[quote name='Anothefan' date='18/03/2005 à 20:22'][quote name='eltran' date='18/03/2005 à 20:10'] Wanna il y a pas 2N? The yes need the no...
très bonne sign sinon

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Je confirme,faut 2 N
Sinon,juste parce que j'ose pas poster un topic pour ça(pas envie d'avoir un de mes topics à la poubelle),quelques trucs trouvés suite à une recherche sur une info des guignols(je dirais de quoi il s'agit si je la retrouve sur le net,en attendant ça peux n'avoir aucun point commun avec l'info en question):
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Ah j'ai retrouvé la phrase de JFR en angliche(je l'écris comme je veux,après tout après Raffarin personne le verra):
Sauf que là c'est moins bien parce que dans la VO,raffarin prononce le against comme un espèce de "hagen" avec l'accent allemand
Je propose que sadraven-sensei tente une traduction
EDIT:
[quote name='http://thebenitoreport.typepad.com']Ô le Bel Alexandrin de Raffarin
Sans le vouloir, Jean-Pierre Raffarin vient certainement de commettre sa plus belle raffarinade. Vendredi devant un parterre de jeunes du parti populaire européen il lâche : "Win the yes need the no to win against the no".
Mais la diction est maladroite. Alors, c'est l'allali. Il est hué, conspué le jour même par les Guignols de l'info et les journaux télévisés. Tel le barde gaulois du village d'Astérix, Jean-Pierre voute un peu plus les épaules et part, poète incompris, vers Matignon, sa cachette qui, comble du tragique est connue de tous.
Pauvre Jean-Pierre ! Pour tous, sa raffarinade a tourné à la marmelade. Pourtant Jean-Pierre vient de nous livrer un alexandrin des plus hugolien. Un vers poétique au sens noble du terme. Sa forme répond à son fond et cette alchimie du signifiant et du signifié transporte un véritable message. Clairement, cet alexandrin d'une maladroite beauté nous rappelle la complexité de la constitution européenne. Et la complexité du choix entre le oui et le non. L'emploi de la langue de Shakespeare joue aussi un rôle. C'est un appel de Jean-Pierre aux Anglais. Une supplique pour que nos ennemis d'hier intègrent complètement l'Europe. Enfin, choisir de lancer une raffarinade sous forme d'alexandrin montre que ce poète du Poitou-Charente a compris que la politique était aussi une affaire de souffle poétique.
Fin communiquant, il lache ce vers en plein Printemps des poètes. Jean-Pierre est toujours en phase avec l'actualité. Malheureusement notre barde inaugure en fait l'hiver du poète.[/quote]
Ce message a été modifié par Anothefan - dimanche 20 mars 2005 à 18:47.