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poéme dite le joliment
Posté jeudi 10 février 2005 à 22:32 (#121)
c'est en espagnol, dsl pour les fautes:
Un Tesoro para felicia cortinias
entre las flores del patio
que crecen en macetas rajadas o en latas
de conserva que han perdido el color
mi hira esta jugando a encontrar
une fabuloso cofre de monedas de oro
enterado quien sabe por que pirata de su imagination
atariada no me siente ilegar
a las puertas de su minimo universo
la llammo
y soprendida mi mira y sonrie
je me debrouille bien non ?
Un Tesoro para felicia cortinias
entre las flores del patio
que crecen en macetas rajadas o en latas
de conserva que han perdido el color
mi hira esta jugando a encontrar
une fabuloso cofre de monedas de oro
enterado quien sabe por que pirata de su imagination
atariada no me siente ilegar
a las puertas de su minimo universo
la llammo
y soprendida mi mira y sonrie
je me debrouille bien non ?

Autant croire en quelque chose que douter de quelque chose.
je remercie Kajika (le Kajingan) pour cette sign.
Posté jeudi 10 février 2005 à 22:34 (#122)
HB_Onizuka, le 10/02/2005 à 22:32, dit :
c'est en espagnol, dsl pour les fautes:
Un Tesoro para felicia cortinias
entre las flores del patio
que crecen en macetas rajadas o en latas
de conserva que han perdido el color
hi hira esta jugando a encontrar
une fabuloso cofre de monedas de oro
enterado quien sabe por que pirata de su imagination
atariada no me siente ilegar
a las puertas de su minimo universo
la llammo
y soprendida mi mira y sonrie
je me debrouille bien non ?
Un Tesoro para felicia cortinias
entre las flores del patio
que crecen en macetas rajadas o en latas
de conserva que han perdido el color
hi hira esta jugando a encontrar
une fabuloso cofre de monedas de oro
enterado quien sabe por que pirata de su imagination
atariada no me siente ilegar
a las puertas de su minimo universo
la llammo
y soprendida mi mira y sonrie
je me debrouille bien non ?
l'a pô compris

non j'rigole, c'est super bien !
Posté lundi 14 février 2005 à 11:39 (#123)
J'ai eu mon Bac, j'ai passé l'Espagnol mais j'suis tellement mauvais que j'arrive pas à comprendre ces lignes, désolé! Fait le en Anglais la prochaine fois ;p
Sadraven, comment tu fait pour écrire ca alors que tu as un bambin bourré d'amour? (si ca te gene répond pas)
Bon sinon voilà encore un truc bien glauque made in moi:
"Comprendre ce qui n’est pas vrai"
Le cauchemar s'arrête au début du rêve
Je l’ai finalement compris
Car j’ai rêvé aujourd’hui
J’avais finit par le demander
J'ai accepté que ma réalité passée
Devienne ce rêve d’une simple nuitée
J'ai accepté que mes amours passés et inoubliables
Devienne mes rêves présent et inégalable
J'ai l'impression que tout cela ne s'est jamais passé
Que ma réalité n'est que larmes
De simples gouttes de pluies égarées
Sur le par brise d'une voiture mal garé
Je n'ai jamais eu d'amis
On n'a jamais eu besoin d'être avec moi pour mon silence
Je n'ai jamais été aimé
Mon silence ne sait être interprété que comme un mécontentement
Je sais tellement bien exprimer
Que ce que je ne veux pas montré
Est vu comme un mal couvé
Et l'on finit par me détester
Mes envies sont perdues
Entre regret et refus
Comme des intrus
Que l'on jette à la rue
J'ai toujours eu peur de l'eau
Mais je n'ai jamais eu la sensation d'avoir pied
Je n'ai jamais accepté l'eau comme un réconfort
Mais comme un engloutisseur de tord
Je n'ai jamais accepté que l'on m'enlace
Si je ne l'avais pas décidé
J'ai toujours cru que ça me rendrait lasse
Si je ne l'avais désiré
Je ne laisse personne désirer pour moi
Je ne me laisse désiré que par le désir
Ton bon vouloir
Ce n'est pas une gloire
Mais mon dépotoir
Sadraven, comment tu fait pour écrire ca alors que tu as un bambin bourré d'amour? (si ca te gene répond pas)
Bon sinon voilà encore un truc bien glauque made in moi:
"Comprendre ce qui n’est pas vrai"
Le cauchemar s'arrête au début du rêve
Je l’ai finalement compris
Car j’ai rêvé aujourd’hui
J’avais finit par le demander
J'ai accepté que ma réalité passée
Devienne ce rêve d’une simple nuitée
J'ai accepté que mes amours passés et inoubliables
Devienne mes rêves présent et inégalable
J'ai l'impression que tout cela ne s'est jamais passé
Que ma réalité n'est que larmes
De simples gouttes de pluies égarées
Sur le par brise d'une voiture mal garé
Je n'ai jamais eu d'amis
On n'a jamais eu besoin d'être avec moi pour mon silence
Je n'ai jamais été aimé
Mon silence ne sait être interprété que comme un mécontentement
Je sais tellement bien exprimer
Que ce que je ne veux pas montré
Est vu comme un mal couvé
Et l'on finit par me détester
Mes envies sont perdues
Entre regret et refus
Comme des intrus
Que l'on jette à la rue
J'ai toujours eu peur de l'eau
Mais je n'ai jamais eu la sensation d'avoir pied
Je n'ai jamais accepté l'eau comme un réconfort
Mais comme un engloutisseur de tord
Je n'ai jamais accepté que l'on m'enlace
Si je ne l'avais pas décidé
J'ai toujours cru que ça me rendrait lasse
Si je ne l'avais désiré
Je ne laisse personne désirer pour moi
Je ne me laisse désiré que par le désir
Ton bon vouloir
Ce n'est pas une gloire
Mais mon dépotoir
Posté lundi 14 février 2005 à 13:50 (#124)
Après une cuite
Si vous vous promenez
Dans les recoins des toilettes,
Songez à l'extrême ivresse
Que ces cuvettes imbéciles
Ont pu laisser dans les cerveaux serviles
De coke prise,
De maintes surprises,
Et de dangers insoupçonnés.
Le bar éclate
Sous ses spots écarlates,
Le grès s'enfle
Et semble mort,
Mais semble seulement.
Si vous vous promenez
Dans les recoins des toilettes,
Songez à l'extrême ivresse
Que ces cuvettes imbéciles
Ont pu laisser dans les cerveaux serviles
De coke prise,
De maintes surprises,
Et de dangers insoupçonnés.
Le bar éclate
Sous ses spots écarlates,
Le grès s'enfle
Et semble mort,
Mais semble seulement.
Posté mardi 15 février 2005 à 22:04 (#125)
- Quand je vois tes yeux, je suis amoureux
- Quand j'entend ta voix, je suis foux de joie
- Quand j'entend ta voix, je suis foux de joie
Posté lundi 21 février 2005 à 18:32 (#126)
Un modeste poème, inspiré par la soudaine tombé de neige de cette après midi (les 1er neiges de l'année par chez moi) C'est beau la neige ...
"Tout fond"
Au plus près du gouffre de mes pensées
Au plus profond de nos pupilles rougissantes
Rien ne moins que mes envies errantes
Rien de plus qui me nuie
La mort poursuit l'ennuie
La vie poursuit le tord
Je n'ai de cesse de me retrouver nue dés lors
Face aux sourires perdus et sans devenir
Alors que tu ne voudras pas me retenir
Rien ne me retient, surtout pas la certitude
Jamais je n'ai eu aussi peu peur de la solitude
Un jour sans fin ni lune
Où tournoient toutes mes rancunes, unes à unes
Proche d'une certaine exactitude
D'un égoïsme sauveur au son si rude
De ce silence qui me sonde
Il ne reste alors que le bruit de mes souvenirs qui font leur ronde
Mon coeur brisant ces pierres si dures
Qu'amis comme ennemis jettent sur mon mur
Ainsi, pourris sous les feuilles endormies de l'automne
L'hivers se réveil et laisse l'innocente neige entrer
Sans un mot ni même une serrure brisé
Pourquoi toujours se retourner?
Alors que personne ne se serait arrêté
Tout sera bientôt recouvert puis pelé
D'un espoir plus luisant que vos enluminures
La brume arborant le sous-verre
De tableaux plus mort que nature
Qu'une vie finisse au commencement de l'amour
Qu'une saison s'achève au confluent de deux aimant
Et que naisse sur nos terres gelées
Les désirs de ceux qui sont oubliés
Mais rappelé vous lorsque tout fondra sous vos pieds
Les larmes des imbéciles
Sont aussi chaudes que les votre
Et vos peurs sont les notre
Parfois l'on croit voir le soleil se lever en pleine après midi
Alors qu'en fait il était juste caché par des nuages

"Tout fond"
Au plus près du gouffre de mes pensées
Au plus profond de nos pupilles rougissantes
Rien ne moins que mes envies errantes
Rien de plus qui me nuie
La mort poursuit l'ennuie
La vie poursuit le tord
Je n'ai de cesse de me retrouver nue dés lors
Face aux sourires perdus et sans devenir
Alors que tu ne voudras pas me retenir
Rien ne me retient, surtout pas la certitude
Jamais je n'ai eu aussi peu peur de la solitude
Un jour sans fin ni lune
Où tournoient toutes mes rancunes, unes à unes
Proche d'une certaine exactitude
D'un égoïsme sauveur au son si rude
De ce silence qui me sonde
Il ne reste alors que le bruit de mes souvenirs qui font leur ronde
Mon coeur brisant ces pierres si dures
Qu'amis comme ennemis jettent sur mon mur
Ainsi, pourris sous les feuilles endormies de l'automne
L'hivers se réveil et laisse l'innocente neige entrer
Sans un mot ni même une serrure brisé
Pourquoi toujours se retourner?
Alors que personne ne se serait arrêté
Tout sera bientôt recouvert puis pelé
D'un espoir plus luisant que vos enluminures
La brume arborant le sous-verre
De tableaux plus mort que nature
Qu'une vie finisse au commencement de l'amour
Qu'une saison s'achève au confluent de deux aimant
Et que naisse sur nos terres gelées
Les désirs de ceux qui sont oubliés
Mais rappelé vous lorsque tout fondra sous vos pieds
Les larmes des imbéciles
Sont aussi chaudes que les votre
Et vos peurs sont les notre
Parfois l'on croit voir le soleil se lever en pleine après midi
Alors qu'en fait il était juste caché par des nuages
Posté lundi 21 février 2005 à 18:35 (#127)
pas mal ton dernier kame-senin....^^ reste plus qu'a ameliorer ton orthographe car des fois on a du mal a comprendre mais sinon je le trouve vraiment bien ton petit dernier

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Posté lundi 21 février 2005 à 18:41 (#128)
C'est gentil
merci !!! Oui mes phrases sont pas toujours claires et je fait des fautes partout (même avec le correcteur Word, c'est dire...) Sur ce je vais me boire un thé, content que mes mots touchent de cette manière.

Posté mardi 22 février 2005 à 22:54 (#129)
Une petite UP avec ma dernière petite folie, tout en anglais: (y'a sûrement pas mal de fautes et de mauvaises tournures, n'hésitez pas à me corriger)
"Reason"
Give and they will forget
Forgive and they will get
Take and they will claim
Forbid and they will have a new aim
When you see the becoming
Of my words sliding on my mouth
Only the death can be willing
To hear their squealing on my tooth
Youth is locked for poor adults fame
Noone's shocked to see you reign
As long as your throne is in the extrem climax of the middle
Of your own sin and your only fault of expecting of being loved
Love lent
For sexual rent
Let them die in your own mind disease
And crack your eyes of girls' fulfilled purposes
Trust in my faith to come and see
And I’ll trust in your lying
My reason to be
Is the reason of my being
Insight in your own depth
Climax of one more burst
The rocks of my generation
Prefers crash to roll and to have fun
Can’t hear this smash anymore
Can’t tell you my name
Fuck the aim
Kiss the remorse
Conceive the life without me
You've done it well until we met
Believe in others but not in me
You want it until being upset
The more you seduce
The less you reduce
The chance to not handle the future
The reasons’ feature
"Reason"
Give and they will forget
Forgive and they will get
Take and they will claim
Forbid and they will have a new aim
When you see the becoming
Of my words sliding on my mouth
Only the death can be willing
To hear their squealing on my tooth
Youth is locked for poor adults fame
Noone's shocked to see you reign
As long as your throne is in the extrem climax of the middle
Of your own sin and your only fault of expecting of being loved
Love lent
For sexual rent
Let them die in your own mind disease
And crack your eyes of girls' fulfilled purposes
Trust in my faith to come and see
And I’ll trust in your lying
My reason to be
Is the reason of my being
Insight in your own depth
Climax of one more burst
The rocks of my generation
Prefers crash to roll and to have fun
Can’t hear this smash anymore
Can’t tell you my name
Fuck the aim
Kiss the remorse
Conceive the life without me
You've done it well until we met
Believe in others but not in me
You want it until being upset
The more you seduce
The less you reduce
The chance to not handle the future
The reasons’ feature
Posté lundi 28 février 2005 à 01:47 (#130)
Allez hop, un ptit nouveau mais en français cette fois, y'a pas mal de jeux avec des expréssions que j'ai essayé de croisées et quelques métaphores; a vous de déceler tout ca et de me dire si ca vous a plût et/ou interressé. Bonne Lecture.
"Courant brisé"
Pourquoi tourner le dos au bonheur
Quand il nous fuit déjà bien assez
Pourquoi vouloir vivre avec ardeur
Alors qu'il n'y a personne pour nous allumer
Mes rêves m'ont abandonnés
Je n'ai même plus la nuit pour être consolé
Une simple peluche à cajoler
Pour absorber les larmes douces de mes pêchés
Sous nos pieds
Une mer trop salée
L'écume d'une rage inavouée
Le sabordage d'une galère menaçant de couler
Entre les draps
Partant et revenant
Je flotte puis me noie
Dans mes envies malmenés
Mon chagrin couleur d'airain
Emporté à l'horizon, si loin
Mon être damné
Pleure les larmes d'un acculé
Voyez la grandeur de l'ironie
Ces yeux qui n'ont cesser de te dévisager
Ne voit plus à cause de ton mépris
Et seront bientôt asséchées
Au coin de chacun une étendu sablé
Au milieu d'une flaque
D'huile non inflammable
Celle que l’on ne jette que sur les feux de l’or noir
L'océan ne se retire jamais
Il abandonne une rive pour une autre
Sacrifie mer et paires
Au profit d'un calme plat
Ma vie érémitique
Au sein de cette bulle hermétique
Que vous ne puissiez d’emblé
Souffler pour mieux éclater
"Courant brisé"
Pourquoi tourner le dos au bonheur
Quand il nous fuit déjà bien assez
Pourquoi vouloir vivre avec ardeur
Alors qu'il n'y a personne pour nous allumer
Mes rêves m'ont abandonnés
Je n'ai même plus la nuit pour être consolé
Une simple peluche à cajoler
Pour absorber les larmes douces de mes pêchés
Sous nos pieds
Une mer trop salée
L'écume d'une rage inavouée
Le sabordage d'une galère menaçant de couler
Entre les draps
Partant et revenant
Je flotte puis me noie
Dans mes envies malmenés
Mon chagrin couleur d'airain
Emporté à l'horizon, si loin
Mon être damné
Pleure les larmes d'un acculé
Voyez la grandeur de l'ironie
Ces yeux qui n'ont cesser de te dévisager
Ne voit plus à cause de ton mépris
Et seront bientôt asséchées
Au coin de chacun une étendu sablé
Au milieu d'une flaque
D'huile non inflammable
Celle que l’on ne jette que sur les feux de l’or noir
L'océan ne se retire jamais
Il abandonne une rive pour une autre
Sacrifie mer et paires
Au profit d'un calme plat
Ma vie érémitique
Au sein de cette bulle hermétique
Que vous ne puissiez d’emblé
Souffler pour mieux éclater
Posté mercredi 02 mars 2005 à 11:20 (#131)
Je suis passé dans la pièce à coté.
La mort n'est rien;Je suis simplement passé dans la pièce à coté.
Je suis moi. Tu est toi.
Ce que nous étions l'un pour l'autre nous le sommes toujours.
Donne moi le nom que tu m'as toujours donné.
Parle moi comme tu l'as toujours fait,n'emploie pas un ton différent.
Ne prends pas un ton solennel ou triste.
Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Prie,souris.Pense à moi;Prie pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l'a toujours été.
Sans emphase d'aucune sorte et sans trace d'ombre.
La vie signifie ce qu'elle a toujours signifié.
Elle reste ce qu'elle a toujours été,le fil n'est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de ta pensée;
Simplement parce que je suis hors de ta vue?
Je t'attends,je ne suis pas loin.
Juste de l'autre coté du chemin.
Tu vois, tout est bien.
La mort n'est rien;Je suis simplement passé dans la pièce à coté.
Je suis moi. Tu est toi.
Ce que nous étions l'un pour l'autre nous le sommes toujours.
Donne moi le nom que tu m'as toujours donné.
Parle moi comme tu l'as toujours fait,n'emploie pas un ton différent.
Ne prends pas un ton solennel ou triste.
Continue à rire de ce qui nous faisait rire ensemble.
Prie,souris.Pense à moi;Prie pour moi.
Que mon nom soit prononcé à la maison comme il l'a toujours été.
Sans emphase d'aucune sorte et sans trace d'ombre.
La vie signifie ce qu'elle a toujours signifié.
Elle reste ce qu'elle a toujours été,le fil n'est pas coupé.
Pourquoi serais-je hors de ta pensée;
Simplement parce que je suis hors de ta vue?
Je t'attends,je ne suis pas loin.
Juste de l'autre coté du chemin.
Tu vois, tout est bien.

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Posté mercredi 02 mars 2005 à 11:53 (#132)
exelent ton poeme raymi edogawa tu est douer franchement c est la class j aimerai pouvoir ecrire comme sa continu de nous gratifier des tes poemes se sera un plaisir de les lires.
Posté mercredi 02 mars 2005 à 13:26 (#133)
merci Gantz mais je tiens a signaler que celui ci est un cadeau d'une amie très chère avant son départ pour la piéce d'a coté
ça me fait plaisir de voir qu'il plait... J'avais le cafard aujourd'hui et je repensais a cette personne quand je me suis dit qu'il fallait que je lache ce texte sur le topic poéme....
Mélanie tu me manques si fort des fois ...
(désolé si je m'épanche un peu , ça sort tout seul...)

ça me fait plaisir de voir qu'il plait... J'avais le cafard aujourd'hui et je repensais a cette personne quand je me suis dit qu'il fallait que je lache ce texte sur le topic poéme....
Mélanie tu me manques si fort des fois ...
(désolé si je m'épanche un peu , ça sort tout seul...)

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Posté mercredi 02 mars 2005 à 16:05 (#134)
le corbeau et le renard (revu et corrigé..)
maitre karasu sur son post pérché
tenaint dans son bec un sondage
maintre kajika au flood alléché
lui teint a peu prés ce langage
hé bonsoir monsieur du karasu
que vous étés grand !que vous me semblez cocu!
sans mentir si votre écriture
se rapporte a votre stature
vous étes la carotte des hautes de ces sujets
a ces posts le modo ne sentait pas embété
et pour montrer sa belle page
ouvrit son bec et laissa tomber le sondage
kajika s'en saisit et dit :"mon bon baka
apprenez que tout lécheur de bottes
vit aux depends de celui qui le quote"
karasu honteux et confus
l'écriva dans les régles mais un peu tard
qu'on ne se moque pas des modérateurs
sans risquer le ban de la peur
drake du canard wc
maitre karasu sur son post pérché
tenaint dans son bec un sondage
maintre kajika au flood alléché
lui teint a peu prés ce langage
hé bonsoir monsieur du karasu
que vous étés grand !que vous me semblez cocu!
sans mentir si votre écriture
se rapporte a votre stature
vous étes la carotte des hautes de ces sujets
a ces posts le modo ne sentait pas embété
et pour montrer sa belle page
ouvrit son bec et laissa tomber le sondage
kajika s'en saisit et dit :"mon bon baka
apprenez que tout lécheur de bottes
vit aux depends de celui qui le quote"
karasu honteux et confus
l'écriva dans les régles mais un peu tard
qu'on ne se moque pas des modérateurs
sans risquer le ban de la peur
drake du canard wc


Posté vendredi 04 mars 2005 à 11:47 (#135)
C'est la période en ce moment , il fait tellement froid que je reste chez moi...Bon il ne me reste plus qu'a écrire un tcho poème dans la taverne...hum hum...
Ecrire :
"Toi,tu t'exprimes par la parole,les gestes,la séduction et meme la violence...
Moi,je m'exprime par l'écriture:les noms,les adjectifs,les guillemets,les virgules,les points rythment mes journées.
Et oui! Je me contente d'écrire,et meme je prends plaisir à ne rien vouloir dire.En agissant ainsi je me libère,me dévoile,et je suis libre:tu vois ,je suis autre...
Non pas la personne que tu vois tous les jours,mais le masque jeté,je deviens moi.
Et par ces quelques lignes,je voulais te faire connaitre mon MOI,ainsi que te dire humblement :Je t'aime."
Ecrire :
"Toi,tu t'exprimes par la parole,les gestes,la séduction et meme la violence...
Moi,je m'exprime par l'écriture:les noms,les adjectifs,les guillemets,les virgules,les points rythment mes journées.
Et oui! Je me contente d'écrire,et meme je prends plaisir à ne rien vouloir dire.En agissant ainsi je me libère,me dévoile,et je suis libre:tu vois ,je suis autre...
Non pas la personne que tu vois tous les jours,mais le masque jeté,je deviens moi.
Et par ces quelques lignes,je voulais te faire connaitre mon MOI,ainsi que te dire humblement :Je t'aime."

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