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Inutile mais faut le dire
Posté samedi 02 octobre 2004 à 21:02 (#1276)
http://www.sharemangas.com/index.php?showto...ic=3104&st=1230
La suite...
Une fois les escalier gravis la station de métro débouchait sur un grand boulevard, ce même boulevard où défilaient les hordes de voitures et de camions. Sorti de cette station l’homme revenait à la vie, et tout en redécouvrant les plaisirs urbains il repensait aux tracas quotidien d’un travailleur moyen. Les voitures hurlaient, les routes libérait une odeur de goudron, l’homme lui avançait toujours. En ce matin de juin, ce boulevard embrasé par les carburants et les rayons du soleil fraîchement posés sur le sol, un homme avançait seul dans la rue, d’un manière si banal qu’il devenait sans le vouloir un de ces héros typique que l’on voit s’avancer sur les champs de bataille. Le monde autour de lui l’ignorai, il ignorait le monde. Sa vie était la sienne et la vie des autres ne l’intéressait pas, il ne devait pas s’en mêler. Lorsqu’il s’arrêta à un feu il en profita pour allumer une cigarette et la poser lentement entre ces lèvres gercées, comme si ce moment était pour lui le rituel de tous les matins. La ville une fois traversée, l’homme s’arrêta entre les deux ombres d’énormes peupliers. On pouvait alors l’apercevoir sous son chapeau noir. Il était pale, aussi pale que le jour. On ne distinguait pas bien la couleur de ses yeux, sans doutes étaient-ils noir, le noir lui aurait été en tout cas. Son visage été très efféminé, on aurait pu le prendre pour une femme s’il n’avait pas eu cette imposante masse musculaire. C’était un colosse au visage pale, portant du noir, ne se souciant pas de ce qui l’entourait. Il regardât autour de lui, comme s’il il cherchait quelque chose, mais mêler a cette curiosité il y avait de la méfiance, sans doute ne voulait-il pas qu’on le voit. Il repris son chemin, traversant les rues et les parcs comme si il n’avait pas eu de but en marchant dans cette ville. Mais c’est en s’arrêtant devant une grande porte de bois que son but était trouvé. Il devait sans doute avoir rendez-vous. L’immeuble dans le quel il était rentré semblait appartenir à une seule et même personne. Les vitres et rebords de fenêtres étaient décoré de la même manière, un style révolutionnaire datant des débuts de la république. La porte donnait cette effet de n’avoir jamais vieilli et pourtant elle était si vieille. Je me décidait enfin à entrer, l’homme en noir m’intriguait beaucoup. Je le suivait depuis une demie heure et pourtant il n’avait pas fait un seul arrête, pas un seul regard à une quelconque boutique. La vieille porte donnait sur un escalier du même age sans doute, mais moins bien conservé. Il n’y avait dans cette grande maison un seul étage. L’homme en noir avait sûrement du monter ces escaliers, on entendait des pas venant de l’unique étages d’au dessus. Les pas m’inquiétaient, ils étaient lourds mais agiles, ils accélérèrent d’un seul coups pour qu’enfin le vacarme s’acheva par un bruit sourd. Quelqu'un descendait. Mon instinct me poussa à me réfugié pour ne pas me faire voir. La vieille porte s’ouvra, puis se referma. Une fois sorti de mon abris je découvris des traces de sang sur le sol, puis sur les escaliers, aussi sur la rambarde. La peur m’envahissait petit à petit comme un serpent qui resserrait ses anneaux sur moi. Mes jambes tremblaient, je ne pouvait même plus contrôler mes mains. Le silence pesant qui venait d’en haut attisait ma peur et en même temps il réveillait en moi une curiosité malsaine. J’avançait en direction de la première marche, je posait ma première marche lorsqu’un liquide touchait mon front. C’était visqueux et chaud, c’était du sang. La curiosité pris le pas sur la peur, je dévalai les marches à une vitesse que je n’aurait jamais cru atteindre. L ‘étage du dessus était découpé en trois petites pièces. La première ne m’appris pas grand chose. C’est en ouvrant la porte de la deuxième pièce que je découvrait le cadavre de l’homme habitant la maisons, enfin je croyais. L’homme était encore en peignoir. Je lisait dans ces yeux une peur mille fois supérieur à la mienne, ses pupilles était si dilatées qu’elles ne formaient maintenant plus que deux points fixés vers le plafond. On devinait qu’il ne vivait plus, tellement de sang coulait que le sol n’avait pu contenir tout ce liquide. Son torse était ouvert, sans doute par une longue lame, et c’est la seule marque décelable sur son corps. Ce fut le seul coup qu’il reçu mais ça avait suffit à le tué et à verser tout le liquide qui parcourait ses veines. La vue de tant de sang me rendait malade. L’homme de la vieille maison était mort et l’homme que je devait suivre l’avait tué. Une affaire banale m’avait conduit à un meurtre. J’avait peur, peur, tellement peur de cette homme en noir qui avait traversé toute la ville pour tuer cet homme allongé devant moi et il avait disparu de la même manière, de cette façon naturelle qu’a un homme normal de se rendre à son travail.
La suite...
Une fois les escalier gravis la station de métro débouchait sur un grand boulevard, ce même boulevard où défilaient les hordes de voitures et de camions. Sorti de cette station l’homme revenait à la vie, et tout en redécouvrant les plaisirs urbains il repensait aux tracas quotidien d’un travailleur moyen. Les voitures hurlaient, les routes libérait une odeur de goudron, l’homme lui avançait toujours. En ce matin de juin, ce boulevard embrasé par les carburants et les rayons du soleil fraîchement posés sur le sol, un homme avançait seul dans la rue, d’un manière si banal qu’il devenait sans le vouloir un de ces héros typique que l’on voit s’avancer sur les champs de bataille. Le monde autour de lui l’ignorai, il ignorait le monde. Sa vie était la sienne et la vie des autres ne l’intéressait pas, il ne devait pas s’en mêler. Lorsqu’il s’arrêta à un feu il en profita pour allumer une cigarette et la poser lentement entre ces lèvres gercées, comme si ce moment était pour lui le rituel de tous les matins. La ville une fois traversée, l’homme s’arrêta entre les deux ombres d’énormes peupliers. On pouvait alors l’apercevoir sous son chapeau noir. Il était pale, aussi pale que le jour. On ne distinguait pas bien la couleur de ses yeux, sans doutes étaient-ils noir, le noir lui aurait été en tout cas. Son visage été très efféminé, on aurait pu le prendre pour une femme s’il n’avait pas eu cette imposante masse musculaire. C’était un colosse au visage pale, portant du noir, ne se souciant pas de ce qui l’entourait. Il regardât autour de lui, comme s’il il cherchait quelque chose, mais mêler a cette curiosité il y avait de la méfiance, sans doute ne voulait-il pas qu’on le voit. Il repris son chemin, traversant les rues et les parcs comme si il n’avait pas eu de but en marchant dans cette ville. Mais c’est en s’arrêtant devant une grande porte de bois que son but était trouvé. Il devait sans doute avoir rendez-vous. L’immeuble dans le quel il était rentré semblait appartenir à une seule et même personne. Les vitres et rebords de fenêtres étaient décoré de la même manière, un style révolutionnaire datant des débuts de la république. La porte donnait cette effet de n’avoir jamais vieilli et pourtant elle était si vieille. Je me décidait enfin à entrer, l’homme en noir m’intriguait beaucoup. Je le suivait depuis une demie heure et pourtant il n’avait pas fait un seul arrête, pas un seul regard à une quelconque boutique. La vieille porte donnait sur un escalier du même age sans doute, mais moins bien conservé. Il n’y avait dans cette grande maison un seul étage. L’homme en noir avait sûrement du monter ces escaliers, on entendait des pas venant de l’unique étages d’au dessus. Les pas m’inquiétaient, ils étaient lourds mais agiles, ils accélérèrent d’un seul coups pour qu’enfin le vacarme s’acheva par un bruit sourd. Quelqu'un descendait. Mon instinct me poussa à me réfugié pour ne pas me faire voir. La vieille porte s’ouvra, puis se referma. Une fois sorti de mon abris je découvris des traces de sang sur le sol, puis sur les escaliers, aussi sur la rambarde. La peur m’envahissait petit à petit comme un serpent qui resserrait ses anneaux sur moi. Mes jambes tremblaient, je ne pouvait même plus contrôler mes mains. Le silence pesant qui venait d’en haut attisait ma peur et en même temps il réveillait en moi une curiosité malsaine. J’avançait en direction de la première marche, je posait ma première marche lorsqu’un liquide touchait mon front. C’était visqueux et chaud, c’était du sang. La curiosité pris le pas sur la peur, je dévalai les marches à une vitesse que je n’aurait jamais cru atteindre. L ‘étage du dessus était découpé en trois petites pièces. La première ne m’appris pas grand chose. C’est en ouvrant la porte de la deuxième pièce que je découvrait le cadavre de l’homme habitant la maisons, enfin je croyais. L’homme était encore en peignoir. Je lisait dans ces yeux une peur mille fois supérieur à la mienne, ses pupilles était si dilatées qu’elles ne formaient maintenant plus que deux points fixés vers le plafond. On devinait qu’il ne vivait plus, tellement de sang coulait que le sol n’avait pu contenir tout ce liquide. Son torse était ouvert, sans doute par une longue lame, et c’est la seule marque décelable sur son corps. Ce fut le seul coup qu’il reçu mais ça avait suffit à le tué et à verser tout le liquide qui parcourait ses veines. La vue de tant de sang me rendait malade. L’homme de la vieille maison était mort et l’homme que je devait suivre l’avait tué. Une affaire banale m’avait conduit à un meurtre. J’avait peur, peur, tellement peur de cette homme en noir qui avait traversé toute la ville pour tuer cet homme allongé devant moi et il avait disparu de la même manière, de cette façon naturelle qu’a un homme normal de se rendre à son travail.

Posté dimanche 03 octobre 2004 à 02:54 (#1279)
E4Motion, le samedi 02 octobre 2004, 21:02, dit :
http://www.sharemangas.com/index.php?showto...ic=3104&st=1230
La suite...
Une fois les escalier gravis la station de métro débouchait sur un grand boulevard, ce même boulevard où défilaient les hordes de voitures et de camions. Sorti de cette station l’homme revenait à la vie, et tout en redécouvrant les plaisirs urbains il repensait aux tracas quotidien d’un travailleur moyen. Les voitures hurlaient, les routes libérait une odeur de goudron, l’homme lui avançait toujours. En ce matin de juin, ce boulevard embrasé par les carburants et les rayons du soleil fraîchement posés sur le sol, un homme avançait seul dans la rue, d’un manière si banal qu’il devenait sans le vouloir un de ces héros typique que l’on voit s’avancer sur les champs de bataille. Le monde autour de lui l’ignorai, il ignorait le monde. Sa vie était la sienne et la vie des autres ne l’intéressait pas, il ne devait pas s’en mêler. Lorsqu’il s’arrêta à un feu il en profita pour allumer une cigarette et la poser lentement entre ces lèvres gercées, comme si ce moment était pour lui le rituel de tous les matins. La ville une fois traversée, l’homme s’arrêta entre les deux ombres d’énormes peupliers. On pouvait alors l’apercevoir sous son chapeau noir. Il était pale, aussi pale que le jour. On ne distinguait pas bien la couleur de ses yeux, sans doutes étaient-ils noir, le noir lui aurait été en tout cas. Son visage été très efféminé, on aurait pu le prendre pour une femme s’il n’avait pas eu cette imposante masse musculaire. C’était un colosse au visage pale, portant du noir, ne se souciant pas de ce qui l’entourait. Il regardât autour de lui, comme s’il il cherchait quelque chose, mais mêler a cette curiosité il y avait de la méfiance, sans doute ne voulait-il pas qu’on le voit. Il repris son chemin, traversant les rues et les parcs comme si il n’avait pas eu de but en marchant dans cette ville. Mais c’est en s’arrêtant devant une grande porte de bois que son but était trouvé. Il devait sans doute avoir rendez-vous. L’immeuble dans le quel il était rentré semblait appartenir à une seule et même personne. Les vitres et rebords de fenêtres étaient décoré de la même manière, un style révolutionnaire datant des débuts de la république. La porte donnait cette effet de n’avoir jamais vieilli et pourtant elle était si vieille. Je me décidait enfin à entrer, l’homme en noir m’intriguait beaucoup. Je le suivait depuis une demie heure et pourtant il n’avait pas fait un seul arrête, pas un seul regard à une quelconque boutique. La vieille porte donnait sur un escalier du même age sans doute, mais moins bien conservé. Il n’y avait dans cette grande maison un seul étage. L’homme en noir avait sûrement du monter ces escaliers, on entendait des pas venant de l’unique étages d’au dessus. Les pas m’inquiétaient, ils étaient lourds mais agiles, ils accélérèrent d’un seul coups pour qu’enfin le vacarme s’acheva par un bruit sourd. Quelqu'un descendait. Mon instinct me poussa à me réfugié pour ne pas me faire voir. La vieille porte s’ouvra, puis se referma. Une fois sorti de mon abris je découvris des traces de sang sur le sol, puis sur les escaliers, aussi sur la rambarde. La peur m’envahissait petit à petit comme un serpent qui resserrait ses anneaux sur moi. Mes jambes tremblaient, je ne pouvait même plus contrôler mes mains. Le silence pesant qui venait d’en haut attisait ma peur et en même temps il réveillait en moi une curiosité malsaine. J’avançait en direction de la première marche, je posait ma première marche lorsqu’un liquide touchait mon front. C’était visqueux et chaud, c’était du sang. La curiosité pris le pas sur la peur, je dévalai les marches à une vitesse que je n’aurait jamais cru atteindre. L ‘étage du dessus était découpé en trois petites pièces. La première ne m’appris pas grand chose. C’est en ouvrant la porte de la deuxième pièce que je découvrait le cadavre de l’homme habitant la maisons, enfin je croyais. L’homme était encore en peignoir. Je lisait dans ces yeux une peur mille fois supérieur à la mienne, ses pupilles était si dilatées qu’elles ne formaient maintenant plus que deux points fixés vers le plafond. On devinait qu’il ne vivait plus, tellement de sang coulait que le sol n’avait pu contenir tout ce liquide. Son torse était ouvert, sans doute par une longue lame, et c’est la seule marque décelable sur son corps. Ce fut le seul coup qu’il reçu mais ça avait suffit à le tué et à verser tout le liquide qui parcourait ses veines. La vue de tant de sang me rendait malade. L’homme de la vieille maison était mort et l’homme que je devait suivre l’avait tué. Une affaire banale m’avait conduit à un meurtre. J’avait peur, peur, tellement peur de cette homme en noir qui avait traversé toute la ville pour tuer cet homme allongé devant moi et il avait disparu de la même manière, de cette façon naturelle qu’a un homme normal de se rendre à son travail.
La suite...
Une fois les escalier gravis la station de métro débouchait sur un grand boulevard, ce même boulevard où défilaient les hordes de voitures et de camions. Sorti de cette station l’homme revenait à la vie, et tout en redécouvrant les plaisirs urbains il repensait aux tracas quotidien d’un travailleur moyen. Les voitures hurlaient, les routes libérait une odeur de goudron, l’homme lui avançait toujours. En ce matin de juin, ce boulevard embrasé par les carburants et les rayons du soleil fraîchement posés sur le sol, un homme avançait seul dans la rue, d’un manière si banal qu’il devenait sans le vouloir un de ces héros typique que l’on voit s’avancer sur les champs de bataille. Le monde autour de lui l’ignorai, il ignorait le monde. Sa vie était la sienne et la vie des autres ne l’intéressait pas, il ne devait pas s’en mêler. Lorsqu’il s’arrêta à un feu il en profita pour allumer une cigarette et la poser lentement entre ces lèvres gercées, comme si ce moment était pour lui le rituel de tous les matins. La ville une fois traversée, l’homme s’arrêta entre les deux ombres d’énormes peupliers. On pouvait alors l’apercevoir sous son chapeau noir. Il était pale, aussi pale que le jour. On ne distinguait pas bien la couleur de ses yeux, sans doutes étaient-ils noir, le noir lui aurait été en tout cas. Son visage été très efféminé, on aurait pu le prendre pour une femme s’il n’avait pas eu cette imposante masse musculaire. C’était un colosse au visage pale, portant du noir, ne se souciant pas de ce qui l’entourait. Il regardât autour de lui, comme s’il il cherchait quelque chose, mais mêler a cette curiosité il y avait de la méfiance, sans doute ne voulait-il pas qu’on le voit. Il repris son chemin, traversant les rues et les parcs comme si il n’avait pas eu de but en marchant dans cette ville. Mais c’est en s’arrêtant devant une grande porte de bois que son but était trouvé. Il devait sans doute avoir rendez-vous. L’immeuble dans le quel il était rentré semblait appartenir à une seule et même personne. Les vitres et rebords de fenêtres étaient décoré de la même manière, un style révolutionnaire datant des débuts de la république. La porte donnait cette effet de n’avoir jamais vieilli et pourtant elle était si vieille. Je me décidait enfin à entrer, l’homme en noir m’intriguait beaucoup. Je le suivait depuis une demie heure et pourtant il n’avait pas fait un seul arrête, pas un seul regard à une quelconque boutique. La vieille porte donnait sur un escalier du même age sans doute, mais moins bien conservé. Il n’y avait dans cette grande maison un seul étage. L’homme en noir avait sûrement du monter ces escaliers, on entendait des pas venant de l’unique étages d’au dessus. Les pas m’inquiétaient, ils étaient lourds mais agiles, ils accélérèrent d’un seul coups pour qu’enfin le vacarme s’acheva par un bruit sourd. Quelqu'un descendait. Mon instinct me poussa à me réfugié pour ne pas me faire voir. La vieille porte s’ouvra, puis se referma. Une fois sorti de mon abris je découvris des traces de sang sur le sol, puis sur les escaliers, aussi sur la rambarde. La peur m’envahissait petit à petit comme un serpent qui resserrait ses anneaux sur moi. Mes jambes tremblaient, je ne pouvait même plus contrôler mes mains. Le silence pesant qui venait d’en haut attisait ma peur et en même temps il réveillait en moi une curiosité malsaine. J’avançait en direction de la première marche, je posait ma première marche lorsqu’un liquide touchait mon front. C’était visqueux et chaud, c’était du sang. La curiosité pris le pas sur la peur, je dévalai les marches à une vitesse que je n’aurait jamais cru atteindre. L ‘étage du dessus était découpé en trois petites pièces. La première ne m’appris pas grand chose. C’est en ouvrant la porte de la deuxième pièce que je découvrait le cadavre de l’homme habitant la maisons, enfin je croyais. L’homme était encore en peignoir. Je lisait dans ces yeux une peur mille fois supérieur à la mienne, ses pupilles était si dilatées qu’elles ne formaient maintenant plus que deux points fixés vers le plafond. On devinait qu’il ne vivait plus, tellement de sang coulait que le sol n’avait pu contenir tout ce liquide. Son torse était ouvert, sans doute par une longue lame, et c’est la seule marque décelable sur son corps. Ce fut le seul coup qu’il reçu mais ça avait suffit à le tué et à verser tout le liquide qui parcourait ses veines. La vue de tant de sang me rendait malade. L’homme de la vieille maison était mort et l’homme que je devait suivre l’avait tué. Une affaire banale m’avait conduit à un meurtre. J’avait peur, peur, tellement peur de cette homme en noir qui avait traversé toute la ville pour tuer cet homme allongé devant moi et il avait disparu de la même manière, de cette façon naturelle qu’a un homme normal de se rendre à son travail.
tien j'avais mis un topic pour ca juste la

pascenter http://marmot.gruk.o...&P=sadraven.png pascenter^^
mon blog
ta le potentiel alors ecoute moi et t'avancera moins loin, donc tu seras moins fatigué^^
alors que si tu les ecoutes tu ira loin, et tu sera fatigué^^
Posté dimanche 03 octobre 2004 à 09:22 (#1280)
ah ouai bah je croyai au départ que c'était une sorte de cadavre esqui adapté aux nouvelles. Bon et puis on est dans l'unitile ^^
Donc mon post s'avère inutile <_<
Donc mon post s'avère inutile <_<

Posté dimanche 03 octobre 2004 à 17:09 (#1281)
Mddrrr ouais ! Un peu comme le mien si je l'arrêtai la quoi !
( Mais malheureusement je suis lâche , et je lui donne une dimension en plus en rajoutant que j'adore le nouvel avatar de boulayman ! Enfin il est peut être pas si nouveau que ca vu que ca fsait un moment kj'etais pas vnue en fait
)

( Mais malheureusement je suis lâche , et je lui donne une dimension en plus en rajoutant que j'adore le nouvel avatar de boulayman ! Enfin il est peut être pas si nouveau que ca vu que ca fsait un moment kj'etais pas vnue en fait


Ext le naïf dit :
mais dis donc, Minnie. tu ne serais pas un peu morfale, par hasard ?!

Posté dimanche 03 octobre 2004 à 17:38 (#1282)
Le problème avec une signature comme la mienne, c'est qu'on a plus le droit d'écrire des conneries.


Posté dimanche 03 octobre 2004 à 18:01 (#1283)
je me suis fait piquer par une araignée au visage
et j'ai aussi bouffer des framboises, yeah!!!!!!!!!!!!!!
c'était mon ptit passage mensuel dans l'inutilité^^

et j'ai aussi bouffer des framboises, yeah!!!!!!!!!!!!!!
c'était mon ptit passage mensuel dans l'inutilité^^

Venez nous rendre visite sur #Anime-Haikyu-Tai@irc.dreams-fr.net
Posté dimanche 03 octobre 2004 à 18:30 (#1284)
Citation
je me suis fait piquer par une araignée au visage
La photo de la piqure ! On veut la photo de la piqure !
Edit: lol bien vu, e4motion et très sympa ton fond d'ecran de Sieur Freeman.

Proud to be a fan of Kuroi Neko
ENCORE Un grand merci a Gigueur pour cette nouvelle signature
"Each night, when I go to bed, I die. And the next morning when I wake up, I am reborn." Ghandi
Posté dimanche 03 octobre 2004 à 19:13 (#1285)
Vous ne le saviez pas !
Windows XP dans sa vraie nature !
Windows XP dans sa vraie nature !


Posté dimanche 03 octobre 2004 à 21:43 (#1286)
Putain je reprends le taff demain !



http://www.japonfacile.com/
Japon Facile - Site de photos, vidéos et infos sur le Japon & Blog sur l'actu japonaise
Posté dimanche 03 octobre 2004 à 22:26 (#1287)
Eh bien moi j'arrête le taff mercredi, je vais partir dans le farwest!
Sérieusement, je vais plutôt rester dans la région, m'offrir du repos, et ne souhaite plus jamais ( bien qu'il ne le faut jamais dire) bosser en horaires d'équipes.
Je vous le dit, ça de quoi vous rendre dingue!

Sérieusement, je vais plutôt rester dans la région, m'offrir du repos, et ne souhaite plus jamais ( bien qu'il ne le faut jamais dire) bosser en horaires d'équipes.

Je vous le dit, ça de quoi vous rendre dingue!


Posté dimanche 03 octobre 2004 à 22:27 (#1288)
Mmddrr excellent E4motion !!!
Junta ... ca va aller ... on a tous des moments durs à passer ... mais je sais que tu saura faire face à la situation ... enfin tout ca pour dire que jreprends le 18 koi
!!!!
Et maintenant ... que deviennent , que deviennent les valses de Vienne ???

Junta ... ca va aller ... on a tous des moments durs à passer ... mais je sais que tu saura faire face à la situation ... enfin tout ca pour dire que jreprends le 18 koi

Et maintenant ... que deviennent , que deviennent les valses de Vienne ???


Ext le naïf dit :
mais dis donc, Minnie. tu ne serais pas un peu morfale, par hasard ?!

Posté dimanche 03 octobre 2004 à 23:43 (#1289)
J'ai pensé à une nouvelle signature, mais je vais demander à la demoiselle avant :
Roooh Izou , pas d'ça entre nous jt'en prie !!!
J'adore les phrases sorties de leur contexte.
Minnie Mey, le dimanche 03 octobre 2004, 23:41, dit :

J'adore les phrases sorties de leur contexte.


Posté lundi 04 octobre 2004 à 08:25 (#1290)
Et me revoilà après deux jours de boulot assidu....
Et la rentrée, c'est mercredi...
Bof...
Et la rentrée, c'est mercredi...
Bof...
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