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magetoolien encore d'accord avec toi, Kiyoshi Kurosawa vraiment incroyable même si j'admet avoir eu un peu de mal à suivre Charisma, par contre je me suis regardé Kairo une bonne dizaine de fois et même si c'est un avis qui peut paraitre étrange je le trouve "beau", si tu ne l'a pas vu je te conseil aussi Cure, ça commence comme une enquête policière et puis...
j'ai Seance et bright future mais je ne les ai pas encore maté, donc pas d'avis dessus.
je me suis regardé Memories of murder de Bong Joon Ho hier soir et c'est très bon, une enquête sur un sériel killer où la compétence de la police corréenne en prends un coup!! à voir (ça a surement été déjà dit?).
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Cinema asiatique discussions et suggestions
Posté mardi 05 juillet 2005 à 23:32 (#106)
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Posté lundi 11 juillet 2005 à 13:48 (#107)
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Il y a un mois, en me balladant sur calorifix, je suis tombé sur un film asiatique de science fiction : Casshern (2004).
Le japon vendait ce long métrage comme le renouveau du genre, allant même jusqu'a dire que ça n'avait jamais été vu.
Le critique de Calorifix disait que c'était un bel écrain mais que passé le visionnage, le film ne perdurerait pas dans nos mémoires.
Après avoir lu ces deux choses, je n'attendais rien de Casshern hormis une démonstration technique de ce que peuvent faire les jap.
C'est donc sans attente particulière qu'un soir j'ai entamé le visionnage des 2h30 du film.
Dès les premières secondes, le ton est donné. Chaque image est retouchée, on n'est pas dans de la synthèse pure, mais on n'est pas non plus dans du réalisme visuel. Le mélange est subtile et travaillé, à la manière d'un Avalon. On sens clairement les moyens financiers et la grosse production mais pourtant les effets spéciaux ne font pas vomir comme ceux de l'horrible star wars (new generation). Comme quoi, même en, faisant du visuel pour du visuel, si on a du talent, ça reste appréciable.
Passé ce mélange réussis de Matrix et d'Avalon que reste t'il ? Un scénario étrange, un ovni. Effectivement, c'est du jamais vu.
Je n'ai pas pu m'empecher de faire un parrallèle avec le jeu final fantasy (pas le film de FF qui était tout pourri). Dans Casshern, c'est un peu le même genre de trip : Des passages classes, d'autres complétèment stéréotypés/ridicules et une histoire fleuve. On a les mêmes sensations que dans un final fantasy, le tout regroupés sur 2h30. Ca passe très vite et ça ce regarde facilement.
Passer le concept d'un jeu de 60 heures à un film de 2h30 est un exercice nouveau. D'une part, les personnages n'ont pas le temps de trouver un véritable souffle. Mais d'autres part, le spectateur est pris dans un flot narratif assez dense et original.
Au niveau des personnages, on a parfois l'impression de mater un téléfilm. Il faut le dire, les mecs ne jouent pas tous super bien. Enfin, c'est surtout dû à une certaine forme d'exagération scénique dont font preuve certains acteurs nippons.
On a aussi l'impression que passé la vingtaine de perso secondaires et principaux, il n'y a plus personne. En fait, le visuel étant tellement vertigineux par moment, qu'un nombre normal d'acteurs ça choque. Imaginez la seigneur des anneaux avec le nombre de gars qu'il y a dans braveheart, ca relativise tout de suite le coté épique. Casshern souffre un peu de ça.
Toujours coté des personnages, on peut reprocher le caractère simplet de certains (le méchant avec qui ont a été cruel une fois pendant son enfance et qui ensuite ne reve que de détruire la planète).
Mais les défauts font aussi les qualités. Comme dans un final fantasy, on se laisse prendre au jeu. La musique hypnotique sert de fils conducteur tout au long du film. Au niveau de l'histoire, on n'assite pas à la mise en scène d'un bloque. C'est à dire que l'on a pas 20 minutes où le héros devient héros et où le méchant devient... méchant, puis 1 heure où ça blablatte et 20 minutes de combat final.
Dans Casshern c'est différent, les 20 premières minutes pourraient facilement représenter la moitié de n'importe quel film basique. Et il en va de même pour tout le reste. Le condensé de l'histoire nuit à la profondeur de certains personnages, mais au final, on assiste à une aventure originale. Le point de départ et le point d'arrivée sont vraiment à mille lieux l'un de l'autre. Et c'est franchement appréciable. Passé le désavantage de certains stéréotypes, on peut se laisser flotter le long de ce film qui nous emportera dans autant de directions qu'un final fantasy.
Après visionnage, effectivement, il ne reste pas grand chose de l'histoire ou des personnages. Mais on restera avec une sensation étrangement agréable d'avoir vu un ovni. Pour moi, Casshern représente la preuve qu'avec de la thune et une volonté Blockbuster, il est possible de faire quelque chose d'orignal. C'est un film qui mérite le détour, surtout pour les fans de Rpg à la FF.
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Le japon vendait ce long métrage comme le renouveau du genre, allant même jusqu'a dire que ça n'avait jamais été vu.
Le critique de Calorifix disait que c'était un bel écrain mais que passé le visionnage, le film ne perdurerait pas dans nos mémoires.
Après avoir lu ces deux choses, je n'attendais rien de Casshern hormis une démonstration technique de ce que peuvent faire les jap.
C'est donc sans attente particulière qu'un soir j'ai entamé le visionnage des 2h30 du film.
Dès les premières secondes, le ton est donné. Chaque image est retouchée, on n'est pas dans de la synthèse pure, mais on n'est pas non plus dans du réalisme visuel. Le mélange est subtile et travaillé, à la manière d'un Avalon. On sens clairement les moyens financiers et la grosse production mais pourtant les effets spéciaux ne font pas vomir comme ceux de l'horrible star wars (new generation). Comme quoi, même en, faisant du visuel pour du visuel, si on a du talent, ça reste appréciable.
Passé ce mélange réussis de Matrix et d'Avalon que reste t'il ? Un scénario étrange, un ovni. Effectivement, c'est du jamais vu.
Je n'ai pas pu m'empecher de faire un parrallèle avec le jeu final fantasy (pas le film de FF qui était tout pourri). Dans Casshern, c'est un peu le même genre de trip : Des passages classes, d'autres complétèment stéréotypés/ridicules et une histoire fleuve. On a les mêmes sensations que dans un final fantasy, le tout regroupés sur 2h30. Ca passe très vite et ça ce regarde facilement.
Passer le concept d'un jeu de 60 heures à un film de 2h30 est un exercice nouveau. D'une part, les personnages n'ont pas le temps de trouver un véritable souffle. Mais d'autres part, le spectateur est pris dans un flot narratif assez dense et original.
Au niveau des personnages, on a parfois l'impression de mater un téléfilm. Il faut le dire, les mecs ne jouent pas tous super bien. Enfin, c'est surtout dû à une certaine forme d'exagération scénique dont font preuve certains acteurs nippons.
On a aussi l'impression que passé la vingtaine de perso secondaires et principaux, il n'y a plus personne. En fait, le visuel étant tellement vertigineux par moment, qu'un nombre normal d'acteurs ça choque. Imaginez la seigneur des anneaux avec le nombre de gars qu'il y a dans braveheart, ca relativise tout de suite le coté épique. Casshern souffre un peu de ça.
Toujours coté des personnages, on peut reprocher le caractère simplet de certains (le méchant avec qui ont a été cruel une fois pendant son enfance et qui ensuite ne reve que de détruire la planète).
Mais les défauts font aussi les qualités. Comme dans un final fantasy, on se laisse prendre au jeu. La musique hypnotique sert de fils conducteur tout au long du film. Au niveau de l'histoire, on n'assite pas à la mise en scène d'un bloque. C'est à dire que l'on a pas 20 minutes où le héros devient héros et où le méchant devient... méchant, puis 1 heure où ça blablatte et 20 minutes de combat final.
Dans Casshern c'est différent, les 20 premières minutes pourraient facilement représenter la moitié de n'importe quel film basique. Et il en va de même pour tout le reste. Le condensé de l'histoire nuit à la profondeur de certains personnages, mais au final, on assiste à une aventure originale. Le point de départ et le point d'arrivée sont vraiment à mille lieux l'un de l'autre. Et c'est franchement appréciable. Passé le désavantage de certains stéréotypes, on peut se laisser flotter le long de ce film qui nous emportera dans autant de directions qu'un final fantasy.
Après visionnage, effectivement, il ne reste pas grand chose de l'histoire ou des personnages. Mais on restera avec une sensation étrangement agréable d'avoir vu un ovni. Pour moi, Casshern représente la preuve qu'avec de la thune et une volonté Blockbuster, il est possible de faire quelque chose d'orignal. C'est un film qui mérite le détour, surtout pour les fans de Rpg à la FF.
13/20
1. Eviter toutes pensées perverses.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
Posté mercredi 13 juillet 2005 à 16:31 (#108)
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je me suis pas tapé les 8 pages sur le cinema asiatique, mais je voudrais connaitre un peu plus de films d'akira kurosawa (je n'ai vu que rashomon). il parait que c l'un des meilleurs, sinon le meilleurs real japonais, mais j'ai un peu peur que ces films fassent 3heures et qu'il ne se passe pas grand chose... non pas que ca me decourage mais si quelqu'un pouvait m'en conseiller...
Merci d'avance
Merci d'avance
Posté mercredi 13 juillet 2005 à 17:08 (#109)
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Il y a le classique : Les 7 samourais.
Ca dure 2h30 si je me souviens bien. Mais c'est plaisant.
Pour un film des années 50, il n'y a rien de ridicule ou d'obsolète. Tu peux regarder ce film là. Moi je l'ai vu en deux fois (pour une raison qui ne m'est pas imputable).
L'histoire : Un village harcelé par des méchants bandits, décide de recruter des samourais pour se défendre.
Dit comme ça, ça a l'air de déjà vu. D'ailleurs ca l'est. Mais ça reste super fun a regarder. Et l'age n'est en rien un défaut pour ce film, qui supplante bon nombre de trucs contemporains.
Ca dure 2h30 si je me souviens bien. Mais c'est plaisant.
Pour un film des années 50, il n'y a rien de ridicule ou d'obsolète. Tu peux regarder ce film là. Moi je l'ai vu en deux fois (pour une raison qui ne m'est pas imputable).
L'histoire : Un village harcelé par des méchants bandits, décide de recruter des samourais pour se défendre.
Dit comme ça, ça a l'air de déjà vu. D'ailleurs ca l'est. Mais ça reste super fun a regarder. Et l'age n'est en rien un défaut pour ce film, qui supplante bon nombre de trucs contemporains.
1. Eviter toutes pensées perverses.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
Posté jeudi 14 juillet 2005 à 01:32 (#110)
Vivement seven swords 
la sortie pour novembre si je me souviens bien.
Le film gagnerai plus d'une heure lors de sa sorti en dvd parrait il.
la sortie pour novembre si je me souviens bien.
Le film gagnerai plus d'une heure lors de sa sorti en dvd parrait il.
Posté jeudi 14 juillet 2005 à 17:57 (#111)
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je sais pas si vous avez vu ya le nouveau kitano qui doit bientot sortir, la semaine prochaine meme... blood and bones que ca s'apelle. par contre je sais pas du tout de quoi ca parle
Posté jeudi 14 juillet 2005 à 18:09 (#112)
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- Mur du forum
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moi je voulais aller voir le dernier Jackie Chan apparement il reviens à ses débuts, mais aucune salle de le diffuse en vostf, donc, je vais pas aller le voir pour avoir des voix françaises ridicules avec de la censure j'en suis sur 
Posté jeudi 14 juillet 2005 à 21:33 (#113)
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- Lord Carotte
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Infos
Citation
En 1923, Kim Shun, un jeune paysan, quitte son île natale, au sud de la Corée, et débarque en bateau à Osaka, au Japon. Son obsession : faire fortune. En soixante ans, cet homme aussi brutal que charismatique connaîtra la richesse et le pouvoir, mais se condamnera à la solitude, puisqu'il n'aime que ce qu'il a détruit.
Date de sortie : 20 Juillet 2005
http://www.japonfacile.com/
Japon Facile - Site de photos, vidéos et infos sur le Japon & Blog sur l'actu japonaise
Posté jeudi 14 juillet 2005 à 22:32 (#114)
New police story est une pale copie de ce qu'il faisait lors de sa (la) grande époque HK.
Ceci dit il ya tout de meme un paquet de bonne chose dans ce film.
A 50 ans Jackie reste impressionnant dans ses prouesses physiques et martiales ( son jeux d'acteur l'est aussi mais dans le mauvais sens du terme.)
Pour finir je dirai que le film est en 2 partis, une premier assez ridicule
[Voir le message caché (spoiler)]
, et une seconde tres plaisante, divertissante, drole.
Je reste malgres tout un grand fan ( de la premiere heure ) de ce genie du cinema d'action en general.
Ceci dit il ya tout de meme un paquet de bonne chose dans ce film.
A 50 ans Jackie reste impressionnant dans ses prouesses physiques et martiales ( son jeux d'acteur l'est aussi mais dans le mauvais sens du terme.)
Pour finir je dirai que le film est en 2 partis, une premier assez ridicule
[Voir le message caché (spoiler)]
, et une seconde tres plaisante, divertissante, drole.
Je reste malgres tout un grand fan ( de la premiere heure ) de ce genie du cinema d'action en general.
Posté vendredi 15 juillet 2005 à 09:48 (#115)
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Ah le nouveau kitano. Je l'attend la bave aux lèvres, tel un chat qui empêche son maitre de lui donner à manger tellement il est content.
Un avis kitanesque pour pas être hors sujet : Dolls = chef d'oeuvre.
Un avis kitanesque pour pas être hors sujet : Dolls = chef d'oeuvre.
1. Eviter toutes pensées perverses.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
Posté vendredi 15 juillet 2005 à 18:54 (#116)
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- Storm Trooper lubrique
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Ce n'est pas un vrai Kitano, il joue dedans mais ce n'est pas son film...
Proud to be a fan of Kuroi Neko
ENCORE Un grand merci a Gigueur pour cette nouvelle signature
"Each night, when I go to bed, I die. And the next morning when I wake up, I am reborn." Ghandi
Posté lundi 18 juillet 2005 à 10:15 (#117)
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Merci pour la précision Boulayman;-)
Je viens de trouver un compagnon de jeu à Takashi Miike, il s'agit de Tsukamoto shin'ya. Vendredi soir (toujours sur le cable) j'ai maté "Tokyo Fist" (1995 - 1h30)
Qu'est ce que ça raconte?
C'est l'histoire d'un salary man débordé par son métier (ça va de soi). Il vit avec une jolie femme (selon les critères jap') qui gagne plus que lui.
Un soir, après avoir fait la tournée des hlm pour vendre des assurances, on lui demande d'aller voir un dernier client.
Il s'avère que c'est un ancien ami de lycée devenu boxeur.
Passées ces 5 premières minutes, les personnages vont évoluer ensemble, jusqu'à attendre une certaine folie "Miikienne" (soumission / jalousie / haine / vengeance / sadisme / masochisme / gore).
Ici on est clairement dans un film de barge. Mais ce n'est pas pour autant débile. Le scénar repose sur des métaphores et de la psychologie relationnelle.
Coté baston, c'est plus violent que fight club. Les coups sont super bien rendus. Au plus le film avance, au plus les impacts, les coups et les blessures sont énormes et exagérées (le dernier.
C'est souvent extrème, et, j'ai honte de le dire, ça me fait rire. C'est du sadisme de barge comme le fait Miike.
Coté réalisation, Tsukamoto à quasi tout fait, du cadrage, à l'éclairage, en passant par le montage etc. (perchiste...)
Au début du film ça ce ressent un peu. Il y a des maladresses (caméra à l'épaule voyante et montage un peu naif) et un petit coté brouillon. Mais c'est peut être fait exprès comme chez Miike. En tout cas ça ne nuit pas au film, bien au contraire. Ca souligne le coté barré et violent. En y repensant, je suis quasi sur que c'est fait exprès, il y a de très bonnes idées de plans, donc le mec peut pas laisser involontairement un coté brouillon. (Ex : Petites taches sur l'objectif, dans des plans simple à refaire)
Bref, une découverte qui m'enchante et que je recommande chaudement à tout les fans de Takashi Miike (en mode underground fou).
16/20
Je viens de trouver un compagnon de jeu à Takashi Miike, il s'agit de Tsukamoto shin'ya. Vendredi soir (toujours sur le cable) j'ai maté "Tokyo Fist" (1995 - 1h30)
Qu'est ce que ça raconte?
C'est l'histoire d'un salary man débordé par son métier (ça va de soi). Il vit avec une jolie femme (selon les critères jap') qui gagne plus que lui.
Un soir, après avoir fait la tournée des hlm pour vendre des assurances, on lui demande d'aller voir un dernier client.
Il s'avère que c'est un ancien ami de lycée devenu boxeur.
Passées ces 5 premières minutes, les personnages vont évoluer ensemble, jusqu'à attendre une certaine folie "Miikienne" (soumission / jalousie / haine / vengeance / sadisme / masochisme / gore).
Ici on est clairement dans un film de barge. Mais ce n'est pas pour autant débile. Le scénar repose sur des métaphores et de la psychologie relationnelle.
Coté baston, c'est plus violent que fight club. Les coups sont super bien rendus. Au plus le film avance, au plus les impacts, les coups et les blessures sont énormes et exagérées (le dernier.
C'est souvent extrème, et, j'ai honte de le dire, ça me fait rire. C'est du sadisme de barge comme le fait Miike.
Coté réalisation, Tsukamoto à quasi tout fait, du cadrage, à l'éclairage, en passant par le montage etc. (perchiste...)
Au début du film ça ce ressent un peu. Il y a des maladresses (caméra à l'épaule voyante et montage un peu naif) et un petit coté brouillon. Mais c'est peut être fait exprès comme chez Miike. En tout cas ça ne nuit pas au film, bien au contraire. Ca souligne le coté barré et violent. En y repensant, je suis quasi sur que c'est fait exprès, il y a de très bonnes idées de plans, donc le mec peut pas laisser involontairement un coté brouillon. (Ex : Petites taches sur l'objectif, dans des plans simple à refaire)
Bref, une découverte qui m'enchante et que je recommande chaudement à tout les fans de Takashi Miike (en mode underground fou).
16/20
1. Eviter toutes pensées perverses.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
Posté lundi 18 juillet 2005 à 17:26 (#118)
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Je connais deux trois trucs de tsukamoto, il avait été un peu la vedette de la programmation cinéma japonais underground de canal+ il y a deux trois ans. si vous aimez le glauque gore déjanté il faut absolument vous mater "tetsuo : the iron man" c'est devenu culte mais je me sens obligé de préciser que c'est pour un public averti 
: l'histoire d'un type qui se transforme petit à petit en machine.
gémini est pas mal non plus : une histoire de jumeau maléfique et de quiproquo.
bullet ballet est plutôt bien : un type qui pête un peu les plombs et se trouve mélé à des histoires de truands à cause d'une femme.
et un ou deux autres trucs de ces débuts mais plus anecdotique qu'autre chose, pour le fan que je suis devenu c'est interessant de voir l'évolution de son style, mais sinon...
j'ai un peu honte mais je n'arrive pas à me rappeler si j'ai vu tokyo fist?
il faudra que je vérifie ça.
ceci dit magetoolien je pense pour ma part et après avoir vu pas mal de trucs de lui que ce côté brouillon est surement voulu et non dût à du laisser aller ou a de la négligeance, enfin c'est mon avis, maintenant je suis sûr de rien.
à plus!
: l'histoire d'un type qui se transforme petit à petit en machine.gémini est pas mal non plus : une histoire de jumeau maléfique et de quiproquo.
bullet ballet est plutôt bien : un type qui pête un peu les plombs et se trouve mélé à des histoires de truands à cause d'une femme.
et un ou deux autres trucs de ces débuts mais plus anecdotique qu'autre chose, pour le fan que je suis devenu c'est interessant de voir l'évolution de son style, mais sinon...
j'ai un peu honte mais je n'arrive pas à me rappeler si j'ai vu tokyo fist?
il faudra que je vérifie ça.
ceci dit magetoolien je pense pour ma part et après avoir vu pas mal de trucs de lui que ce côté brouillon est surement voulu et non dût à du laisser aller ou a de la négligeance, enfin c'est mon avis, maintenant je suis sûr de rien.
à plus!
Posté mardi 19 juillet 2005 à 08:34 (#119)
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Psykro, le 18/07/2005 à 18:26, dit :
ceci dit magetoolien je pense pour ma part et après avoir vu pas mal de trucs de lui que ce côté brouillon est surement voulu et non dût à du laisser aller ou a de la négligeance, enfin c'est mon avis, maintenant je suis sûr de rien.
Oki, on est du même avis finallement (ça m'évite de te tuer
).Merci pour les noms de films que tu as cité. Je comptais les mater, c'était dans mon plan de carrière pour conquérir le monde asiatique. Mais honte à moi, je ne savais pas que c'était de Tsukamoto.
Edit :
J'essaye de choper le film Ashtaka
Ce message a été modifié par magetoolien - jeudi 21 juillet 2005 à 13:39.
1. Eviter toutes pensées perverses.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
Posté jeudi 21 juillet 2005 à 13:31 (#120)
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J'ai vu Survive Style 5+, j'ai adoré.
Film complètement décalé, décors surréalistes, histoire à tomber par terre, effets de lumière kitch et tout en couleur, le tout servi par des acteurs excellents comme Tadonobu Asano et un magnifique Vinnie Jones encore meilleur que dans Snatch.
A voir je le conseille vivement.
Tout comme la BO à récup d'urgence.
Film complètement décalé, décors surréalistes, histoire à tomber par terre, effets de lumière kitch et tout en couleur, le tout servi par des acteurs excellents comme Tadonobu Asano et un magnifique Vinnie Jones encore meilleur que dans Snatch.
A voir je le conseille vivement.
Tout comme la BO à récup d'urgence.
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