Ashtaka, le 17/08/2008 à 00:07, dit :
Le boulot de l'éditeur c'est justement de savoir sélectionner les œuvres présentant un potentiel commercial... eux semblaient plus chercher à inonder le marché en proposant tout et n'importe quoi (dénichant une ou deux perles par coup de bol). Résultat, au lieu de se concentrer sur quelques titres à succès, ils se sont éparpillés en publiant des séries mauvaises ou médiocres qui ne se sont jamais vendues... et des invendus c'est de la perte sèche pour l'éditeur. Ajouter un déficit en terme d'image assez flagrant tant auprès des lecteurs (avec l'arrêt brusque de séries) et des ayant droit (avec de gros soucis pour la négociation des droits). En gros, éditeur c'est un métier ... >_<
Citation
Cela fait quelques temps qu’on sait que le manga Tonari no 801-chan sera mais le studio qui s’en occupe restait encore inconnu à ce jour. C’est en fait le studio Kyoto Animation qui se chargera de cette adaptation prévue pour 2009. L’oeuvre originale est à la base un 4koma publié sur un blog relatant la vie d’une fan de yaoi et de son petit ami otaku. Ohzora Publishing publia le manga en deux volumes, 320000 exemplaires ont été écoulés. D’autres adaptations ont vu le jour avec un drama et une série dérivée sous forme de manga shoujo.
801-chan est une mascotte du centre commercial Misono Bridge 801 situé dans le nord de Kyoto, les chiffres 8-0-1 peuvent se lire “ya-o-i” en japonais, ce qui a fait que cette étrange mascotte est devenue populaire sur internet.
Ce nouveau projet un peu inattendu de la part de KyoAni (on s’attendait encore à du Key) efface tout espoir de voir une seconde série Haruhi ou une nouvelle série Full Metal Panic! dans les mois qui viennent.
Étonnant tout ça... vu son succès, je m'attendais pas à voir une seconde saison d'Harui repoussée (idem pour FMP qui est apparemment un licence à succés également)... enfin visiblement, Tonari no 801-chan semble soutenir la comparaison en terme de popularité au Japon. Plus qu'à attendre les confirmations officielles... mais j'avoue que la nouvelle ne m'enchante pas des masses.
