Le poème de Junta me laisse rêveur et dans ce rêve je trouve Celas Victoria...
En sa présence le firmament palit
Captivés par sa beauté, les astres à sa suite font cohorte
Làs ! Celle qui de mon coeur a su trouver la porte
est aussi celle qui l'a noyé sous une infinie mélancolie
Je puise jour après jour
mon souffle dans ses sourrires
ma peine dans ses soupirs
Si seulement jour pouvait être toujours
Dans ce rêve sans nul pareil
Ses couleurs font rougir l'arc en ciel
Sa voix est plus douce que le miel
Son sourrire éclipse le soleil
Son regard dont découle mon bonheur
transperce d'un trait les ténèbres de mon âme
Y apporte la beauté de cette unique femme
Et la lumière triomphe de ma triste humeur
Merci,ô merci ange de beauté
d'avoir posé tes ailes avec tant de délicatesse
Et de faire de mon existence une vie d'allégresse
Puisque de toi je me sais accompagné
C'est qd même mon 3eme poème sur Celas ( sans compter le petit jeu sur son pseudo ), je crois que je vais arrêter là, vu qu'il n'y a pas la moindre réaction de sa part...