la fatigue qui telle une heureuse messages d'hermés, viendrait frapper a ma porte, ouvrant de ces mains qui scintillent le sable du sommeil millainaire, une douce carrese de l'espoir d'entrevoir le repis du corps, libérant l'ames furibonde d'avoir etai captif de ce monde a la réalitée rigide, de concevaoit cette délivrance procahine, bien qu'éphemere comme une orbe adombrissant les hast des geuriires du trône de l'insomnie, qui de son regard corrupteur ma econduit sur le chemin de la faierie