[Vashu-San]

Une petite ode a la folie avce qui je passe des fois de tres bonnes soirée


Inutilité grandissante
Amertume et regrets
Chemin long et discret
Vers l'obscurité beante

A mes yeux je ne vois rien
A mes mains la soie me brule
Et les murmures qui hurlent
M'enchainent a mon destin

Je te sent grandire en moi
Et plus rien ne m'importe
Et que le diable emporte
Tout ceux qui rient de moi

Car leurs cou brisée
Et leurs carcasses fumantes
D'une envie grandissante
Me serais aquité

Il ne suffit qu'un pas
Pour enfin me liberer
De conciences et pensées
Et mourrir dans tes bras

Toi folie ma maitresse
Devien maitre de mon ame
Et que brulent dans les flammes
Tout remord et tristesses

Et enfin je pourrai
Etre un dieu un instant
Puis une seconde apres
Partir sans regrets

(... bha on fait ce qu'on peu avec les moyens qu'on as ^^ on est pas tous Beaudelaine )

[Tiwen]

Amitié


AMITIÉ vivait paisiblement en ce pays de qualité
Dans ce monde de virtualité
On aurait pût jalouser son bonheur
Tant étaient fortes ces envolées de coeur

HONNEUR et CONFIANCE se plaisaient à ses côtés
Elaboraient des plans communs pour la prospérité
La légèreté côtoyait la connivence et rendaient le climat si serein
Que la fête régnait du soir jusqu'au matin

AMITIÉ se promenait dans les propos d'amont comme d'aval
Tissant des liens sublimes dans cette univers virginal
On ne pouvait trouvé plus beau tissage
Frôlant la perfection, unissant les âges

La paix était avouée et l'@rmée en était une d'apparat
Elle était d'aide et de secours pour cela elle était là
Et aux attaques ne se souciait
Car AMITIÉ régnait en maître et y voyait

Les étrangers en ce pays y trouvaient
Un renouveau, un oasis de paix
On y venait une fois, AMITIÉ l'accueillait
Et d'un autre habitant le pays se comptait

Dans ce tissu doré on ne voyait point de faille
Ou encore pensait-t-on, devra-t-elle être de taille
Pour malmener ce tissu si fin que l'on croyait aussi si fort
Qu'on le chantait en ce pays comme en dehors.

Mais le tissu si bien tissé avait un talon d'Achille
De l'intérieur est venu le malaise subtil
Tranquillement les doubles visages de la bonne entente inventée
Se découvraient et trahissaient dans ce qu'avait
de plus profond AMITIÉ

Lentement et sûrement POUVOIR jouait ses dés pipés
Jouant double jeu laissant AMITIÉ et ses amis continuer
Mais en silence engageait ces lieutenants
JALOUSIE et TÊTE FORTE
Pour le seconder et pour qu'il le porte

AMITIÉ ne voulut pas croire les rumeurs qui couraient
Pas en ce pays...jamais
Quand TRAHISON se présenta à sa porte
Elle comprit qu'AMBIANCE était morte

[Tiwen]

Mal a l'ame ....

Lumière d’un drap noir tamisée, couchée, désemparée, piégée sans sources où t’abreuver.
Ta chandelle intérieure a peine à rester allumée.
Tu aimerais la souffler afin d’arrêter de suffoquer.
Regard au pénible effort laissant s’échapper un douloureux soupir.
L’espoir pris dans la toile du désespoir, tes nuits en expriment le cri muet.
Tu revis à chaque pénombre cette folie, tragédie qui depuis te poursuit, te vidant de toute énergie.
Plaie non cicatrisée qui ne peut que se déverser.
Tu te sens de plus en plus écorchée dans ta vitalité, sans espoir… et pourtant.
Près de toi, une chimère prête à te transfuser mais pourtant…
Intemporelle, une main tendue vers toi, pour combien de temps?
L’ambivalence te gagne… à quoi bon souffrir, à quoi bon souffrir… et pourtant.
Je me demande sans cesse si les mélodies dont tu t’enveloppes telle une maternelle douillette, t’émergent de ta noirceur ou t’y engouffrent en profondeur… J’ai peur!
J’aimerais tant que tu découvres quelque part au fond de toi cette ressource naturelle qui te manque tant.
Bien cachée derrière ce lac rempli de requins… vas-y, elle t’attend bien sagement, crois-moi…
Faisant rejaillir ta flamme, cicatrisera ta peine et t’aidera à réaliser tes rêves.
Ton volcan ne t’éveillera plus au milieu de ta nuit.
Tu dormiras en paix et au petit matin, enfin, t’éveiller le visage ensoleillé.
C’est possible, crois-moi… pour une fois.
Mais, tu sais! L’important, c’est que toi… tu y crois!

[Tiwen]

Citation

(... bha on fait ce qu'on peu avec les moyens qu'on as ^^ on est pas tous Beaudelaine )

En effet on n'est pas des baudelaire ou autre Verlaine, mais nos mots et nos messages sont aussi bon qu'eux pour la simple et bonne raison qu'on ecrit avec notre coeur, notre ame ... Et le but c'est de faire vivre une emotion, un message ... Alors dans ce cas qu'importe le style... et puis l'essentiel c'est que tu as une fan

Les mots...

Les mots sont une arme déguisée
Et je m'en suis servi
Pour écorcher ton cœur
Car tu avais bouleversé le mien

Dans un moment de détresse
J'ai réagi comme une tigresse
J'ai dit des mots qui blessent
J'ai dit des mots que je regrette

J'ai dit des mots empoissonnés
J'ai dit des mots cinglants
J'ai dit des mot cruels
Car tu avais attaqué
Mon intégrité, ma famille et mes amis(es)

Les mots sont une arme
Dont il faut se méfier
Une dispute se transforme
En guerre verbale
Si on n'y prends pas garde

J'aimerais ne pas avoir dit tous ces mots
Qui ont dépassé ma pensée
Je ne peux revenir sur les mots
Que j'ai lâché dans un moment de colère

Par contre, je peux me servir des mots
Pour m'excuser et te demander pardon
Et te dire que je regrette au plus profond de mon être
Un jour tu me pardonneras.....peut-être!!!

Jamais moi je me pardonnerai d'avoir dis des mots si cruel
À un homme que je trouve si exceptionnel.
Tous les deux nous nous sommes blesser
Moi de mon côté je suis vraiment désolée................

[Silfarion]

franchement vous êtes des boss y sont trop beaux vos poèmes (limites j'les copiés-collés pour le collège ^^, avec votre accord seulement ) y sont vraiment très bien j'arriverai jamais à en faire de pareil (en tout cas pas avant 3ans)

MERCI POUR VOS POÈMES QUI EMBELISSENT CE FORUM

[sadraven]

dans la trame archiver
mon ames est cadenasser
violer par les dogmes
qui tissent les hommes
ou fuir pour vivre
alors que les tentaculaires
infrastructure nous rendent ivres
de leur pouriture spectaculaire
nous ommes les carcasses
de ces cancrelat qui se regroupent
autour de nos liasses
adombrissant la pensée eteintes
par temps de lobotomies
appeler argent orbe de notre societé

[Tiwen]

Un pas apres l'autre

Sur le sentier de ta vie
Dans ta poursuite du bonheur
Rien ne te sers de courir
Car avec seulement un pas à la fois
Lentement mais sûrement
Ce bonheur que tu convoites tant
Tu le connaîtras

Dans les jours de grande noirceur
Ou tout te paraîtras perdu
Ou tu ne verras plus la fin
de tes tourments et de tes pleurs
Lève la tète et regarde devant toi
Fais ce pas qui te sortiras
des ténèbres ou tu es enseveli
Car avec seulement un pas à la fois
Tu t'en sortiras

Quand dans ta relation amoureuse
Plus rien ne va
Que la colère guide ton cœur
Et que tu veux te retirer
Fais un pas vers l'autre
Confie tes peines et tes peurs
Car avec seulement un pas à la fois
Tout peut être sauvé

Et si malgré tout le destin
Sépare vos chemins
Ne te lance pas dans de nouvelles conquêtes
En ayant le cœur meurtri
Ne fais surtout pas payer aux autres ton échec
Ne sois pas si pressé de refaire ta vie
Par peur de la solitude
Prends ton temps, soigne ton cœur blessé
Car avec seulement un pas à la fois
Sois en certain, tu guériras

Si tu es seul depuis longtemps
Et que tu as la chance si rare
De rencontrer une personne merveilleuse
Qui t'attire et te complète
Ne précipite pas les choses
Aux risques de tout gâche
L'Amour s'apprivoise tout doucement
Car avec seulement un pas à la fois
Cet amour, tu le solidifieras

Ne cours pas après le bonheur
Ne cours pas après l'amour
La richesse et le succès
Car à trop courir
On peut très bien tomber
et quelques fois
ne plus être capable de se relever
Vaut mieux faire un pas à la fois
D'une démarche ferme et décidée
Cela peut paraître plus long
Mais cela est sûrement plus sur
Car avec seulement un pas à la fois
On fini par arriver à destination

Mais jamais au grand jamais
Tu ne devras te décourager
Tu ne devras reculer
Car avec seulement un pas à la fois
Aie confiance
Tu y arriveras

[Tiwen]

Amour

L’amour est une maladie incurable
un malaise qui nous prend et nous emporte très loin
Qui nous soulève tendrement avec son visage aimable
qui nous rejettera plus tard comme un malsain

L'amour est blessant
comme une plaie ouverte, saignant
Comme l'étau d'un poing fermé
sur le visage d'une agressée

L'amour est merveilleux
vivre et laisser vivre, tel est son secret mystérieux
Simplement faire de son mieux
pour rendre l'autre heureux

L'amour est irremplaçable
par toute la joie qu'il apporte
Vole... nage... cours dans le sable
jusqu'à la destinée qui t'attend à ta porte

L'amour est généreux
il nous donne tendresse et bonheur
Mais l'amour est aussi un voleur odieux
qui vole nos secrets les plus précieux

L'amour est indescriptible
avec toutes ses facettes claires comme obscures
Alors gare aux coeurs trop sensibles
s'en abstenir serait de bonne augure

Cependant, l'amour est inévitable
personne ne peut le contourner
Bonne chance a ceux qui tenteront de l'enjamber
avec un audace indiscutable

Et par-dessus tout, l'amour est la vie
le feu qui anime notre âme insensée
Celle-ci qui parfois cherche cachette dans l'oubli
la pire recette pour réprimer de son coeur un amant égaré

Mais souviens-toi de l'amour
comme du meilleur moyen de suture
Pouvant exister entre deux êtres

[Lock]

si je suis faible
moi seul dois le savoir
si tu es faible
moi seul dois le savoir



si tu as mal de vivre
peine naissante d'une douleur ivre
noyé au fond de toi
aussi profond soit'il, je suis la.

[Tiwen]

Agonie

Dans un lit blanc d’hôpital, vieille peau fripée, fin d'une vie
Trop longue, une bouche fine et molle gémit sa détresse.
Imperceptible souffrance, vains souvenirs,
Quelques tubes nourriciers poussent en ces veines cassantes
Un liquide épais et froid.
Ici, loin des éclats de joie, des espoirs de lendemain,
La vie agonisante écoule lentement ses derniers ruisseaux.
Un cœur flétri, fatigué, usé des amours perdues
Puise à regrets le pauvre sang insipide.
Sous une peau diaphane les chairs fines et durcies
Tremblent désespérément, ultime prière, sursaut de lumière.
Etre soumis, vulnérable, quelques vapeurs de terreur
Caressent déjà cette dépouille.
Le cerveau terne et lourd vide peu à peu ses larmes,
Chaque page s'envole légère et noircie de peines.
Mais là, soudain dévoilée, une âme rose et naissante,
Enfin libérée de ses chaînes, prend son envol
Et dans un souffle chaud et vigoureux, gagne l'immensité des cieux.
Visage souriant, repos accompli, ces millions de pas,
Ces soleils brûlants, ces douleurs sourdes et lancinantes
Cette existence interminable, la mort, mystérieuse, a germé lentement
Puisant son essence dans la vie même.
Ce lit, seul témoin de la scène taira à jamais ce secret
Et accueillera tout à l'heure un nouvel arrivant.

[Tiwen]

Un chagrin d'amour...

Un chagrin d'amour c'est un lit froid,
trop grand pour toi seul, c'est un besoin subit de sortir
au grand air pour respirer profondément afin de calmer
une sensation d'étouffement et de peur panique.
C'est un cœur qui parfois cogne trop fort dans ta poitrine,
c'est une envie irraisonné de t'étourdir pour t'empêcher de penser

Un chagrin d'amour c'est un tremblement de tout ton corps
quand tu crois l'avoir aperçu, c'est une curiosité mal cachée
quand quelqu'un t'en parle, c'est une indifférence feinte
quand tu l'aperçois et que sais que son regard se porte vers toi,
c'est un grand vide intérieur que tu essais de combler pas n'importe quoi

Un chagrin d'amour c'est être incapable de t'empêcher d'y penser
quand quelqu'un d'autre te tien dans ses bras,
c'est ne rien ressentir quand d'autre t'embrasse,
c'est avoir l'esprit ailleurs et faire semblant d'écouter quand quelqu'un te parle,
c'est te faire croire que tu est prêt à aimer encore, quand au fond,
tu sais très bien que l'autre occupe encore toute la place au-dedans de toi

Un chagrin d'amour c'est vouloir revoir tous les endroits
où vous avez été heureux, c'est garder précieusement
tout objet oublié lui appartenant,
c'est passer et repasser aux endroits où tu risquerais de l'apercevoir,
c'est dire aux autres " Je l'ai aimé " parce que tu n'as pas le courage de dire "
Je l'aime encore"

Un chagrin d'amour c'est être prêt à pardonner
sans condition le mal qui t'a été fait,
c'est l'immense chagrin que tu ressens parce que tu le(la)
sais dans les bras d'un(e) autre,
c'est pleurer en pensant qu'à l'avenir chaque geste
que tu poseras ne seront plus jamais pour lui(elle),
c'est te forcer à tout instant à te rappeler
sa voix et son regard pour être certain(e)
de ne jamais l'oublier, c'est de remémorer
constamment les plus beaux moments passés dans ses bras,
c'est oublier volontairement les discussions orageuses,
qui t'ont pourtant fait si mal !

Un chagrin d'amour, c'est te répéter souvent
que rien n'est jamais définitif
et te dire qu'il(elle) n'a pas pu t'oublier,
c'est finalement la force d'espérer encore,
d'espérer toujours, ce qui t'empêche de mourir

Un chagrin d'amour, ne s'oublie JAMAIS...

[Vashu-San]

Un chagrin d'amour

Amertume et haine de cet etre delaissée
Tristesse et colere, forte envie de tuer
Que ce lit est bien vide au regard de ces nuits
Passée a assouvir nos multiples envies

Que tu soit utopique n'ayant pu aboutir
Ou qu'a deux seulement nous formions un empire
Ton depart, ton absence fait de moi a ce jours
Une bete effondré maudissant cet amour

Que les cieux soient temoins a cet instant je jure
Et meme si le hasard m'offre le coeur le plus pure
De ne plus vouloir aimer et de vivre de haine
Car au moins de celle si ne naitra pas de peine

Tristesse humiliation de n'avoir pas pu t'avoir
Te garder pres de moi concerver ce regard
Quaujourd'hui un autre que moi peu contenpler
Et qui sans un remord dans ses bras t'enlasser

Que la mort et le sang jonche sa vie desormais
Pour m'avoir enlevé l'unique chose que j'aimais
Mais que vois je au loin qui est cette creature
Cette douce personne merveille de la la nature

Je le sent dans mon corps et dans mon ame aussi
Mon coeur c'est mis a battre et je n'ai qu'une envie
C'est d'etre a ces cotés pour un jours partager
Ses peines et ses douleur ses rires et ses pensées

De quoi me parlez vous ... de mon ancienne amie ?
Celle qui n'a pas voulu aimer ce que je suis
Celle dont je suis de nouveaux indifferent
Et dont la vie ne m'importe plus a present

Je prefere me contenter d'une amitiée sincere
Plutot que d'un amour tronqué et efemere
Du moment que je ne perde pas cette amie
Je peut de mon coté tres bien vivre ma vie

En conclusuion c'est pour ca que j'ai ecris ces vers
Car Tiwen a mon gout ton jugement est severe
Car aimer n'est vraiment pas un depart sans retour
Un chagrin d'amour, ca s'oublie toujour

(yep du poeme beast fighting ^^)

[killertime]

snif c'est beau en tout cas tiwen bravo tu sais donner des émotions dans tes poêmes c assez rare pour être précisé

[Jojo]

[mode résurrection de post on]
Et voici deux petites oeuvre de moi-même, ce matin pendant le cours de physique de 8 à 10, sachant que je n'avais dormi que 5h dans la nuit... (mais nan je me cherche pas des excuses )


Pour l’attraper on organisa une battue,
On s’arma et jura qu’enfin il sera vaincu.
Jamais tant de chiens et de chasseurs
Ne furent réunis à la même heure.
« Cette fois il ne peut en réchapper !
-Assurément, on va le capturer ! »
Voici les cris qui retentissaient,
Quand les chiens furent libérés…

Ils capturèrent bien des choses,
Débusquées par les chiens qui prenaient la pose…
Ils fouillèrent les prairies et les forets,
Les montagnes et les marais.
D’autres prirent la mer,
Et certains allèrent jusqu’aux enfers.
Mais tous n’attrapèrent que des illusions,
De bien pâles imitations.

Ils conclurent alors à un mythe,
Inventé par ceux que les dieux visitent…
Mais ce qu’ils ne savaient pas,
C’est que celui que ça n’intéressait pas,
Qui préférait se balader plutôt que chasser,
Gambader au lieu de pourchasser,
Ce que tous en vain cherchèrent,
Lui le trouva, dans les yeux de cette jolie laitière…

[Jojo]

[mode résurection de post suite et fin]
Et le deuxième, comme promis

Une princesse emprisonnée,
Et, pour la délivrer, un preux chevalier.
Rajoutez quelques dragons,
Un ménestrel, pour les chansons,
Ainsi qu’un roi bienveillant,
Et un autre très méchant.
Leurs reines et leurs espions, intriguant
Et sur les routes, des tas de brigands…
Ils ne manque plus alors qu’un mage ou deux,
Des démons et des dieux,
Des fées et des lutins,
Une puissante sorcière et ses diablotins,
Et enfin tout est prêt,
Pour démarrer notre conte de fée.

Mais tu as beau être princesse,
Je ne serais jamais chevalier.
Et pourtant, à la moindre faiblesse,
Je compte bien te protéger,
Que ce soit un roi fou ou un dragon,
Un dieu ou un maléfique démon.
Pour toi sera mon bouclier
Pour eux sera mon épée.
Pour toi mon âme,
Pour eux ma lame…
Je me couperai sûrement un bras ou deux en la maniant,
Ou encore me ferais occire en les affrontant…
Mais tu en vaux largement la peine,
Et ceux qui te blessent valent bien ma haine.