pareil kirika c'est un poème de malade mais j'ai quand même eu le courage de tout lire MOI (je ne désigne personne :whistling: )
JOJO bravo simpa le poème
poéme dite le joliment
Posté vendredi 04 novembre 2005 à 21:23 (#167)
Un poème de malade... C'est un compliment ça ?
Et puis je n'ai aucun mérite, le prof de math était tellement chiant qu'il fallait bien que je trouve quelque chose à faire pour m'occuper !

Et puis je n'ai aucun mérite, le prof de math était tellement chiant qu'il fallait bien que je trouve quelque chose à faire pour m'occuper !
Posté mercredi 09 novembre 2005 à 19:46 (#168)
deux p'tits poème que j'aime bien :
le premier tiré de gumnn:
sort salutaire
et valeureux
en cet instant contraire,
est affecté
et défait
toujours par l'esclavage;
en cet instant
sans retard
touche la corde vibrante,
alors si le sort
détruit ceux qui sont forts
pleurez tous avec moi.
le second d'un pote qu'a écrit un ouvrage de poème (si vous voulez la référence, envoyer moi un pm
)
sur ta peau
j'ai dessiné sur ta peau
avec mes rêves et mes sanglots
une rivière pleine d'étoiles
a la chaleur, sur ton dos
j'ai déposé ces quelques mots
où la tendresse s'étale
t'as deviné sur ma peau
toute la sueur qui tombait de haut
et qui passait comme à la dérive
j'ai pas pu retenir l'aurore
qui t'avais caché comme un trésor
j'ai pas trouvé la route à suivre
sur ta peau j'ai mis ma main
comme une fleur caresse un jardin
entrelacés j'ai glissé mon âme
un peu de souffle entre nous
j'ai posé ma main sur tes yeux
avant que ton coeur s'enflamme
des instants frêles que tu touchais
aux frissons suaves que tu buvais
la douceur s'enivrait à toi
même le temps n'était plus le même
immobile comme un je t'aime
sorti du plus profond de soi
les images se troublent dans la mer
et mon regard à tes paupières
et je me noie par trop d'errance
j'ai déposé quelques caresses
des étreintes, de la tendresse
sans un mot
quand l'émotion atteint l'ivresse
j'ai soufflé le feu sans cesse
sur ta peau
le premier tiré de gumnn:
sort salutaire
et valeureux
en cet instant contraire,
est affecté
et défait
toujours par l'esclavage;
en cet instant
sans retard
touche la corde vibrante,
alors si le sort
détruit ceux qui sont forts
pleurez tous avec moi.
le second d'un pote qu'a écrit un ouvrage de poème (si vous voulez la référence, envoyer moi un pm

sur ta peau
j'ai dessiné sur ta peau
avec mes rêves et mes sanglots
une rivière pleine d'étoiles
a la chaleur, sur ton dos
j'ai déposé ces quelques mots
où la tendresse s'étale
t'as deviné sur ma peau
toute la sueur qui tombait de haut
et qui passait comme à la dérive
j'ai pas pu retenir l'aurore
qui t'avais caché comme un trésor
j'ai pas trouvé la route à suivre
sur ta peau j'ai mis ma main
comme une fleur caresse un jardin
entrelacés j'ai glissé mon âme
un peu de souffle entre nous
j'ai posé ma main sur tes yeux
avant que ton coeur s'enflamme
des instants frêles que tu touchais
aux frissons suaves que tu buvais
la douceur s'enivrait à toi
même le temps n'était plus le même
immobile comme un je t'aime
sorti du plus profond de soi
les images se troublent dans la mer
et mon regard à tes paupières
et je me noie par trop d'errance
j'ai déposé quelques caresses
des étreintes, de la tendresse
sans un mot
quand l'émotion atteint l'ivresse
j'ai soufflé le feu sans cesse
sur ta peau
Posté mercredi 09 novembre 2005 à 22:45 (#169)
un petit poème écrit de mes propores mains :
Le meilleur dans l'Amour c'est le touché
le reste n'est que superflciel.
Et être auprès de l'être aimé,
on se retrouve au septième ciel!
Le meilleur dans l'Amour c'est le touché
le reste n'est que superflciel.
Et être auprès de l'être aimé,
on se retrouve au septième ciel!

Posté jeudi 10 novembre 2005 à 12:06 (#170)
Citation
Le meilleur dans l'Amour c'est le touché
le reste n'est que superflciel.
Et être auprès de l'être aimé,
on se retrouve au septième ciel!
le reste n'est que superflciel.
Et être auprès de l'être aimé,
on se retrouve au septième ciel!
Très joli ton poème ma chiri !!
J'en aurais bien écrit un moi aussi en retour, mais bon je suis pas doué pour ce genre de chose !!
Donc je te dirais simplement : je t'aime.

Posté dimanche 13 novembre 2005 à 12:00 (#171)
Papillon éphémere
Je léve les yeux, je rêve et mon coeur s'éleve
d'amour et d'évasion, caresse à la passion;
tu esquisses ma vie, tu dessines mes rêves,
être ton ange gardien, telle est ma mission.
Mais fugitive, douce illusion, je t'imagine.
Je ferme les yeux, je rêve et mon coeur s'anime,
car tout chez toi est merveille qui me fascine,
voila ce qui me pousse à écrire ses rimes.
Dans un monde eternel emplit de mystéres
Est mon âme, dont tu en es l'unique héritiére
Inspiration du poéte, Élue de mon coeur.
Douces confidences tendrement murmurés,
Qui se résume qu'en un trés chaud bonheur
Ressentir les âffres d'un amour inavoué...
Mon fils, ma bataille
Je l'entend encore me demander, souriant,
'Pourquoi y a t-il tous ces missiles et ces canons'
'Pourquoi y a t-il dans le ciel de si beaux avions'.
Je l'entend encore nous dire délicatement,
'Je t'aime Papa, et ça tu sais, c'est pour la vie'
'Maman, t'es une rose, parceque t'es trop jolie'.
Je l'entend encore qui cours, qui saute et qui rie
De joie et de bonheur, d'amour et de câlins
S'endormir sans se soucier du jour qu'est demain.
Alors pourquoi a t-il fallu qu'il court, qu'il crie
Sous les chars d'assauts, les morts et les bombardiers.
Pourquoi a t-il fallu d'un seul carabinier
et d'une seule balle, pour lui ôter la vie.
Pourquoi a t-il fallu qu'il y ai cette fichue guerre
Pour y perdre les personnes qui nous étaient cheres.
Que vais-je dire maintenant à sa mére
Si ce n'est pardon, pardon et encore pardon.
Pardon d'avoir cru en un monde et une nation
Intelligente, aimante et soucieuse de ses pairs.
Pardon d'avoir cru en nos hommes, en nos fréres
Alors qu'eux ne pensaient qu'à cet'maudite guerre.
Pardon d'avoir envoyé ton être fragile,
Ton fils tant adoré, sous le chant des missiles.
Je léve les yeux, je rêve et mon coeur s'éleve
d'amour et d'évasion, caresse à la passion;
tu esquisses ma vie, tu dessines mes rêves,
être ton ange gardien, telle est ma mission.
Mais fugitive, douce illusion, je t'imagine.
Je ferme les yeux, je rêve et mon coeur s'anime,
car tout chez toi est merveille qui me fascine,
voila ce qui me pousse à écrire ses rimes.
Dans un monde eternel emplit de mystéres
Est mon âme, dont tu en es l'unique héritiére
Inspiration du poéte, Élue de mon coeur.
Douces confidences tendrement murmurés,
Qui se résume qu'en un trés chaud bonheur
Ressentir les âffres d'un amour inavoué...
Mon fils, ma bataille
Je l'entend encore me demander, souriant,
'Pourquoi y a t-il tous ces missiles et ces canons'
'Pourquoi y a t-il dans le ciel de si beaux avions'.
Je l'entend encore nous dire délicatement,
'Je t'aime Papa, et ça tu sais, c'est pour la vie'
'Maman, t'es une rose, parceque t'es trop jolie'.
Je l'entend encore qui cours, qui saute et qui rie
De joie et de bonheur, d'amour et de câlins
S'endormir sans se soucier du jour qu'est demain.
Alors pourquoi a t-il fallu qu'il court, qu'il crie
Sous les chars d'assauts, les morts et les bombardiers.
Pourquoi a t-il fallu d'un seul carabinier
et d'une seule balle, pour lui ôter la vie.
Pourquoi a t-il fallu qu'il y ai cette fichue guerre
Pour y perdre les personnes qui nous étaient cheres.
Que vais-je dire maintenant à sa mére
Si ce n'est pardon, pardon et encore pardon.
Pardon d'avoir cru en un monde et une nation
Intelligente, aimante et soucieuse de ses pairs.
Pardon d'avoir cru en nos hommes, en nos fréres
Alors qu'eux ne pensaient qu'à cet'maudite guerre.
Pardon d'avoir envoyé ton être fragile,
Ton fils tant adoré, sous le chant des missiles.
Posté lundi 12 décembre 2005 à 11:50 (#172)
voici un poème issu d'une chanson que je trouve très jolie (groupe : la rue kétanou)
la fiancée de l'eau
Morte de sécheresse
La fiancée de l'eau
A marié son sang
A celui du ruisseau
Prince range ton drap blanc
Prince range ton drap blanc
Il ne sera jamais
Le drapeau rougissant
De sa virginité
Regarde son honneur
Regarde son honneur
S'enfuir par la mort
Regarde triste voleur
L'absence dans son corps
Tu peux creuser la terre
Tu peux creuser la terre
Avec tous tes remords
Creuser jusqu'en enfer
Creuser, creuser encore
Non, tu n'auras rien d'elle
Non, tu n'auras rien d'elle
Il n'y a plus rien à prendre
Elle s'est jetée au ciel
Tu commences à comprendre
Que tout n'est pas à vendre
la fiancée de l'eau
Morte de sécheresse
La fiancée de l'eau
A marié son sang
A celui du ruisseau
Prince range ton drap blanc
Prince range ton drap blanc
Il ne sera jamais
Le drapeau rougissant
De sa virginité
Regarde son honneur
Regarde son honneur
S'enfuir par la mort
Regarde triste voleur
L'absence dans son corps
Tu peux creuser la terre
Tu peux creuser la terre
Avec tous tes remords
Creuser jusqu'en enfer
Creuser, creuser encore
Non, tu n'auras rien d'elle
Non, tu n'auras rien d'elle
Il n'y a plus rien à prendre
Elle s'est jetée au ciel
Tu commences à comprendre
Que tout n'est pas à vendre
Posté mercredi 08 février 2006 à 12:32 (#173)
dans les abyse de mon ames
le reine des ombres qui rode
envelope ma lumiere
qui perit en delice
dans l'accablement exalte
de la noirceur eblouie
eprouvante volontée
qui sincline à la deception
humiliée par le soporifique
humain
coupables du desir
d'entrevoir avec plaisir
ma chute vers le néant
que je desire ardament
je revoque la vie
éternel suplice
qui m'enchaine de
liens barbelés
qui etouffe mon desir
de mourir
le reine des ombres qui rode
envelope ma lumiere
qui perit en delice
dans l'accablement exalte
de la noirceur eblouie
eprouvante volontée
qui sincline à la deception
humiliée par le soporifique
humain
coupables du desir
d'entrevoir avec plaisir
ma chute vers le néant
que je desire ardament
je revoque la vie
éternel suplice
qui m'enchaine de
liens barbelés
qui etouffe mon desir
de mourir

pascenter http://marmot.gruk.o...&P=sadraven.png pascenter^^
mon blog
ta le potentiel alors ecoute moi et t'avancera moins loin, donc tu seras moins fatigué^^
alors que si tu les ecoutes tu ira loin, et tu sera fatigué^^
Posté mardi 14 février 2006 à 08:42 (#174)
up fuck the double >_
interdit de ma peur
qui s'etoffe du voile
que m'offre l'ardeur
de la nuit qui s'etoiles
ou le sang, perle ecarlates
se melange au liquide crystalain
qui rougit à ce funetes contact
de delivrances insciser de ma main
mais le bruit sourd qui percutent
le bois protecteur
me reveille de facon abrute
et me renvoi a l'agonie des heures
ou le le liquide prisonnier en moi
pourra retrouver la lumiere
je ne meurs pas encore pour toi
mais je disparais dans mes priéres....
joie du matin tsoin tsoin

interdit de ma peur
qui s'etoffe du voile
que m'offre l'ardeur
de la nuit qui s'etoiles
ou le sang, perle ecarlates
se melange au liquide crystalain
qui rougit à ce funetes contact
de delivrances insciser de ma main
mais le bruit sourd qui percutent
le bois protecteur
me reveille de facon abrute
et me renvoi a l'agonie des heures
ou le le liquide prisonnier en moi
pourra retrouver la lumiere
je ne meurs pas encore pour toi
mais je disparais dans mes priéres....
joie du matin tsoin tsoin

pascenter http://marmot.gruk.o...&P=sadraven.png pascenter^^
mon blog
ta le potentiel alors ecoute moi et t'avancera moins loin, donc tu seras moins fatigué^^
alors que si tu les ecoutes tu ira loin, et tu sera fatigué^^
Posté dimanche 19 mars 2006 à 02:32 (#175)
Un petit poème pour l'idéal pessimiste
:
(mais interdit aux gens depressifs :pinch: )
[Voir le message caché (spoiler)]

(mais interdit aux gens depressifs :pinch: )
[Voir le message caché (spoiler)]
Posté mardi 21 mars 2006 à 20:02 (#176)
Poème boulay :
Demain je vais à la mer voir ma mère et je vote mamère même si j'ai pas de prothèses mammaires (pas b'soin).
Demain je vais à la mer voir ma mère et je vote mamère même si j'ai pas de prothèses mammaires (pas b'soin).

Posté samedi 01 avril 2006 à 02:00 (#177)
Dsl mais encore un autre poème qui est interdit aux gens dépressifs:
[Voir le message caché (spoiler)]
[Voir le message caché (spoiler)]
[Voir le message caché (spoiler)]
[Voir le message caché (spoiler)]
Posté samedi 01 avril 2006 à 10:39 (#178)
C'est un poéme sur l'amitié ... il n'est pas de moi, mais je le trouve vraiment joli
L’amitié,
Un jour, j’ai pleuré,
Ce jour la, tu es venu,
Me dire les mots magiques,
Qui m’ont fait sourire.
Puis un jour,
Ce fut toi, tu as pleuré,
Mais ce jour la, je ne suis pas venu,
Te dire ces mêmes mots magiques,
Qui m’ont fait sourire.
Ma peur de ne pas arriver à te faire sourire,
A pris ce jour le dessus sur notre amitié.
Pardonne-moi,
Pardonne-moi, de t’avoir laissé pleurer.
Au fond de moi, tu vois, ce désespoir,
M’envahir, pleins de remords,
Tu m’as pris dans tes bras.
Et la, j’ai compris ce qu’il me restait à faire,
Je tes soufflé à l’oreille,
Ces doux mots magiques,
Qui nous font maintenant,
Sourire tous les deux.
[Voir le message caché (spoiler)]
L’amitié,
Un jour, j’ai pleuré,
Ce jour la, tu es venu,
Me dire les mots magiques,
Qui m’ont fait sourire.
Puis un jour,
Ce fut toi, tu as pleuré,
Mais ce jour la, je ne suis pas venu,
Te dire ces mêmes mots magiques,
Qui m’ont fait sourire.
Ma peur de ne pas arriver à te faire sourire,
A pris ce jour le dessus sur notre amitié.
Pardonne-moi,
Pardonne-moi, de t’avoir laissé pleurer.
Au fond de moi, tu vois, ce désespoir,
M’envahir, pleins de remords,
Tu m’as pris dans tes bras.
Et la, j’ai compris ce qu’il me restait à faire,
Je tes soufflé à l’oreille,
Ces doux mots magiques,
Qui nous font maintenant,
Sourire tous les deux.
[Voir le message caché (spoiler)]
Posté samedi 01 avril 2006 à 19:21 (#179)
Je marche sans but,
Envie de m'évader...
Dans cette foule d'inconnus,
Effondrée.
Seule et écoutant ce chahut,
Illusions brisées,
Rêves perdus,
Et ce coeur que la tristesse vient combler...
Montant de longues rues,
Où le ciel ne cesse de pleurer,
Une tempête toute émue,
Ravage cette nuit étoilée.
Invisible, sans but je continue,
Riant de ce monde abandonné...
Envie de m'évader...
Dans cette foule d'inconnus,
Effondrée.
Seule et écoutant ce chahut,
Illusions brisées,
Rêves perdus,
Et ce coeur que la tristesse vient combler...
Montant de longues rues,
Où le ciel ne cesse de pleurer,
Une tempête toute émue,
Ravage cette nuit étoilée.
Invisible, sans but je continue,
Riant de ce monde abandonné...
Posté lundi 03 avril 2006 à 01:17 (#180)
La rue assourdissante autour de moi hurlait,
Dans ce monde étranger, agonise mon âme.
Au fond de mon coeur, s'éteint peu à peu la flamme,
Seul et incompris, ma douleur vociférait.
Les parfums de mille fleurs de ce mois de mai,
ne peuvent dissimuler notre monde infâme:
L'hypocrisie ou la haine, telle une lame;
L'amour et l'amitié, vers les cieux s'envolaient.
Et parcourant la terre, ma quête perdue,
S'achève sans trouver le monde des Elus.
Epuisé, les ailes brisées, la froide lune,
Le soleil glacé, les ténèbres me rongeaient.
Là soudain je vois une lumière divine:
La Mort me sourit, le sauveur que j'attendais...
....bien joué baudelaire...
....bien joué luna_cyn...
mais n'abbandonne jamais!
Dans ce monde étranger, agonise mon âme.
Au fond de mon coeur, s'éteint peu à peu la flamme,
Seul et incompris, ma douleur vociférait.
Les parfums de mille fleurs de ce mois de mai,
ne peuvent dissimuler notre monde infâme:
L'hypocrisie ou la haine, telle une lame;
L'amour et l'amitié, vers les cieux s'envolaient.
Et parcourant la terre, ma quête perdue,
S'achève sans trouver le monde des Elus.
Epuisé, les ailes brisées, la froide lune,
Le soleil glacé, les ténèbres me rongeaient.
Là soudain je vois une lumière divine:
La Mort me sourit, le sauveur que j'attendais...
....bien joué baudelaire...
....bien joué luna_cyn...
mais n'abbandonne jamais!


"ceux qui rêvent éveillés ont conscience de mille choses qui échappent à ceux qui rêvent endormis"