud pour tenter de débusquer Chris Barnes, ex-roi de la jet set et ami des stars, qu'une mystérieuse commanditaire veut coincer. Daniel, lui, a soudain planté femme et enfants pour venir y rencontrer l'énigmatique jeune femme à qui il a tant écrit par Internet. En chemin, convaincus que cela facilitera leur approche, Daniel et Nader décident d'échanger leurs identités...
Pour ma part, un film que j'ai bien aimé c'est Running on Karma :
Genre : Action, Policier, Comedie
Pays : Hong-Kong
Année : 2003
Réalisateur : Johnnie TO Kei-Fung
Acteurs : Andy LAU Tak-Wah,Cecilia CHEUNG Pak-Chi
Scénario : Un ancien moine aide une femme policier dans son enquête, grâce à ses talents particuliers. Il peut en effet voir le Karma des personnes qu'ils approchent, si celles-ci vont mourir dans un proche futur.
Et dans le cinéma déjanté de Edouard Baer, c'est Akoibon, récemment sorti en salle et déjà dispo sur la mule... ce film souffre un peu de mauvaises critiques, mais ceux qui ont apprécié l'esprit déjanté de Baer dans La Bostella vont aimer :
Réalisé par Edouard Baer
Avec Jean Rochefort, Nader Boussandel, Marie Denarnaud
Pays : Film français.
Genre : Comédie
Année de production : 2004
Site officiel : http://www.akoibon-lefilm.com/
Scénario : Nader, un petit escroc, est contraint de se rendre sur une minuscule île du Sud pour tenter de débusquer Chris Barnes, ex-roi de la jet set et ami des stars, qu'une mystérieuse commanditaire veut coincer. Daniel, lui, a soudain planté femme et enfants pour venir y rencontrer l'énigmatique jeune femme à qui il a tant écrit par Internet. En chemin, convaincus que cela facilitera leur approche, Daniel et Nader décident d'échanger leurs identités...
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Posté lundi 12 septembre 2005 à 19:50 (#311)
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Un film avec Jean Rochefort ne peut pas être mauvais.
Merci à Az` pour la signature.
Posté mardi 13 septembre 2005 à 23:31 (#312)
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Je viens de voir Broken Flowers de Jim Jarmush...
Bill Murray à la recherche d'un fils hypothétique part à la rencontre de 5 ex-maitresses. Road movie aux USA avec of course une superbe bande-son (le générique s'apelle "there is an end" pour vous donner la tonalité) , et de jolies femmes. Parfois drôle, toujours mélancolique, des plans parfaits : lorsque le film se termine on a encore les yeux écarquillés
, le sourire en coin 
et une grosse envie de vivre son présent.
Bref Kaori a aimé...
Bill Murray à la recherche d'un fils hypothétique part à la rencontre de 5 ex-maitresses. Road movie aux USA avec of course une superbe bande-son (le générique s'apelle "there is an end" pour vous donner la tonalité) , et de jolies femmes. Parfois drôle, toujours mélancolique, des plans parfaits : lorsque le film se termine on a encore les yeux écarquillés
, le sourire en coin et une grosse envie de vivre son présent.Bref Kaori a aimé...
Pas de beau film cet été 
Posté mercredi 14 septembre 2005 à 16:40 (#314)
constantine ,j'ai adore j'ai vu aussi dernierement dark water (version japonaise ) et je l'ai trouve excellent 
et j'ai aime aussi eternal sunshine vu y a pas tres longtemps ^^
et j'ai aime aussi eternal sunshine vu y a pas tres longtemps ^^
Posté vendredi 16 septembre 2005 à 00:13 (#315)
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Constantine est sympa c'est vrai, mais sans plus...
Un que j'ai vu récemment que j'ai carrément aimé c'est Aviator de Scorsese
Les acteurs sont excellents, la réalisation top, les couleurs trop lol (parfois space mais qui rendent trop bien)
La vie de Howard Hughes comme si vous y étiez...
Ou comment un "malade" a fait avancer bien des choses...
C'est vraiment bien joué, ça fait film-docu mais les 2h45 du film passent comme un charme tellement c'est prenant !!
Bref, à voir
Un que j'ai vu récemment que j'ai carrément aimé c'est Aviator de Scorsese
Les acteurs sont excellents, la réalisation top, les couleurs trop lol (parfois space mais qui rendent trop bien)
La vie de Howard Hughes comme si vous y étiez...
Ou comment un "malade" a fait avancer bien des choses...
C'est vraiment bien joué, ça fait film-docu mais les 2h45 du film passent comme un charme tellement c'est prenant !!
Bref, à voir
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