Je me suis (enfin) maté la trilogie Infernal Affairs (bon j'avais vu le 1er mais pas les suivants ... pourtant je les avais gravé il y a un moment) et c'est 3 super films. L'intrigue est prenante, les personnages attachants; même s'il y a peu d'action (je dis ca surtout pour les fans des films à la The Killer de John Woo) le scénar est tellement prenant que ca ne dérange pas.
Point de vue chronologique:
[Voir le message caché (spoiler)]
ps: Pour avoir acheter le 1er en dvd (qui est sorti recemment) dans les bonus se trouve la fin alternative ... bah heureusement qu'ils l'ont pas choisi car elle est "à chier".
-
15 Pages
- « Première
- ←
- 7
- 8
- 9
- 10
- 11
- →
- Dernière »
Cinema asiatique discussions et suggestions
Posté jeudi 21 juillet 2005 à 14:13 (#121)

Posté lundi 01 août 2005 à 11:51 (#122)
HUM aragmi un film de sabre dans un huit clos, et tout bonnement sublimes
sinon il y sword of th moon
puis tout les tomies
suicide club a ne pas rater
cat's eyes en film c bien fun
returner on passe un bont moment
wizard of darkness, qui a une fin bien faites
juon toute la serie c'est the grudge
visitor q un kubrik en puissance
dragon head beau et a voir au moins une fois
stacy un film de zombie jap avec plein de reference au gran film de undead
audition lent mais envoutant
azumi pour ce detendre suivi de princesse blade avec un final ou on vissionne versus l'indispensable
camp 731 est bien trash, mais a voir pour la culture du genre
the lovers de tsui hark mon film fetiches qui marie tout a mon gouts
2002 rigolo en soit
mon oieul gauche voit les phantomes, une comedi romantique
voile j'ai poster de tete queque film, mais si vous voulez plus d'information sur des films je repondrai volontier
sinon il y sword of th moon
puis tout les tomies
suicide club a ne pas rater
cat's eyes en film c bien fun
returner on passe un bont moment
wizard of darkness, qui a une fin bien faites
juon toute la serie c'est the grudge
visitor q un kubrik en puissance
dragon head beau et a voir au moins une fois
stacy un film de zombie jap avec plein de reference au gran film de undead
audition lent mais envoutant
azumi pour ce detendre suivi de princesse blade avec un final ou on vissionne versus l'indispensable
camp 731 est bien trash, mais a voir pour la culture du genre
the lovers de tsui hark mon film fetiches qui marie tout a mon gouts
2002 rigolo en soit
mon oieul gauche voit les phantomes, une comedi romantique
voile j'ai poster de tete queque film, mais si vous voulez plus d'information sur des films je repondrai volontier

pascenter http://marmot.gruk.o...&P=sadraven.png pascenter^^
mon blog
ta le potentiel alors ecoute moi et t'avancera moins loin, donc tu seras moins fatigué^^
alors que si tu les ecoutes tu ira loin, et tu sera fatigué^^
Posté lundi 01 août 2005 à 12:56 (#123)
Citation
azumi pour ce detendre suivi de princesse blade avec un final ou on vissionne versus l'indispensable
ahh horreur plutôt que princesse blade matez l'original lady snowblood (je ne le redirais jamais asser ce film est magnifique)
et quand a azumi je viens de voir le 2 mais lol c'est histoire encore plus basique que le premiers 'death or love le titre ahah on sent le coup venir de loin la...) a par la présence de la craquante Aya Ueto(même si elle chante de la m**de en tant qu'actrice la elle a au moins un jolie minois

le premier était pourtant regardable mais la je dit non il faut oublier ce film^^


lynch_is_god © rojo ||La vie au fond, ce n'est qu'un court passage sur Terre.
Alors ne sois pas con, profites de tout ... finis ta bière !

Posté vendredi 19 août 2005 à 11:01 (#124)
Le chateau de l'araignée : (durée 1h45)
Genre : comte/samourai . D'Akira Kurosawa.
J'ai bien aimé ce film, c'est lent et rapide à la fois.
Lent car le réal prends le temps de filmer des décors, des réactions de personnages etc. Mais ce n'est pas chiant du tout. Quand un samourai rencontre une sorcière, il passe par plein de stades de réactions logiques. Dans beaucoup de films, les réactions sont immédiates (genre je vois un monstre, je fuis). Ici, on a vraiment de la consistance au niveau du jeu des persos.
Le film est à la fois rapide car il n'y a pas de fioritures niveau scénar. On raconte ce qui doit être raconté sans s'apensantir sur des trucs annexes qui auraient nuit au déroulement des choses (genre une histoire d'amour à la con etc).
Au final, c'est une sorte de tragédie grecque sur fond de philosophie japonaise. Il y a du fantastique (très léger) qui se mélange à merveille avec la réalité, à tel point que c'est crédible.
On retrouve des acteurs fétiches de kurosawa. Le perso principal est joué par Mifune (désolé si j'écorche l'ortho), un acteur très connu à cette époque au japon (années 50). D'ailleurs il a joué dans les 7 samourais (le role du campagnard samourai bourru, je crois bien).
Pour terminé, quelques passages sont un peu stressants. Je pense notamment à la femme de Mifune dans le film, qui a une allure très "ringienne" (mais ça fout pas les boules !!! Elle est juste angoissante/trippante).
Genre : comte/samourai . D'Akira Kurosawa.
J'ai bien aimé ce film, c'est lent et rapide à la fois.
Lent car le réal prends le temps de filmer des décors, des réactions de personnages etc. Mais ce n'est pas chiant du tout. Quand un samourai rencontre une sorcière, il passe par plein de stades de réactions logiques. Dans beaucoup de films, les réactions sont immédiates (genre je vois un monstre, je fuis). Ici, on a vraiment de la consistance au niveau du jeu des persos.
Le film est à la fois rapide car il n'y a pas de fioritures niveau scénar. On raconte ce qui doit être raconté sans s'apensantir sur des trucs annexes qui auraient nuit au déroulement des choses (genre une histoire d'amour à la con etc).
Au final, c'est une sorte de tragédie grecque sur fond de philosophie japonaise. Il y a du fantastique (très léger) qui se mélange à merveille avec la réalité, à tel point que c'est crédible.
On retrouve des acteurs fétiches de kurosawa. Le perso principal est joué par Mifune (désolé si j'écorche l'ortho), un acteur très connu à cette époque au japon (années 50). D'ailleurs il a joué dans les 7 samourais (le role du campagnard samourai bourru, je crois bien).
Pour terminé, quelques passages sont un peu stressants. Je pense notamment à la femme de Mifune dans le film, qui a une allure très "ringienne" (mais ça fout pas les boules !!! Elle est juste angoissante/trippante).
1. Eviter toutes pensées perverses.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
Posté lundi 05 septembre 2005 à 23:10 (#125)
J'ai vu "3 Iron" (Bi-Jin??) et ouf, je ne m'en remet pas encore tellement c'était beau et poétique. L'histoire d'un mec qui pose des prospectus sur les portes et rentre dans les maisons quand il voit que les prospectus sont encore là après quelques jours. Sauf qu'un jour, il rentre dans une maison et tombe sur une femme battue. La suite, je préfère vous laissez
!


Tentai Senshi Sunred : Complet [Shinrei], Higepiyo : Complet [FLA], Saki : Complet [T-F],
Oruchuban Ebichu : Complet [Zeu$-Team], Pani Poni Dash : 1 à 11 [Rey-T], Giant Killing : 1 à 26 [MJF]
Posté vendredi 09 septembre 2005 à 14:38 (#126)
J'ai vu hier soir One Missed Call (qui va sortir le 21 septembre en france sous le nom de "La Mort En Ligne")... Et bien, je m'était dis que ca allait etre un film d'horreur pompé sur Ringu, et bien, j'ai été assez surpris... La mise en scene de Takashi Miike accroche bien, et l'ambiance générale est assez flippante (pas trop mais si vous le regardé avec une personne qui s'effrait rapidement, preparez-vous a la voir sursauté plus d'une fois)...
Je ne sais pas ce que la VF va donner (et oui, il est difficile de doubler les films asiatiques) mais j'irai quand meme le voir, histoire de comparer
Sinon, j'ai entendu parler d'un film thailandais nommé Shutter, qui, a ce qui parait, donne vraiment des frissons... Donc, je vais essayer de trouver ca
Je ne sais pas ce que la VF va donner (et oui, il est difficile de doubler les films asiatiques) mais j'irai quand meme le voir, histoire de comparer

Sinon, j'ai entendu parler d'un film thailandais nommé Shutter, qui, a ce qui parait, donne vraiment des frissons... Donc, je vais essayer de trouver ca

Posté vendredi 09 septembre 2005 à 15:03 (#127)
Shutter, je l'ai vu il est vraiment nickel ;) quelqu'un sait si Bunshinsaba est bien ?
@ sadraven quelle psychopate cette fille hein ?!
surtout quand elle
[Voir le message caché (spoiler)]
@ sadraven quelle psychopate cette fille hein ?!

[Voir le message caché (spoiler)]

Posté samedi 10 septembre 2005 à 03:09 (#128)
Réal : Takashi Miike -- Durée : 1h30 et des brouettes -- Date : 2002

Deux mois sans voir un film de Miike car je travaillais loin de chez moi. Autant dire que la reprise de l'exploration de ses films fait office de super orgasme.
Deadly outlaw c'est tout d'abord une scène introductive survitaminée. Elle ressemble d'ailleurs à celle de Dead or alive 1. Perso, je préfère celle de deadly outlaw car le rythme, l'action et la musique (Flower travellin' band, album "Satori", date 1979) collent parfaitement.
Ensuite c'est un Riki Takeuchi (l'instit fou de Battle royale 2) en pleine forme que l'on retrouve. L'acteur a d'ailleurs déjà tourné avec Miike, notamment dans la série des Doa. Ici, il joue le role d'un yakuza bourru aussi déterminé que violent. Pour ceux qui n'aurait vu de lui que Battle Royale 2, c'est un bon acteur, dans Br2 il se parodiait plus qu'autre chose. La précision est importante, car si on s'en tient à Br2, on peut trouver que c'est un parfait crétin, or il n'en est rien.
Deadly outlaw c'est du pure miike, un film fou et ultra speed. Pas une seconde d'emmerdement. Ca va touours plus haut, toujours plus loin. C'est absurde ; ex : un gars se ballade avec une mitraillette sentinelle hyper lourde à bout de bras alors qu'en réalité c'est absolument infaisable. Tout ça reste tout de même assez réaliste dans le sens où c'est un film d'action et où ce genre de fantaisies sont tolérées. C'est important à préciser car Miike est le genre de gars qui n'hésite pas à faire apparaitre des penis robots géants à la fin de ses films alors que rien ne laissait penser que ça pouvait arriver.
Je suis ressorti de ce film comblé. J'en ai pris plein les mirettes et je suis définitivement un inconditionnel de Miike.
1. Eviter toutes pensées perverses.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
Posté samedi 10 septembre 2005 à 08:42 (#129)
Pendant que j'y pense y'à devilman qui est sorti en film avec des acteurs ;)

et une autre que je trouve magnifique

Les démons ont décidé d'envahir notre monde et seul un jeune adolescent, Akira Fudo, semble être en mesure de s'y opposer après avoir lui-même fusionné avec une entité démoniaque très puissante...
il est pas si mal, même si des fois les acteurs surjouent un peu, mais il se laisse regarder.

et une autre que je trouve magnifique

Les démons ont décidé d'envahir notre monde et seul un jeune adolescent, Akira Fudo, semble être en mesure de s'y opposer après avoir lui-même fusionné avec une entité démoniaque très puissante...
il est pas si mal, même si des fois les acteurs surjouent un peu, mais il se laisse regarder.


Posté mercredi 21 septembre 2005 à 23:46 (#130)
Je reviens du cinema où j'ai été voir La Mort En Ligne...
Préférez la VO pour ce film (tout comme les animes ;) ), parce que la VF n'est pas si terrible, le film perd tout son charme...
J'ai vu Shutter, c'est un bon petit film a regarder (surtout si vous etes avec une personne qui sursaute facilement
)...
J'ai également vu Dead Friend (film coréen), qui se laisse regarder mais sans plus (il n'y a que la fin qui ma suggérer de l'originalité, sinon, c'est du "réchauffé")...
Préférez la VO pour ce film (tout comme les animes ;) ), parce que la VF n'est pas si terrible, le film perd tout son charme...
J'ai vu Shutter, c'est un bon petit film a regarder (surtout si vous etes avec une personne qui sursaute facilement

J'ai également vu Dead Friend (film coréen), qui se laisse regarder mais sans plus (il n'y a que la fin qui ma suggérer de l'originalité, sinon, c'est du "réchauffé")...
Posté vendredi 23 décembre 2005 à 04:00 (#131)
Réalisateur : Takashi Miike
Durée : 2heures et des brouettes
Date : 2002

Si je ne me trompe pas, ce film fait partie d'une trilogie de takashi miike, dont le thème est "les yakuzas". Deadly outlaw devait être l'un des deux autres. Bref, trois film sans liens, si ce n'est le thème (reste à vérifier si ils sont bien dans cette trilogie, j'arrive plus à retrouver ma source)
Deadly outlaw, c'était l'histoire d'un yakuza immuable, que rien n'arrête et que le temps n'altère pas. Miike nous a offert un pur moment de jouissance.
Avec Graveyard of honnor, pas la peine de rechercher la même chose (autant se remater deadly). Pourtant, au début du film, tout porte à croire qu'on va suivre une nouvelle histoire de dingue à base de perso principal totalement givré.
C'est à peu près le cas, mais miike aborde les choses de manière différente. Dans deadly outlaw, le héros est quasi immortel. Dans graveyard of honor, le héros est toujours un fou fonceur, mais il est bien réél et ce qui l'entoure aussi. Quand il fait un bon choix, tant mieux pour lui, quand il se plante, il se plante et personne ne viendra le sortir de la merde dans laquelle il s'est foutue.
On suit donc un gars foufou, à qui son caractère apportera tantôt des coups de chances, tantôt des coups de loose. La force de cette approche, c'est de rendre le personnage humain. (Dans deadly outlaw, le gars était limite un dieu vivant.)
Miike change certains ingrédients et nous mijote un nouvel univers de yakuza particulièrement bien senti. A tel point que j'ai presque versé une larmichette dans le générique de fin.
Là où deadly vous fait ressortir avec une banane indescante "purée, j'ai jouis 1000 fois", graveyard vous fera tripper, réfléchir, tripper, réfléchir...
En gros, tout n'est pas blanc où noir, le coup le plus pourris ne vous crééra pas forcément des ennemis jurés, mais à l'inverse, vous pouvez douter de vos amis (à tords ou à raison). (c'est pas de la philo ou une morale, c'est juste la manière dont sont gérer les relations dans l'univers que dépeint film).
Dans deadly outlaw, nous étions les spectateurs de la vie d'un sur homme // dieu. Dans graveyard, nous somme des dieux/spectateurs regardant un homme. Le mec est plongé dans son univers et ne perçoit que son champs de vision, tandis que nous, nous savons, nous le voyons se tromper, avoir raison et connaissons tout ce qui passe autour.
Pour tout ça, c'est un film puissant, à voir pour tout fan de deadly et de miike qui se respecte.
Concernant la durée, je n'ai pas vu les deux heures passer.
1. Eviter toutes pensées perverses.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
Posté vendredi 23 décembre 2005 à 11:39 (#132)
Ma dernière claque cinématographique n'est pas nippone mais coréenne, et c'est l'arc de Kim Ki-Duk.
C'est l'histoire d'un vieil homme qui recueille une enfant de 6-7 ans et qui l'élève sur son bateau en pleine mer. Son but, dès que la jeune fille aura 17 ans sera de se marrier avec. Jusqu'ici tout va bien il sont heureux et vivent leur petite vie tranquillement, le vieil homme prépare doucement le mariage, ce n'est plus qu'une question de jours. Mais la jeune fille tombe amoureuse d'un garçon de son age, venu faire une partie de pêche sur le bateau du vieil homme, et à partir de ce jour là les relations entre les deux personnages se dégradent.
Un film très poétique qui ravira ceux qui ont aimé "printemps été automne hiver et printemps" toujours de Kim Ki-Duk. Pourquoi l'arc comme titre me direz vous, et bien nos deux personnages règlent leurs disputes ou problèmes avec un arc, qui sert aussi d'instrument de musique, c'est étrange dit comme ça, mais l'arc a un rôle important dans ce film.
A voir absolument et pour une meilleure critique que la mienne reportez-vous a calorifix.net
C'est l'histoire d'un vieil homme qui recueille une enfant de 6-7 ans et qui l'élève sur son bateau en pleine mer. Son but, dès que la jeune fille aura 17 ans sera de se marrier avec. Jusqu'ici tout va bien il sont heureux et vivent leur petite vie tranquillement, le vieil homme prépare doucement le mariage, ce n'est plus qu'une question de jours. Mais la jeune fille tombe amoureuse d'un garçon de son age, venu faire une partie de pêche sur le bateau du vieil homme, et à partir de ce jour là les relations entre les deux personnages se dégradent.
Un film très poétique qui ravira ceux qui ont aimé "printemps été automne hiver et printemps" toujours de Kim Ki-Duk. Pourquoi l'arc comme titre me direz vous, et bien nos deux personnages règlent leurs disputes ou problèmes avec un arc, qui sert aussi d'instrument de musique, c'est étrange dit comme ça, mais l'arc a un rôle important dans ce film.
A voir absolument et pour une meilleure critique que la mienne reportez-vous a calorifix.net

Posté vendredi 23 décembre 2005 à 15:41 (#133)
L'arc était un film sympa (assez court je crois). Par contre, sur la fin, le réal appuie trop fortement son message métaphorique. Ca en devient redondant et un peu lourd. Mais c'est un film sympa. A mon avis, on allège la fin un peu indigeste et on obtient un moyen métrage de très bonne facture.
1. Eviter toutes pensées perverses.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
Posté vendredi 23 décembre 2005 à 17:20 (#134)
magetoolien, le 23/12/2005 à 16:41, dit :
L'arc était un film sympa (assez court je crois). Par contre, sur la fin, le réal appuie trop fortement son message métaphorique. Ca en devient redondant et un peu lourd. Mais c'est un film sympa. A mon avis, on allège la fin un peu indigeste et on obtient un moyen métrage de très bonne facture.
Je suis assez d'accord avec toi pour la lourdeur métaphorique, encore que venant de Kim Ki-Duk je ferme volontier les yeux, mais le film fait bien son heure et demie si je me souviens bien. Comme tu l'as dit un film sympa, je rajouterais poétique, ce qui ne fait pas de mal par les temps qui courrent.
Posté samedi 31 décembre 2005 à 01:06 (#135)
J'ai vu dernièrement un très beau film HK réalisé par Soi Cheang du nom de Love Battlefield, que je conseille à tous.
C'est l'histoire de Yiu et Ching qui forment un couple moderne et visiblement heureux, jusqu'au jour du vol de la voiture de Yui. Ce qui contraint ce couple d'annuler leur voyage en Europe prévu de longue date, et entraîne une violente dispute.
Seul, un peu déprimé, Yiu retrouve finalement une once de sourire lorsqu'il remet par hasard la main sur sa voiture... mais les truands ne sont pas loin : ils décident d'embarquer Yiu dans leur équipée sauvage.
[Voir le message caché (spoiler)]

PS:
Born To Fight (que j'ai trouvé particulièrement ridicule)
C'est l'histoire de Yiu et Ching qui forment un couple moderne et visiblement heureux, jusqu'au jour du vol de la voiture de Yui. Ce qui contraint ce couple d'annuler leur voyage en Europe prévu de longue date, et entraîne une violente dispute.
Seul, un peu déprimé, Yiu retrouve finalement une once de sourire lorsqu'il remet par hasard la main sur sa voiture... mais les truands ne sont pas loin : ils décident d'embarquer Yiu dans leur équipée sauvage.
[Voir le message caché (spoiler)]

PS:
Lilandra, le 18/02/2005 à 00:28, dit :
Conaissez vous d'autres films avec l'acteur principal de Ong Bak ? Tom-Yum Goong
Born To Fight (que j'ai trouvé particulièrement ridicule)
Partager ce sujet :
-
15 Pages
- « Première
- ←
- 7
- 8
- 9
- 10
- 11
- →
- Dernière »