je vais moi aussi vous en livrer un petit de ma composition... :
Lorsque vient la nuit
la lune me guide
et au rythme de ses pas
un monde se dessine rien que pour moi...
et toujours je me bat,
je virevolte et louvoie
contre un ennemi qui se langui
de m'attraper pour une fois
seulement le matin arrive trop vite
l'enemie enrage et trépigne :
il ne m'aura pas! mais le jour aussi et rapide
et il revient sur ses pas....
en haut le soleil m'illumine
mais je voulais rester en bas!
ici mon coeur est vide
et mon corps et froid.
et inlassablement je m'enlise...
ces entraves sont trop lourdes pour moi!
quel est donc ce nouvel ennemi invisible,
qui s'accroche à mon bras?
je me dégage et jubile
la réalité ne me rattrapera pas....
-
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poéme dite le joliment
Posté lundi 03 avril 2006 à 01:35 (#181)

"ceux qui rêvent éveillés ont conscience de mille choses qui échappent à ceux qui rêvent endormis"
Posté samedi 06 mai 2006 à 18:20 (#182)
Question existentielle d’un geek en été.
Il fait beau, il fait chaud, le soleil est là.
La sensualité féminine n’est revêtue que d’un mince tissu de lin,
De coton ou encore de polyester.
Le soleil me nargue, la femme me tente, mais Péssé m’appelle.
BOOT
Derrière l’écran une fille ensoleillée.
Ferions nous pas mieux de sortir, que de passer l’extérieure sous
JPEG, BIP, WMA, MP3, … ?
ps: je sais qu'on est pas encore en été, je suis un boulay alors ne m'en demandez pas trop.
pps: hiver, printemps et automne sont en court...
Il fait beau, il fait chaud, le soleil est là.
La sensualité féminine n’est revêtue que d’un mince tissu de lin,
De coton ou encore de polyester.
Le soleil me nargue, la femme me tente, mais Péssé m’appelle.
BOOT
Derrière l’écran une fille ensoleillée.
Ferions nous pas mieux de sortir, que de passer l’extérieure sous
JPEG, BIP, WMA, MP3, … ?
ps: je sais qu'on est pas encore en été, je suis un boulay alors ne m'en demandez pas trop.
pps: hiver, printemps et automne sont en court...

Posté mardi 23 mai 2006 à 09:19 (#183)
In the Real Life
Avoir affronté l'homme qui boit plus vite que son ombre (qui est aussi le plus gentil du monde)
Avoir rencontré le sosie, en plus beau, de Stevenn Siegal
Avoir prêté 2 euros au fils caché de Michel Sardou
Avoir retouvé mon frère
Avoir fait une balade avec un papy pervers dans les rues strasbourgeoises
Avoir profité des bons plans ramen parisien avec le guide du naru
Avoir écouté parler le chat le plus bavard du monde
Avoir vu une carotte complètement bourrée
Avoir parlé a un géologue fou
Avoir fait rouler dans le fossé un normand
Avoir vu rougir Faernelia (kawaiiiiii)
Et... Merci Sharemanga !
Avoir affronté l'homme qui boit plus vite que son ombre (qui est aussi le plus gentil du monde)
Avoir rencontré le sosie, en plus beau, de Stevenn Siegal
Avoir prêté 2 euros au fils caché de Michel Sardou
Avoir retouvé mon frère
Avoir fait une balade avec un papy pervers dans les rues strasbourgeoises
Avoir profité des bons plans ramen parisien avec le guide du naru
Avoir écouté parler le chat le plus bavard du monde
Avoir vu une carotte complètement bourrée
Avoir parlé a un géologue fou
Avoir fait rouler dans le fossé un normand
Avoir vu rougir Faernelia (kawaiiiiii)
Et... Merci Sharemanga !

Posté mercredi 19 juillet 2006 à 09:22 (#184)
Voici pour commencer des poèmes courts (pour ceux qui n'ont pas le courage de lire des pavés de vers) et puis j'en mettrai bientôt des plus longs pour ceux que ça interesse...
Un voile sombre tombe sur le monde
Que le ciel dépose de sa main de velours,
Et les étoiles se répandent semblables à une onde
Comme chaque soir à l’heure où fane le jour…
Flânant à demi, contemplant l’infini,
Une nuit où la brise effleurait ses pensées,
Alors que tout semblait endormi,
Sous la voûte céleste elle se mit à rêver…
C’est l’un de ces tristes soirs,
Où rien ne va plus, où tout est noir,
Je suis perdue au milieu de nulle part,
Avec pour seul guide le hasard,
Autour de moi le monde s’effondre
Et je suis seule parmi les décombres
Cherchant désespérément dans le brouillard,
Un présence ou même un regard,
Quelqu’un qui me prenne par la main
Et m’emmène très loin sans penser à demain…
Un voile sombre tombe sur le monde
Que le ciel dépose de sa main de velours,
Et les étoiles se répandent semblables à une onde
Comme chaque soir à l’heure où fane le jour…
Flânant à demi, contemplant l’infini,
Une nuit où la brise effleurait ses pensées,
Alors que tout semblait endormi,
Sous la voûte céleste elle se mit à rêver…
C’est l’un de ces tristes soirs,
Où rien ne va plus, où tout est noir,
Je suis perdue au milieu de nulle part,
Avec pour seul guide le hasard,
Autour de moi le monde s’effondre
Et je suis seule parmi les décombres
Cherchant désespérément dans le brouillard,
Un présence ou même un regard,
Quelqu’un qui me prenne par la main
Et m’emmène très loin sans penser à demain…
Ephèmère, une larme coule sur sa peau de pierre.
Le guerrier de marbre découvre son coeur de chair.
Le guerrier de marbre découvre son coeur de chair.
Posté mercredi 19 juillet 2006 à 15:01 (#185)
L 'HORLOGE
Horloge ! dieu sinistre, effrayant , impassible,
Dont le doigt nous menace et nous dit :
Horloge ! dieu sinistre, effrayant , impassible,
Dont le doigt nous menace et nous dit :

Posté dimanche 17 décembre 2006 à 00:04 (#186)
à toi, ma douce, que je cherche depuis longtemps.
toi qui apparait dans mes songes telle une nymphe.
toi qui m'étreint de tes bras pour mieux te serrer contre moi.
te sentir contre moi, me fait vibrer de tout mon être.
tes longs et doux cheveux noirs m'enlacent.
quand je plonge mes yeux dans le regard profond de yeux noirs,
je suis comme englouti dans un espace infini.
je suis comme ta lune qui éclaire ta nuit.
tu te blotis contre moi tel un chat.
j'aurais aimé naître chat pour rester près de toi,
me blotir contre toi et te couvrir de mon amour
lors de tes moments de tristesse.
j'aurais aimé naître lion pour rester près de toi
et te protéger des malheurs de la vie.
à toi ma compagne que j'ai cherchée,
je te cherhe et je continurai de te chercher
jusqu'à ce je te trouve.
toi qui apparait dans mes songes telle une nymphe.
toi qui m'étreint de tes bras pour mieux te serrer contre moi.
te sentir contre moi, me fait vibrer de tout mon être.
tes longs et doux cheveux noirs m'enlacent.
quand je plonge mes yeux dans le regard profond de yeux noirs,
je suis comme englouti dans un espace infini.
je suis comme ta lune qui éclaire ta nuit.
tu te blotis contre moi tel un chat.
j'aurais aimé naître chat pour rester près de toi,
me blotir contre toi et te couvrir de mon amour
lors de tes moments de tristesse.
j'aurais aimé naître lion pour rester près de toi
et te protéger des malheurs de la vie.
à toi ma compagne que j'ai cherchée,
je te cherhe et je continurai de te chercher
jusqu'à ce je te trouve.
en release permanente :
Azusa will help (ETF) | Dai Guard (by Finalfan) | Irresponsable Captain Tylor
Kurau Phantom Memory (SET) | Kurogane Communication (ATF) | Sadamitsu le destructeur (by Finalfan)
Solty Rei (Mikazuki, C-A) | Starship Operators (Requiem) | Stratos 4 (Requiem, ETF & Trilium)
http://iliina.labrute.fr
Azusa will help (ETF) | Dai Guard (by Finalfan) | Irresponsable Captain Tylor
Kurau Phantom Memory (SET) | Kurogane Communication (ATF) | Sadamitsu le destructeur (by Finalfan)
Solty Rei (Mikazuki, C-A) | Starship Operators (Requiem) | Stratos 4 (Requiem, ETF & Trilium)
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Posté mardi 19 décembre 2006 à 15:49 (#187)
Titre: Sombres Pensées
A quoi bon se réveiller
Et voir d'un air blasé
Chaque matinée défiler?
Chaque minute s'écouler?
Tout homme veut être heureux
C'est le premier de ses voeux
Il travaille alors sans cesse
Pour réaliser ses promesses
Nous vivons comme des fous
Dans notre monde à nous
On ne voit plus le temps
Qui s'écoule en torrent
On pense que le plus important
Est le moment présent
On pense que chaque vie
A une valeur infinie
Mais on est plus de six milliards!
On ne se souviendra plus tard
Que d'une infime partie
De toutes ces vies sans prix...
Ces vies si éphémères
Que chacun s'efforce de parfaire
L'Histoire ne retient rien
Personne ne se souvient
Car on oublie toujours
Que tout s'arrête un jour
Personne n'échappe au destin...
Vivrait-on en vain?
Y a t-il une réponse à tout?
Après tout que sommes-nous?
Nous ne sommes que poussière
Et nous finirons tous en terre.
[Voir le message caché (spoiler)]
A quoi bon se réveiller
Et voir d'un air blasé
Chaque matinée défiler?
Chaque minute s'écouler?
Tout homme veut être heureux
C'est le premier de ses voeux
Il travaille alors sans cesse
Pour réaliser ses promesses
Nous vivons comme des fous
Dans notre monde à nous
On ne voit plus le temps
Qui s'écoule en torrent
On pense que le plus important
Est le moment présent
On pense que chaque vie
A une valeur infinie
Mais on est plus de six milliards!
On ne se souviendra plus tard
Que d'une infime partie
De toutes ces vies sans prix...
Ces vies si éphémères
Que chacun s'efforce de parfaire
L'Histoire ne retient rien
Personne ne se souvient
Car on oublie toujours
Que tout s'arrête un jour
Personne n'échappe au destin...
Vivrait-on en vain?
Y a t-il une réponse à tout?
Après tout que sommes-nous?
Nous ne sommes que poussière
Et nous finirons tous en terre.
[Voir le message caché (spoiler)]
Posté mardi 02 janvier 2007 à 22:12 (#188)
J'étais d'humeur guimauve sur ce coup 
Dans mon coeur il y a l’espace
De l’eau du ciel et de la glace
De la peine et de la joie
Dans mon coeur il y a toi
Dans ma vie il y a du soleil
Des cauchemars et des merveilles
De la chaleur et de la nuit
Dans ma vie il y a des cris
Dans mon âme il y a l’éternité
Le paradis désemparé
La sérénité, la violence
Le bien être et la souffrance.
Dans mon tout il y a le divin
L’absolu, le plein
La certitude, la paix
Et ta présence à tout jamais.
Et celui-ci, suite à la perte d'un ami cher est donc d'humeur plus triste ^^
Depuis qu'a disparu ton plumage doré,
Paillette de soleil dansant dans les nuages,
Lueur d'une envolée vers des cieux mordorés,
Mes yeux se sont noyés dans le bleu paysage.
Depuis que ton reflet a voilé le sentier,
Caressant les cailloux dans un dernier baiser,
Avant de se dissoudre à la nuit sans pitié,
J'écoute aller le temps d'étrange obscurité.
Depuis que ta vague s'unit à l'océan,
Glissant entre mes doigts comme poignée de larmes
Pour devenir de l'eau un infime fragment,
Je hume les embruns que le roulis alarme.
Depuis que ton rire se fait l'écho du vide,
Dans le blanc silence de l'abîme inquiétant,
Par l'ombre de la voix qui meurt déjà livide,
Au regret de tes mots, je goûte le néant.
Depuis que les traces dessinées sur le sable
De l'immense désert où flotte ton image,
Se sont éparpillées dans un souffle coupable,
Oui, depuis ton départ, ...je rêve d'un mirage...

Dans mon coeur il y a l’espace
De l’eau du ciel et de la glace
De la peine et de la joie
Dans mon coeur il y a toi
Dans ma vie il y a du soleil
Des cauchemars et des merveilles
De la chaleur et de la nuit
Dans ma vie il y a des cris
Dans mon âme il y a l’éternité
Le paradis désemparé
La sérénité, la violence
Le bien être et la souffrance.
Dans mon tout il y a le divin
L’absolu, le plein
La certitude, la paix
Et ta présence à tout jamais.
Et celui-ci, suite à la perte d'un ami cher est donc d'humeur plus triste ^^
Depuis qu'a disparu ton plumage doré,
Paillette de soleil dansant dans les nuages,
Lueur d'une envolée vers des cieux mordorés,
Mes yeux se sont noyés dans le bleu paysage.
Depuis que ton reflet a voilé le sentier,
Caressant les cailloux dans un dernier baiser,
Avant de se dissoudre à la nuit sans pitié,
J'écoute aller le temps d'étrange obscurité.
Depuis que ta vague s'unit à l'océan,
Glissant entre mes doigts comme poignée de larmes
Pour devenir de l'eau un infime fragment,
Je hume les embruns que le roulis alarme.
Depuis que ton rire se fait l'écho du vide,
Dans le blanc silence de l'abîme inquiétant,
Par l'ombre de la voix qui meurt déjà livide,
Au regret de tes mots, je goûte le néant.
Depuis que les traces dessinées sur le sable
De l'immense désert où flotte ton image,
Se sont éparpillées dans un souffle coupable,
Oui, depuis ton départ, ...je rêve d'un mirage...

" Rien ne devrait reçevoir de nom, de peur que ce nom même ne le transforme "
Virginia Woolf
Posté samedi 15 mars 2008 à 23:42 (#190)
Je viens d'en relire un d'Edmond Rostand... vraiment superbe !
Mon Bien-Aimé... je t'ai cherché... depuis l'aurore,
Sans te trouver, et je te trouve, et c'est le soir ;
Mais quel bonheur ! il ne fait pas tout à fait noir :
Mes yeux encore
Pourront te voir.
Ton nom répand toutes les huiles principales,
Ton souffle unit tous les parfums essentiels,
Tes moindres mots sont composés de tous les miels,
Et tes yeux pâles
De tous les ciels.
Mon coeur se fond comme un fruit tendre et sans écorce...
Oh ! sur ce coeur, mon bien-aimé, qui te cherchait !
Viens te poser avec douceur comme un sachet,
Puis avec force
Comme un cachet !
Mon Bien-Aimé... je t'ai cherché... depuis l'aurore,
Sans te trouver, et je te trouve, et c'est le soir ;
Mais quel bonheur ! il ne fait pas tout à fait noir :
Mes yeux encore
Pourront te voir.
Ton nom répand toutes les huiles principales,
Ton souffle unit tous les parfums essentiels,
Tes moindres mots sont composés de tous les miels,
Et tes yeux pâles
De tous les ciels.
Mon coeur se fond comme un fruit tendre et sans écorce...
Oh ! sur ce coeur, mon bien-aimé, qui te cherchait !
Viens te poser avec douceur comme un sachet,
Puis avec force
Comme un cachet !
Powershare permanent : Ai no Kusabi (+18) - Birth - Blue Butterfly Fish - Bobby's in Deep - Combustible Campus Guardress [To-Y RC] - Houkago no Shokuinshitsu - Kaze to Ki no Uta - Kashou no Tsuki - MushiKing - Natsu e no Tobira - Nineteen 19 - Ryokunohara Meikyuu - Terra e... [G_P] - To-Y - Urban Square - X Densha de Ikou
Powershare actuel : Compiler
Site du moment : Aestheticism (A comprehensive shoujo, yaoi, shounen-ai manga and doujinshi information resource)
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Posté mercredi 02 avril 2008 à 15:51 (#191) Invité_Keltia_*
Un bébé est né au milieu d'une famille
Où le père n'a jamais voulu de fille.
A 4 ans, la mère décide de ne plus l'aimer
Un enfer qui débute, à peine commencer.
La petite grandie sans personne, sans amis
Elle ne s'attache pas, ça résume sa vie.
Elle perd aussitôt tous les gens qui l'approchent
Les enfants de l'école, et ses proches.
Une sorte de malédiction tourne autour d'elle
Elle n'y peut rien, c'est de la faute à celle
Qui la fait naître et grandir dans la douleur.
La joie elle ne connaîtra jamais la leur
Car la gamine observe mais se tait
On lui inculque seulement des méfaits
Elle ne comprend pas tous ces mots racistes
Son père, ses frères et leurs mots machistes
Cette mère soumise s'occupe d'une autre gamine
Qui ne fait que frapper la première, la mine
La première subit, se laisse faire
Pour pouvoir recevoir l'amour de sa mère
Mais rien ne se passe et les années s'écoulent
Jusqu'à ce qu'elle ait envie que son sang coule
Personne n'est près d'elle, pour rien elle ne compte
Elle ressort de l'hôpital avec sa conne de génitrice
Elle ne parle plus, a du mal à marcher, presque autiste
Elle s'aperçoit que tout le monde était au courant
L'école, sa famille, au même moment
Elle réalise que les gens se moquaient d'elle
Encore plus qu'elle ne le croyait
Elle perd le goût à tout et celle
Celle qui devrait être comme elle aimerait
Quelqu'un sensé la protéger et l'aimer
Elle ne fait que répéter
Que la fille aurait du se tuer
Et ne pas se louper
Où le père n'a jamais voulu de fille.
A 4 ans, la mère décide de ne plus l'aimer
Un enfer qui débute, à peine commencer.
La petite grandie sans personne, sans amis
Elle ne s'attache pas, ça résume sa vie.
Elle perd aussitôt tous les gens qui l'approchent
Les enfants de l'école, et ses proches.
Une sorte de malédiction tourne autour d'elle
Elle n'y peut rien, c'est de la faute à celle
Qui la fait naître et grandir dans la douleur.
La joie elle ne connaîtra jamais la leur
Car la gamine observe mais se tait
On lui inculque seulement des méfaits
Elle ne comprend pas tous ces mots racistes
Son père, ses frères et leurs mots machistes
Cette mère soumise s'occupe d'une autre gamine
Qui ne fait que frapper la première, la mine
La première subit, se laisse faire
Pour pouvoir recevoir l'amour de sa mère
Mais rien ne se passe et les années s'écoulent
Jusqu'à ce qu'elle ait envie que son sang coule
Personne n'est près d'elle, pour rien elle ne compte
Elle ressort de l'hôpital avec sa conne de génitrice
Elle ne parle plus, a du mal à marcher, presque autiste
Elle s'aperçoit que tout le monde était au courant
L'école, sa famille, au même moment
Elle réalise que les gens se moquaient d'elle
Encore plus qu'elle ne le croyait
Elle perd le goût à tout et celle
Celle qui devrait être comme elle aimerait
Quelqu'un sensé la protéger et l'aimer
Elle ne fait que répéter
Que la fille aurait du se tuer
Et ne pas se louper
Posté vendredi 25 juillet 2008 à 13:24 (#192)
I will always love you
[Voir le message caché (spoiler)]
D'autres que moi si vérité était au jour
Ont expiré froideur et chaleur un jour
Et par leur lanière de glace et de feu
La peur combattez le desir en eux
Toute ma peine ne peut pas être exprimée
La peur, l'angoisse va me tuer
Toute ces choses que j'aurai aimée faire
Sans toi ne valent plus le coup d'etre faites
Lève ces peines
Laisse moi respirer
Pourrais-je etre libérer
Cette peur n'est que dans ma têtes,
Toi pauvre être tendre et innocent
Sèche mes larmes et rend moi mon souffle d'avant
J'ai froid et je suis encore seule mais,
Mon amour est-ce vraiment ce que tu voulais ?
Tu ne pleureras pas pour mon absence, maintenant je sais
Il y a longtemps que tu m'as oubliée.
Suis-je tant sans importance... ?
Suis-je si insignifiante... ?
N'y a-t-il personne à qui je manque ?
Et si je saigne, je saignerai,
Sachant que ça t'est égal.
Et si je dors juste pour rêver de toi
Et l'envie de ne pas me réveillé sans toi
Je sais que je suis lache d'avoir abandonnée
Mais je n'ai plus la force de continué
La douleur a eu raison de moi en me tendant sa main
Alors pourquoi ne pas être maitre de son destin
Un jour j'oublierai ton nom
Et un beau jour, tu te noieras dans ma douleur si profonde
Oh tu adores me détester n'est-ce pas, chéri?
Je suis ton sacrifice
La flamme qui est en moi s'est eteinte a jamais
Et je ne veux pas etre prisonniere de ce corps si laid
alors je m'evade de ce corps, de cette terre, de cette vie
La mort pourra-t-elle me soulager, car je sais que sans toi il n'y a pas de paradis
Enfin dans un lit de moisissure
Ou sont absent fournaise et froidure
Dans ma tombe et sous mon front
Ne vient plus souffler le vent de la guerison
Alors a jamais je resterai celle que je suis
N'ayant plus la force de combattre cette indifferance glaçante
Dans la nuit éttoufante
Je lui donnerai mon dernier souffle
Et mon coeur qui depuis longtemps souffre
[Voir le message caché (spoiler)]
[Voir le message caché (spoiler)]
D'autres que moi si vérité était au jour
Ont expiré froideur et chaleur un jour
Et par leur lanière de glace et de feu
La peur combattez le desir en eux
Toute ma peine ne peut pas être exprimée
La peur, l'angoisse va me tuer
Toute ces choses que j'aurai aimée faire
Sans toi ne valent plus le coup d'etre faites
Lève ces peines
Laisse moi respirer
Pourrais-je etre libérer
Cette peur n'est que dans ma têtes,
Toi pauvre être tendre et innocent
Sèche mes larmes et rend moi mon souffle d'avant
J'ai froid et je suis encore seule mais,
Mon amour est-ce vraiment ce que tu voulais ?
Tu ne pleureras pas pour mon absence, maintenant je sais
Il y a longtemps que tu m'as oubliée.
Suis-je tant sans importance... ?
Suis-je si insignifiante... ?
N'y a-t-il personne à qui je manque ?
Et si je saigne, je saignerai,
Sachant que ça t'est égal.
Et si je dors juste pour rêver de toi
Et l'envie de ne pas me réveillé sans toi
Je sais que je suis lache d'avoir abandonnée
Mais je n'ai plus la force de continué
La douleur a eu raison de moi en me tendant sa main
Alors pourquoi ne pas être maitre de son destin
Un jour j'oublierai ton nom
Et un beau jour, tu te noieras dans ma douleur si profonde
Oh tu adores me détester n'est-ce pas, chéri?
Je suis ton sacrifice
La flamme qui est en moi s'est eteinte a jamais
Et je ne veux pas etre prisonniere de ce corps si laid
alors je m'evade de ce corps, de cette terre, de cette vie
La mort pourra-t-elle me soulager, car je sais que sans toi il n'y a pas de paradis
Enfin dans un lit de moisissure
Ou sont absent fournaise et froidure
Dans ma tombe et sous mon front
Ne vient plus souffler le vent de la guerison
Alors a jamais je resterai celle que je suis
N'ayant plus la force de combattre cette indifferance glaçante
Dans la nuit éttoufante
Je lui donnerai mon dernier souffle
Et mon coeur qui depuis longtemps souffre
[Voir le message caché (spoiler)]
Out on your own, cold and alone again
can this be what you really wanted, baby?
We had no time to say goodbye
How can the world just carry on?
I feel so lost when you are not by my side
I shall give my life for everything begun again
can this be what you really wanted, baby?
We had no time to say goodbye
How can the world just carry on?
I feel so lost when you are not by my side
I shall give my life for everything begun again
Posté samedi 16 août 2008 à 23:56 (#193)
Un des premiers que j'ai écrit:
En voyant ce beau p'tit couple
Qui s'reconnaitra pas de doutes
Et en pensant à mon passé
Que j'aimerai oublier
J'arrive à me demander
Quel sera la prochaine victime
Qui sera affublé de mon hymne
Je sais que je tombe facilement amoureux
Mais ce n'est jamais seulement pour être "deux"
Mon amour se donne facilement
Mais toujours entièrement
Alors quel sera celle qui sera mienne
Celle pour qui jamais la haine
Empoisonnera mon coeur
Empli de bonheur
A être à ses côtés
De son amour assoifé
Celle pour qui le silence
Parlera comme une transe
Celle pour qui le language des yeux
Que la langue française parle mieux
Celle en qui j'aurai confiance
Celle avec qui j'aurai aisance
Celle avec qui jamais souffrance
Ne perturbera notre existence
Celle qui pourrait me supporter
Pour une longue durée
Celle qui arriverait à m'aimer
Autant que je serai passionné
Celle pour qui je donnerai tout
Celle dont je serai fou
Celle fraîche comme la neige
Et folle comme je peux l'être
Aussi belle que Blanche-Neige
Aussi douce que la Belle
Comme un conte d'Andersen
Aussi pétillante qu'est Noël
Celle pour qui le pardon
Est la meilleure des raisons
Celle pour qui l'amitié
Se vit comme un conte de fées
Celle qui sera ma Princesse
Remplissant mon coeur d'ardiesse
Celle qui comme moi voit la vie
Comme une poésie
Celle que jamais je ne blesserai
Celle dont je m'enivrerai
Au final celle dont je rêvais
Mais qui jamais ne s'est montrée
Un que j'ai écrit après avoir appris qu'une de mes amies était lesbienne:
Il y avait là ce petit couple
Qui s'aimait sans l'ombre d'un doute
S'attirant, s'embrassant, se serrant
Vivant la vie simplement en s'aimant
Il y avait là ces fachos
Hurlant toujours dans leur dos
Ces gens sans ouverture d'esprit
Toujours prêt à toutes les fourberies
Le petit couple se baladant tranquillement
S'observant dans les yeux tendrement
Respirant pleinement la brise de leur amour
Se regardant passionnement tour à tour
Les fachos les suivant
Bavardant en les conspuant
Bien au chaud dans leur connerie
De leur amour, eux, ils en rient
Revoilà le petit couple assit
Savourant cet amour comme une sucrerie
Ne se lassant pas de la présence de leur moitié
Tous les prétextes sont bons pour s'aimer
Les fachos toujours derrière
Prêt à leur jeter la pierre
Rejetant ce qu'ils appellent une anomalie
La vie ne peut accepter cette bizarrerie
Le petit couple bavardant
Souriant gaiement
Ne pouvant réprimer leurs joie de vivre
Consommant leur amour jusqu'à s'en rendre ivre
Les fachos s'énervant
Organisant un regroupement
Trouvant toujours les mots les plus blessant
Prêt à faire couler le sang
Le petit couple courant
Les fachos exultant
Se demandant pourquoi cette haine
S'impatientant de les voir blême
Le petit couple s'est échappé
Réussissant à esquiver
Tout ces fachos et leurs rengaines
Projettant la haine en grèle
Et ce petit couple résiste
Et jamais n'hésite
Elles se sont trouvées et aimées
Rien ne pourra jamais les séparées
Et un pour mes amis:
Explorer la vie de mes yeux
Arpenter tous ces chemins boueux
Entouré par des véreux
Pensant m’indiquer le chemin des vertueux
Ils n’ont pas encore compris
Qu’au simple contact de leurs esprits
La vie me sourit et rie
Car par leur chaleur ils me guident
Mon coeur frappe, bat, bat
Mais je ne crois pas que ce soit pour moi
Seulement pour eux, eux, eux
Mon énergie est contenu dans leurs yeux
Vous pouvez toujours me juger
Et de moi-même ricaner
Mais tant que j’aurai leur amitié
Vous ne pourrez me faire flancher
Car ils sont là, là, là
Toujours là pour moi
Car ils sont tout, tout, tout
Pour moi et constamment m’entoure
C’est mon gang, ma team, ma vie
Donner vie à leurs envies
Est la seule chose qui m’anime
Pas écouter vos discours à peine fini
Ma volonté est infini
Lorsque je peux leurs donner le sourire
Tant de joie, joie, joie
Donnée par leurs éclats de voix
Tant de peine, peine, peine
Lorsque la haine règne en maitre
Quelques conflits, envies
Divergentes dans nos esprits
Mais par tout temps amis
Se soutenant telle une famille
V’la mon crew, mon gang, ma team
Amour qui s’éveille et s’anime
Dans la volonté d’aider
Ceux dont l’amour est partagé
En voyant ce beau p'tit couple
Qui s'reconnaitra pas de doutes
Et en pensant à mon passé
Que j'aimerai oublier
J'arrive à me demander
Quel sera la prochaine victime
Qui sera affublé de mon hymne
Je sais que je tombe facilement amoureux
Mais ce n'est jamais seulement pour être "deux"
Mon amour se donne facilement
Mais toujours entièrement
Alors quel sera celle qui sera mienne
Celle pour qui jamais la haine
Empoisonnera mon coeur
Empli de bonheur
A être à ses côtés
De son amour assoifé
Celle pour qui le silence
Parlera comme une transe
Celle pour qui le language des yeux
Que la langue française parle mieux
Celle en qui j'aurai confiance
Celle avec qui j'aurai aisance
Celle avec qui jamais souffrance
Ne perturbera notre existence
Celle qui pourrait me supporter
Pour une longue durée
Celle qui arriverait à m'aimer
Autant que je serai passionné
Celle pour qui je donnerai tout
Celle dont je serai fou
Celle fraîche comme la neige
Et folle comme je peux l'être
Aussi belle que Blanche-Neige
Aussi douce que la Belle
Comme un conte d'Andersen
Aussi pétillante qu'est Noël
Celle pour qui le pardon
Est la meilleure des raisons
Celle pour qui l'amitié
Se vit comme un conte de fées
Celle qui sera ma Princesse
Remplissant mon coeur d'ardiesse
Celle qui comme moi voit la vie
Comme une poésie
Celle que jamais je ne blesserai
Celle dont je m'enivrerai
Au final celle dont je rêvais
Mais qui jamais ne s'est montrée
Un que j'ai écrit après avoir appris qu'une de mes amies était lesbienne:
Il y avait là ce petit couple
Qui s'aimait sans l'ombre d'un doute
S'attirant, s'embrassant, se serrant
Vivant la vie simplement en s'aimant
Il y avait là ces fachos
Hurlant toujours dans leur dos
Ces gens sans ouverture d'esprit
Toujours prêt à toutes les fourberies
Le petit couple se baladant tranquillement
S'observant dans les yeux tendrement
Respirant pleinement la brise de leur amour
Se regardant passionnement tour à tour
Les fachos les suivant
Bavardant en les conspuant
Bien au chaud dans leur connerie
De leur amour, eux, ils en rient
Revoilà le petit couple assit
Savourant cet amour comme une sucrerie
Ne se lassant pas de la présence de leur moitié
Tous les prétextes sont bons pour s'aimer
Les fachos toujours derrière
Prêt à leur jeter la pierre
Rejetant ce qu'ils appellent une anomalie
La vie ne peut accepter cette bizarrerie
Le petit couple bavardant
Souriant gaiement
Ne pouvant réprimer leurs joie de vivre
Consommant leur amour jusqu'à s'en rendre ivre
Les fachos s'énervant
Organisant un regroupement
Trouvant toujours les mots les plus blessant
Prêt à faire couler le sang
Le petit couple courant
Les fachos exultant
Se demandant pourquoi cette haine
S'impatientant de les voir blême
Le petit couple s'est échappé
Réussissant à esquiver
Tout ces fachos et leurs rengaines
Projettant la haine en grèle
Et ce petit couple résiste
Et jamais n'hésite
Elles se sont trouvées et aimées
Rien ne pourra jamais les séparées
Et un pour mes amis:
Explorer la vie de mes yeux
Arpenter tous ces chemins boueux
Entouré par des véreux
Pensant m’indiquer le chemin des vertueux
Ils n’ont pas encore compris
Qu’au simple contact de leurs esprits
La vie me sourit et rie
Car par leur chaleur ils me guident
Mon coeur frappe, bat, bat
Mais je ne crois pas que ce soit pour moi
Seulement pour eux, eux, eux
Mon énergie est contenu dans leurs yeux
Vous pouvez toujours me juger
Et de moi-même ricaner
Mais tant que j’aurai leur amitié
Vous ne pourrez me faire flancher
Car ils sont là, là, là
Toujours là pour moi
Car ils sont tout, tout, tout
Pour moi et constamment m’entoure
C’est mon gang, ma team, ma vie
Donner vie à leurs envies
Est la seule chose qui m’anime
Pas écouter vos discours à peine fini
Ma volonté est infini
Lorsque je peux leurs donner le sourire
Tant de joie, joie, joie
Donnée par leurs éclats de voix
Tant de peine, peine, peine
Lorsque la haine règne en maitre
Quelques conflits, envies
Divergentes dans nos esprits
Mais par tout temps amis
Se soutenant telle une famille
V’la mon crew, mon gang, ma team
Amour qui s’éveille et s’anime
Dans la volonté d’aider
Ceux dont l’amour est partagé
Pas de signature pour le moment, mais mon blog par ici
Posté mercredi 08 avril 2009 à 15:03 (#194)
Petit Haïku :
Êtres situés
Fin du monde arrivée
Ego convaincu
Bon étant donné qu'il ne respecte pas forcement toutes les règles des Haîkus un autre petit plus formel :
Arbre nu au vent
La nuit aime prendre son temps
Ton parfum grise
(référence du passage de l'hiver au printemps).
Êtres situés
Fin du monde arrivée
Ego convaincu
Bon étant donné qu'il ne respecte pas forcement toutes les règles des Haîkus un autre petit plus formel :
Arbre nu au vent
La nuit aime prendre son temps
Ton parfum grise
(référence du passage de l'hiver au printemps).


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