Le croire et la non croyance sont cote à cote, l'une bave l'autre danse, elle bave et l'autre danse, la bave de l'une fait glisser la danse de l'autre vers la chute, la bave devient liquide de formation. Elle bave et l'autre chute, la chute est là, elle touche le sol, la bave touche la chute, la chute s'écrase dans la bave, la bave embrasse la chute de la non croyance. Arrive l'espoir, compromis mal dessiné dessin d'un dessiné sans traits. Le croire bave sur la chute de la non croyance, sans verguogne touchant la bave de tes doigts sales. L'espoir cour, le croire bave, la non croyance rampe. Il cour et renverse toute la bave qui embrasse la chute embrassant le sol se roulant dans la bave sans relève.
L'espoir part, la bave défaille, la chute agonise, meurt, et s'en vas. Scène 2: la bave est l'espoir d'une chute sans douleur provoqué par l'espoir amené par la haine. La haine arrive, elle marche. L'espoir cour, le croire bave, la non croyance s'en vas, la haine arrive et marche. Marche sur la bave du croire bousculé par la course de l'espoir, qui s'en va. La bave arrive enfin au sol et sèche lamentablement dans les pas de la chute du rampant du non croyant. La haine gagne, est seul, et reste. La bave s'en vas, l'espoir a fini de s'en aller.
La haine danse dans une course effreiné, freiné par les pas de la bave chutant sur les rampants de la non croyance, du non croyant, du non croyant pouvoir s'imposer. L'amour arrive, il vole. La haine marche, l'espoir meurt, le croire s'en va, la non croyance est morte, l'amour vole sur les pas d'un espoir défaillant et marchant dans les fonds du croire haineux. L'amour vole et emporte la haine, la haine chute et se prend dans les pas de l'espoir, du croire et de la non croyance. L'amour ressucite l'espoir, la non croyance tolère et est tolérée. L'amour aime, l'espoir fait espéré, la non croyance tolère. Ils dansent, bavent, courent et volent. Sont-ce heures heureuses d'un monde marchant dans les pas d'une course sans fin tributaire de la perfection. Le monde enfonce l'ame des 5 bavants, marchants, courants, volants, dansants en vain. Le monde enfonce, l'homme arrive. L'homme enfonce le monde enfoncant les 5 marchant pour une course sans fin et impossible.
L'homme défie le monde. L'amour, l'espoir, la haine, la non croyance, le croire meurent. L'homme tue, le monde enfoncé s'enfonçant sans fin filant vers le satin de l'infinie mort. Ultime souffle d'une nature morte, le monde pleure. L'homme grandi, vole, marche, court, danse, bave. La cage accueil les 5 et le monde. La cage. L'homme enfonce la cage. La cage est ingoré ignorant son destin, surement une fin fulgurante provoqué par la marche d'un homme grandissant. L'homme meurt, les 5 naissent, le monde n'est plus.
Scène 3: Le rien n'est pas et ne peut pas être. Il ère dans la langue, il naît mais n'est toujours pas puisqu'il n'est rien. Le rien rencontre le tout. Le rien voit le tout, le tout ne voit rien. Il vooit tout et ne voit pas le rien qui voit tout et pourtant de voit rien. Le rien n'est toujours pas mais il ne l'est pas il ne peut pas être. La marche infini du tout bouscule le rien. Le rien est bousculé. Le tout continu, le rien voi tout qui ne voi rien. Tout et Rien sont rien et tout au yeux de tout et rien. Le rien éxiste, il se nomera néant, le tout disparait, il se nomera vie.
Le monde est un tout de néant aliénant la vie rempli de rien aux yeux du tout universel.