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Le gouvernement veut contrôler internet
Posté vendredi 30 avril 2010 à 09:12 (#261)
http://www.korben.info/bluebear-bittorrent-p2p-inria.html
Bon ben, si Hadopi met la main là dessus...
Bon ben, si Hadopi met la main là dessus...
Posté vendredi 30 avril 2010 à 09:38 (#262)
Jojo, le 30/04/2010 à 10:12, dit :
http://www.korben.info/bluebear-bittorrent-p2p-inria.html
Bon ben, si Hadopi met la main là dessus...
Bon ben, si Hadopi met la main là dessus...
BT tombera t'il avant la mule ?
Qui sait le forum a peut être encore de beaux jours XD
/me touche plein de bois autour de lui ^^


Posté vendredi 30 avril 2010 à 11:57 (#263)
Lol dans un sens.
Inquiétant dans un autre, mais inévitable (l'éternelle course pirate vs police ^^).
Mais bon vu le niveau d'Hadopi y'a de la marge.
Ceci étant, Euh... mdr !
Inquiétant dans un autre, mais inévitable (l'éternelle course pirate vs police ^^).
Mais bon vu le niveau d'Hadopi y'a de la marge.

Ceci étant,
Citation
BlueBear est capable de trouver la véritable adresse IP d’un ordinateur connecté à un tracker via TOR. Comment ? Et bien il faut savoir que la techno DHT qui permet de mettre en relation les pairs sur bittorrent utilise le protocole UDP. Et malheureusement pour les pirates, UDP n’est pas un protocole relayé par TOR.

http://www.japonfacile.com/
Japon Facile - Site de photos, vidéos et infos sur le Japon & Blog sur l'actu japonaise
Posté mardi 18 mai 2010 à 18:31 (#264)
Citation
Et le nouvel hébergeur de The Pirate Bay est.... le Parti Pirate suédois !
Nous vous disions plus tôt ce mardi que The Pirate Bay était de nouveau de retour en ligne, après une courte interruption de programme, due à un très inefficace harcèlement judiciaire qu'exerce la MPAA contre les hébergeurs du site de liens BitTorrent. Nous disions aussi que le nouvel hébergeur n'était pas encore connu. Depuis, il l'est, et c'est une surprise qui pourrait devenir un véritable casse-tête pour les ayants droit.
En effet, TorrentFreak rapporte que le nouvel hébergeur de The Pirate Bay n'est autre que le Parti Pirate Suédois, historiquement très proche des fondateurs du site pirate. La nouvelle a été officialisée dans l'après-midi par Rick Falkvinge, le porte-parole du PiratPartiet. "Aujourd'hui, le 18 mai, le Parti Pirate Suédois a pris en charge la livraison de bande passante à The Pirate Bay", écrit-il dans un communiqué.
"Il est temps de prendre le taureau par les cornes et de se dresser pour défendre ce que nous pensons être une activité légitime", ajoute Falkvinge, qui dit le Parti Pirate "fatigué du jeu du chat et de la souris d'Hollywood avec The Pirate Bay". "The Pirate Bay est un site de recherche, et en tant que tel n'est pas responsable des résultats (qui apparaissent)", défend-t-il.
Au delà de l'anecdote, le choix du Parti Pirate comme hébergeur n'est pas innocent dans le calcul médiatique et politique que livrent les deux partenaires. Personne n'a oublié en Suède que l'eurodéputé pirate Christian Engström a été élu au Parlement Européen il y a un an an. Or son élection s'est faite en grande partie grâce à l'extraordinaire mouvement populaire qui s'est fédéré autour du Parti Pirate au moment du procès de The Pirate Bay.
S'il était à son tour menacé par le même type d'injonctions qu'a reçu l'hébergeur CyberBunker, à qui les ayants droit réclamaient 250.000 euros par infraction aux droits d'auteur dont il était jugé complice, le Parti Pirate Suédois ne plierait pas. Il en ferait au contraire un combat médiatique de premier plan, dans la perspective des élections qui se profilent à la rentrée.
La MPAA voudrait-elle vraiment risquer de donner du poids au Parti Pirate pour obtenir une énième victoire judiciaire sans aucun effet concret pour The Pirate Bay ?
Source : Numerama.com
Nous vous disions plus tôt ce mardi que The Pirate Bay était de nouveau de retour en ligne, après une courte interruption de programme, due à un très inefficace harcèlement judiciaire qu'exerce la MPAA contre les hébergeurs du site de liens BitTorrent. Nous disions aussi que le nouvel hébergeur n'était pas encore connu. Depuis, il l'est, et c'est une surprise qui pourrait devenir un véritable casse-tête pour les ayants droit.
En effet, TorrentFreak rapporte que le nouvel hébergeur de The Pirate Bay n'est autre que le Parti Pirate Suédois, historiquement très proche des fondateurs du site pirate. La nouvelle a été officialisée dans l'après-midi par Rick Falkvinge, le porte-parole du PiratPartiet. "Aujourd'hui, le 18 mai, le Parti Pirate Suédois a pris en charge la livraison de bande passante à The Pirate Bay", écrit-il dans un communiqué.
"Il est temps de prendre le taureau par les cornes et de se dresser pour défendre ce que nous pensons être une activité légitime", ajoute Falkvinge, qui dit le Parti Pirate "fatigué du jeu du chat et de la souris d'Hollywood avec The Pirate Bay". "The Pirate Bay est un site de recherche, et en tant que tel n'est pas responsable des résultats (qui apparaissent)", défend-t-il.
Au delà de l'anecdote, le choix du Parti Pirate comme hébergeur n'est pas innocent dans le calcul médiatique et politique que livrent les deux partenaires. Personne n'a oublié en Suède que l'eurodéputé pirate Christian Engström a été élu au Parlement Européen il y a un an an. Or son élection s'est faite en grande partie grâce à l'extraordinaire mouvement populaire qui s'est fédéré autour du Parti Pirate au moment du procès de The Pirate Bay.
S'il était à son tour menacé par le même type d'injonctions qu'a reçu l'hébergeur CyberBunker, à qui les ayants droit réclamaient 250.000 euros par infraction aux droits d'auteur dont il était jugé complice, le Parti Pirate Suédois ne plierait pas. Il en ferait au contraire un combat médiatique de premier plan, dans la perspective des élections qui se profilent à la rentrée.
La MPAA voudrait-elle vraiment risquer de donner du poids au Parti Pirate pour obtenir une énième victoire judiciaire sans aucun effet concret pour The Pirate Bay ?
Source : Numerama.com
Un mec de Numerama a mis cette image en commentaires et je trouve que ça colle parfaitement



Tentai Senshi Sunred : Complet [Shinrei], Higepiyo : Complet [FLA], Saki : Complet [T-F],
Oruchuban Ebichu : Complet [Zeu$-Team], Pani Poni Dash : 1 à 11 [Rey-T], Giant Killing : 1 à 26 [MJF]
Posté lundi 14 juin 2010 à 06:50 (#265)
Petite news en deux étapes sur le FAIL du week-end :
http://www.korben.info/allez-venez-on-va-s...ore-un-peu.html
Et le FAIL :
http://www.korben.info/si-vous-etes-abonne...eseaux-p2p.html
http://www.korben.info/allez-venez-on-va-s...ore-un-peu.html
Citation
Enfin, je suis mauvaise langue parce que le FAI Orange, qui a toujours une longueur d’avance sur les innovations innovantes vient de sortir un formidable outil baptisé le « Contrôle du Téléchargement d’Orange » et qui permet je cite :
« …de contrôler vos ordinateurs connectés à internet contre des usages de téléchargement illégaux en peer-to-peer. »
WTF?
On est sauvé alors ? Et bien pas tout à fait car en plus de nous prendre tous pour des cibles avec cette collecte d’adresse IP à l’aveuglette, on va aussi vous prendre vos sous… Oui, car Orange fait payer ce soft 2 euros par mois…
« …de contrôler vos ordinateurs connectés à internet contre des usages de téléchargement illégaux en peer-to-peer. »
WTF?
On est sauvé alors ? Et bien pas tout à fait car en plus de nous prendre tous pour des cibles avec cette collecte d’adresse IP à l’aveuglette, on va aussi vous prendre vos sous… Oui, car Orange fait payer ce soft 2 euros par mois…
Et le FAIL :
http://www.korben.info/si-vous-etes-abonne...eseaux-p2p.html
Citation
Vous vous souvenez de mon article au sujet du logiciel de « Contrôle des téléchargements » du FAI Orange ? Et bien l’ami Bluetouff a fait une découverte assez énorme ce week end… Il a sniffé les sorties du logiciel d’Orange, a localisé l’adresse IP d’un serveur JBoss et a pu carrément accéder à la liste des adresses IP des gens qui ont installé ce logiciel et qui l’utilisent.
Posté dimanche 20 juin 2010 à 19:57 (#266)
Hadopi : face à la polémique Orange supprime son logiciel anti-P2P dit :
Sécurité - Moins d’une semaine après son lancement, le Contrôle de téléchargement est retiré de la vente. Sa possible filiation à Hadopi et de multiples défauts de sécurité ont eu raison de la solution d’Orange. Retour sur un feuilleton qui laissera des traces chez Orange.
Orange et les internautes se souviendront de cette semaine. Pas un jour ne s'est passé sans que le Contrôle de téléchargement, la solution pour empêcher le lancement de logiciels peer-to-peer à deux euros par mois d'Orange, n'ait fait polémique.
Dernier épisode en date, face à la polémique, l'outil a été retiré mercredi après la mise au jour de failles critiques dans sa gestion des mots de passe et des mises à jour.
Mis en ligne jeudi 10 juin, il a été mis en cause dès le lendemain pour sa filiation avec Hadopi, qu'Orange nous confirmait alors. Il devait rassurer les parents et personnes ayant déjà reçu un avertissement d'Hadopi en bloquant les échanges P2P.
Le week end suivant, des internautes ont pu remonter jusqu'au serveur central du dispositif en y découvrant les adresses IP des clients, protégées par un mot de passe par défaut et rapidement mises à disposition sur d'autres sites.
Plus d'Hadopi mais des failles
Lundi 14 juin, rétropédalage : selon Orange, le logiciel n'a rien à voir avec Hadopi, malgré des mentions très claires dans son code. Il ne s'adresserait d'ailleurs plus qu'aux personnes inquiètes, parents en tête.
Pour le FAI, les adresses IP ont été récupérées suite à « une intrusion informatique » et ne « représentaient pas de risque pour nos abonnés », justifiant en partie la négligence vis-à-vis de leur protection.
Mardi, la liste Full Disclosure, spécialisée en sécurité informatique, a révélé que le Contrôle de téléchargement pouvait permettre à un compte utilisateur classique d'obtenir des droits supérieurs à l'administrateur. Dommage !
Complété par un système de mot de passe contournable et des mises à jour aux signatures falsifiables, il était possible d'injecter du code malveillant qui transformerait le client en ordinateur zombie.
Le Contrôle de téléchargement pourrait ainsi servir de vecteur pour la création d'un réseau botnet. Un comble pour un outil destiné à lutter contre le piratage.
Enfin, mercredi, Orange supprime sans préavis le logiciel de son site. Dans une interview accordée au site Owni, le FAI affirme ne pas vouloir reproposer de solution équivalente. Il attribue en partie son échec à l'attrait qu'ont « les hackers » pour tout ce qui touche à Hadopi.
La prochaine étape pour le FAI sera sûrement la mise à disposition d'un logiciel labellisé répondant au futur cahier des charges de la Hadopi. Un logiciel qui sera, gageons-le, plus sûr que celui proposé cette semaine.
Orange et les internautes se souviendront de cette semaine. Pas un jour ne s'est passé sans que le Contrôle de téléchargement, la solution pour empêcher le lancement de logiciels peer-to-peer à deux euros par mois d'Orange, n'ait fait polémique.
Dernier épisode en date, face à la polémique, l'outil a été retiré mercredi après la mise au jour de failles critiques dans sa gestion des mots de passe et des mises à jour.
Mis en ligne jeudi 10 juin, il a été mis en cause dès le lendemain pour sa filiation avec Hadopi, qu'Orange nous confirmait alors. Il devait rassurer les parents et personnes ayant déjà reçu un avertissement d'Hadopi en bloquant les échanges P2P.
Le week end suivant, des internautes ont pu remonter jusqu'au serveur central du dispositif en y découvrant les adresses IP des clients, protégées par un mot de passe par défaut et rapidement mises à disposition sur d'autres sites.
Plus d'Hadopi mais des failles
Lundi 14 juin, rétropédalage : selon Orange, le logiciel n'a rien à voir avec Hadopi, malgré des mentions très claires dans son code. Il ne s'adresserait d'ailleurs plus qu'aux personnes inquiètes, parents en tête.
Pour le FAI, les adresses IP ont été récupérées suite à « une intrusion informatique » et ne « représentaient pas de risque pour nos abonnés », justifiant en partie la négligence vis-à-vis de leur protection.
Mardi, la liste Full Disclosure, spécialisée en sécurité informatique, a révélé que le Contrôle de téléchargement pouvait permettre à un compte utilisateur classique d'obtenir des droits supérieurs à l'administrateur. Dommage !
Complété par un système de mot de passe contournable et des mises à jour aux signatures falsifiables, il était possible d'injecter du code malveillant qui transformerait le client en ordinateur zombie.
Le Contrôle de téléchargement pourrait ainsi servir de vecteur pour la création d'un réseau botnet. Un comble pour un outil destiné à lutter contre le piratage.
Enfin, mercredi, Orange supprime sans préavis le logiciel de son site. Dans une interview accordée au site Owni, le FAI affirme ne pas vouloir reproposer de solution équivalente. Il attribue en partie son échec à l'attrait qu'ont « les hackers » pour tout ce qui touche à Hadopi.
La prochaine étape pour le FAI sera sûrement la mise à disposition d'un logiciel labellisé répondant au futur cahier des charges de la Hadopi. Un logiciel qui sera, gageons-le, plus sûr que celui proposé cette semaine.
Lol.Juste lol.
Posté dimanche 20 juin 2010 à 21:07 (#267)
Bonsoir les gens, les plus vieux se souviendront de moi (je vous ai un peu abandonné depuis le temps, mes études ayant vachement pris le pas sur toutes mes autres activités, pour en réalité les remplacer complètement... et c'est pas fini vu que mon internat commence l'an prochain et on me promet en chirurgie 90h/semaines)
Bref je vous écrit pour savoir un peu ce que vous pensez de la mise en place de la Hadopi...
J'ai entendu parler de solution de P2P chiffré, notament via Imule :
"iMule est le pendant anonyme du célèbre logiciel de partage de fichiers eMule.
iMule a pour particularité d'intégrer la prise en charge du réseau Invisible Internet Project, une couche logicielle que l'on peut en théorie ajouter à n'importe quel logiciel de communication, et qui remplace les adresses IP par des identifiants cryptés. Comme eMule, le réseau I2P utilise le protocole Kademlia pour décentraliser les échanges.
Très simple d'utilisation, il suffit de lancer l'installation pour retrouver une interface proche de celle d'eMule avec peu de choses à configurer. Les liens habituels de type ed2k continuent à fonctionner.
Notons enfin que iMule est disponible en français depuis la version 1.4 et que la communauté (notamment française) est très active au niveau développement car régulièrement mis à jour, ainsi qu'en contenu.
Sa vitesse, tout à fait acceptable pour un logiciel sécurisé, en fait un logiciel doté d'un avenir très prometteur."
Le tuto complet pour l'installer : http://i-argent.fr/imule.html
les anciens lien EDK doivent marcher d'après eux.
mais a partir de là, je vous demande votre avis.
Bref je vous écrit pour savoir un peu ce que vous pensez de la mise en place de la Hadopi...
J'ai entendu parler de solution de P2P chiffré, notament via Imule :
"iMule est le pendant anonyme du célèbre logiciel de partage de fichiers eMule.
iMule a pour particularité d'intégrer la prise en charge du réseau Invisible Internet Project, une couche logicielle que l'on peut en théorie ajouter à n'importe quel logiciel de communication, et qui remplace les adresses IP par des identifiants cryptés. Comme eMule, le réseau I2P utilise le protocole Kademlia pour décentraliser les échanges.
Très simple d'utilisation, il suffit de lancer l'installation pour retrouver une interface proche de celle d'eMule avec peu de choses à configurer. Les liens habituels de type ed2k continuent à fonctionner.
Notons enfin que iMule est disponible en français depuis la version 1.4 et que la communauté (notamment française) est très active au niveau développement car régulièrement mis à jour, ainsi qu'en contenu.
Sa vitesse, tout à fait acceptable pour un logiciel sécurisé, en fait un logiciel doté d'un avenir très prometteur."
Le tuto complet pour l'installer : http://i-argent.fr/imule.html
les anciens lien EDK doivent marcher d'après eux.
mais a partir de là, je vous demande votre avis.

Posté dimanche 20 juin 2010 à 21:26 (#268)
Oh pinaise un revenant
... Ca doit bien faire 3 ans que Santa Claus n'a plus posté...
Welcome back, même si ce n'est que temporaire

Welcome back, même si ce n'est que temporaire

"Si ce que tu as à dire n'est pas plus beau que le silence, tais toi."
Posté dimanche 20 juin 2010 à 21:36 (#269)
Bha wai, faut dire que j'ai été obligé de vachement lacher le clavier... (après jme plains pas hein ! j'adore ce que je fais !!!)
Bon revenons à Imule je suis en train de faire les installations là...
Bon revenons à Imule je suis en train de faire les installations là...

Posté dimanche 20 juin 2010 à 21:44 (#270)
J'ai testé l'année dernière sur Linux.
Effectivement, ça permettrait un passage en douceur de emule vers un "emule cryptée".
D'un coté on a bien la compatibilité avec les liens edonkey. Ca, c'est le point positif.
Les points négatifs:
iMule est un fork de aMule (le clone d'eMule pour unix et mac). Problème, aucun mods d'eMule n'est supporté. Du moins pas à court terme.
L'installation n'est pas encore à la portée d'un utilisateur normal. Il faut un peu mettre les mains dans le cambouis, surtout pour la partie i2p.
C'est long, voir très long au démarrage. Mais ceci est inhérent à l'architecture décentralisé de I2P.
Il n'y a pas encore la masse critique d'utilisateurs suffisante pour égaler la "vitesse" et la convivialité du couple eMule / eDonkey.
Bref, je pense qu'une fois que le besoins d'anonymats se fera pressant, iMule + I2P montera en puissance afin de gagner la facilité d'installation et d'utilisation requise pour que monsieur tout le monde s'y mette. Et une fois que le gros des troupes aura migré vers cette solution, la compatibilité des liens eDonkey fera le reste.
Effectivement, ça permettrait un passage en douceur de emule vers un "emule cryptée".
D'un coté on a bien la compatibilité avec les liens edonkey. Ca, c'est le point positif.
Les points négatifs:




Bref, je pense qu'une fois que le besoins d'anonymats se fera pressant, iMule + I2P montera en puissance afin de gagner la facilité d'installation et d'utilisation requise pour que monsieur tout le monde s'y mette. Et une fois que le gros des troupes aura migré vers cette solution, la compatibilité des liens eDonkey fera le reste.
Posté dimanche 20 juin 2010 à 22:05 (#271)
cerber, le 20/06/2010 à 21:44, dit :
J'ai testé l'année dernière sur Linux.
Effectivement, ça permettrait un passage en douceur de emule vers un "emule cryptée".
D'un coté on a bien la compatibilité avec les liens edonkey. Ca, c'est le point positif.
Les points négatifs:
iMule est un fork de aMule (le clone d'eMule pour unix et mac). Problème, aucun mods d'eMule n'est supporté. Du moins pas à court terme.
L'installation n'est pas encore à la portée d'un utilisateur normal. Il faut un peu mettre les mains dans le cambouis, surtout pour la partie i2p.
C'est long, voir très long au démarrage. Mais ceci est inhérent à l'architecture décentralisé de I2P.
Il n'y a pas encore la masse critique d'utilisateurs suffisante pour égaler la "vitesse" et la convivialité du couple eMule / eDonkey.
Bref, je pense qu'une fois que le besoins d'anonymats se fera pressant, iMule + I2P montera en puissance afin de gagner la facilité d'installation et d'utilisation requise pour que monsieur tout le monde s'y mette. Et une fois que le gros des troupes aura migré vers cette solution, la compatibilité des liens eDonkey fera le reste.
Effectivement, ça permettrait un passage en douceur de emule vers un "emule cryptée".
D'un coté on a bien la compatibilité avec les liens edonkey. Ca, c'est le point positif.
Les points négatifs:




Bref, je pense qu'une fois que le besoins d'anonymats se fera pressant, iMule + I2P montera en puissance afin de gagner la facilité d'installation et d'utilisation requise pour que monsieur tout le monde s'y mette. Et une fois que le gros des troupes aura migré vers cette solution, la compatibilité des liens eDonkey fera le reste.
Je confirme pour le cambouis... je suis dedans et franchement I2P c'est vraiment très très compliqué... mais j'vais piger... mais va bien falloir une bonne journée !

Posté mardi 22 juin 2010 à 08:52 (#272)
http://www.journaldugeek.com/2010/06/22/su...-contre-hadopi/
Elle est où la limite entre information aux plus jeunes et propagande ?
Elle est où la limite entre information aux plus jeunes et propagande ?

Posté mardi 22 juin 2010 à 14:26 (#273)
Citation
Hadopi et collecte IP : la CNIL donne son feu vert
La CNIL a tenu une séance plénière hier. Au cours de cette dernière, elle s'est prononcée sur les éventuelle autorisations pour les ayants droit à collecter des adresses IP dans le cadre de la loi dite Hadopi. Quatre organisations avaient fait une demande en ce sens : la société Civile des Producteurs Phonographiques ( SCPP ), la Société Civile des Producteurs de Phonogrammes en France ( SPPF ), la Société des Auteurs Compositeurs et Editeurs de Musique ( SACEM ) et la Société pour l’administration du Droit de Reproduction Mécanique ( SDRM ).
Contactée, la CNIL nous a indiqué avoir donné son aval à ces quatre requêtes mais n'a pas souhaité en dire plus sur le sujet. Quoi qu'il en soit, c'est un nouvel obstacle de franchi pour le début de la riposte graduée avec les premiers e-mails d'avertissement prévus pour parvenir dans les boîtes aux lettres électroniques à la mi-juillet, selon la Hautre Autorité Hadopi.
À la demande de ces représentants des ayants droit dans le domaine de la musique et de l'audiovisuel, la société Trident Media Guard va pouvoir " flasher " les abonnés Internet afin de les prendre en flagrant délit de téléchargement illégal. Comme tous les éléments semblent le suggérer, il s'agira d'une surveillance des réseaux P2P. Une collecte d'adresses IP puis un recours devant la Hadopi pour obtenir l'identification des abonnés auprès des FAI et faire partir les premières missives d'avertissement.
On s'achemine donc encore un peu plus vers la mise en action effective de la riposte graduée. Deux avertissements puis la sanction pour une troisième récidive : amende et/ou coupure de l'accès à Internet.
La CNIL a tenu une séance plénière hier. Au cours de cette dernière, elle s'est prononcée sur les éventuelle autorisations pour les ayants droit à collecter des adresses IP dans le cadre de la loi dite Hadopi. Quatre organisations avaient fait une demande en ce sens : la société Civile des Producteurs Phonographiques ( SCPP ), la Société Civile des Producteurs de Phonogrammes en France ( SPPF ), la Société des Auteurs Compositeurs et Editeurs de Musique ( SACEM ) et la Société pour l’administration du Droit de Reproduction Mécanique ( SDRM ).
Contactée, la CNIL nous a indiqué avoir donné son aval à ces quatre requêtes mais n'a pas souhaité en dire plus sur le sujet. Quoi qu'il en soit, c'est un nouvel obstacle de franchi pour le début de la riposte graduée avec les premiers e-mails d'avertissement prévus pour parvenir dans les boîtes aux lettres électroniques à la mi-juillet, selon la Hautre Autorité Hadopi.
À la demande de ces représentants des ayants droit dans le domaine de la musique et de l'audiovisuel, la société Trident Media Guard va pouvoir " flasher " les abonnés Internet afin de les prendre en flagrant délit de téléchargement illégal. Comme tous les éléments semblent le suggérer, il s'agira d'une surveillance des réseaux P2P. Une collecte d'adresses IP puis un recours devant la Hadopi pour obtenir l'identification des abonnés auprès des FAI et faire partir les premières missives d'avertissement.
On s'achemine donc encore un peu plus vers la mise en action effective de la riposte graduée. Deux avertissements puis la sanction pour une troisième récidive : amende et/ou coupure de l'accès à Internet.

Citation
Hadopi : la sanction toujours en attente
Le décret portant sur le chapitre sanction de la loi dite Hadopi doit encore recevoir le feu vert de la Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés.
En début de mois, la CNIL a autorisé quatre organisations d'ayants droit à procéder via des agents assermentés à la collecte d'adresses IP relatives à du téléchargement illégal sur les réseaux P2P. Ces adresses pourront ainsi être transmises à la Haute Autorité qui fera la démarche auprès des FAI pour lever le voile sur l'abonné Internet qui se cache derrière cette série de chiffres.
Auparavant, la CNIL avait été saisie du premier décret permettant à la Haute Autorité " d'envoyer ses messages pédagogiques ". C'est ce qu'a indiqué le secrétaire général de la CNIL lors d'un chat organisé avec les internautes par 20minutes.fr. Yann Padova a également précisé que : " d'autres étapes sont encore à venir, notamment l'examen du projet de décret concernant la mise en œuvre du pouvoir de sanction de l'HADOPI ".
On peut donc en déduire que le régime de sanction sous l'ère Hadopi mettra encore bien du temps avant d'être mis en œuvre. Des sanctions, qui après deux avertissements sans frais, peuvent aller sous le contrôle d'un juge de l'amende et/ou la coupure de l'accès Internet.
Lors de ce même chat, Yann Padova a une nouvelle fois laissé transpirer la connotation très P2P des lois création et Internet :
" Le mécanisme de l'HADOPI ne constitue pas une surveillance systématique de l'ensemble des contenus produits ou reçus par tous les internautes. Il s'appuie sur une collecte de données techniques échangées sur les réseaux peer-to-peer. Les autres utilisations d'Internet ( Web, envoi de mails, réseaux sociaux, etc. ) ne sont pas concernées. "
Le décret portant sur le chapitre sanction de la loi dite Hadopi doit encore recevoir le feu vert de la Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés.
En début de mois, la CNIL a autorisé quatre organisations d'ayants droit à procéder via des agents assermentés à la collecte d'adresses IP relatives à du téléchargement illégal sur les réseaux P2P. Ces adresses pourront ainsi être transmises à la Haute Autorité qui fera la démarche auprès des FAI pour lever le voile sur l'abonné Internet qui se cache derrière cette série de chiffres.
Auparavant, la CNIL avait été saisie du premier décret permettant à la Haute Autorité " d'envoyer ses messages pédagogiques ". C'est ce qu'a indiqué le secrétaire général de la CNIL lors d'un chat organisé avec les internautes par 20minutes.fr. Yann Padova a également précisé que : " d'autres étapes sont encore à venir, notamment l'examen du projet de décret concernant la mise en œuvre du pouvoir de sanction de l'HADOPI ".
On peut donc en déduire que le régime de sanction sous l'ère Hadopi mettra encore bien du temps avant d'être mis en œuvre. Des sanctions, qui après deux avertissements sans frais, peuvent aller sous le contrôle d'un juge de l'amende et/ou la coupure de l'accès Internet.
Lors de ce même chat, Yann Padova a une nouvelle fois laissé transpirer la connotation très P2P des lois création et Internet :
" Le mécanisme de l'HADOPI ne constitue pas une surveillance systématique de l'ensemble des contenus produits ou reçus par tous les internautes. Il s'appuie sur une collecte de données techniques échangées sur les réseaux peer-to-peer. Les autres utilisations d'Internet ( Web, envoi de mails, réseaux sociaux, etc. ) ne sont pas concernées. "

Posté lundi 28 juin 2010 à 18:43 (#274)
Citation
Hadopi ne préviendra pas de la date d'envoi des 1er mails
Emmanuel Torregano, du magazine Electron Libre, suit actuellement la conférence de presse d'Hadopi, et la retranscrit sur Twitter.
Au cours de cette conférence, Marie-Françoise Marais, présidente de la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur internet (Hadopi) a confirmé ce que tout le monde avait anticipé : Hadopi devient bien opérationnelle "après un gros travail avec les ayant droits et les fournisseurs d'accès".
La Commission de protection des droits (CDP) a précisé ne pas fonctionner comme un radar automatique aveugle, au contraire même. Ils auront pour charge de déterminer de la suite, ou non, des opérations quand une infraction est détectée - comme nous l'abordons en effet dans l'article Hadopi : outil par outil, qui se fera attraper ? Encore que, ajoutent-ils, il leur revient toujours de déterminer des "critères de traitement". Comprenez sans doute : à partir de quel volume de fichiers piratés les procédures civiles et/ou pénales se déclencheront-elles ?
Le volume de 50 000 saisies par jour est confirmé, mais la date d'envoi des premiers mails n'a pas encore été arrêtée et ne sera pas communiquée.
Facebook nouvel outil d'Hadopi ?
Pourquoi procéder ainsi ? Pour ne pas donner une sorte de droit tacite de piraterie jusqu'à une date fixée et communiquée ? Ou pour commencer à créer un climat "de peur" ?
On peut hélas pencher pour la seconde option à la lecture d'un article de PC-INpact. Le savoureux Pascal Nègre (un des représentants des "ayant droits") mise sur une sorte de marketing viral basé sur la menace et la peur, grâce à Facebook. Les premiers internautes attrapés ne manqueront pas, selon lui, d'en faire part sur leur page Facebook. "Ses 1000 ou 1500 amis seront au courant, ils informeront à leur tour leurs 1500 amis. Ce sera dans le quotidien des Français". Mais d'où ça sort cette histoire de 1000 ou 1500 amis sur Facebook ? Combien en avez-vous ? En fait, Pascal Nègre a 1 762 amis à ce jour...
Emmanuel Torregano, du magazine Electron Libre, suit actuellement la conférence de presse d'Hadopi, et la retranscrit sur Twitter.
Au cours de cette conférence, Marie-Françoise Marais, présidente de la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur internet (Hadopi) a confirmé ce que tout le monde avait anticipé : Hadopi devient bien opérationnelle "après un gros travail avec les ayant droits et les fournisseurs d'accès".
La Commission de protection des droits (CDP) a précisé ne pas fonctionner comme un radar automatique aveugle, au contraire même. Ils auront pour charge de déterminer de la suite, ou non, des opérations quand une infraction est détectée - comme nous l'abordons en effet dans l'article Hadopi : outil par outil, qui se fera attraper ? Encore que, ajoutent-ils, il leur revient toujours de déterminer des "critères de traitement". Comprenez sans doute : à partir de quel volume de fichiers piratés les procédures civiles et/ou pénales se déclencheront-elles ?
Le volume de 50 000 saisies par jour est confirmé, mais la date d'envoi des premiers mails n'a pas encore été arrêtée et ne sera pas communiquée.
Facebook nouvel outil d'Hadopi ?
Pourquoi procéder ainsi ? Pour ne pas donner une sorte de droit tacite de piraterie jusqu'à une date fixée et communiquée ? Ou pour commencer à créer un climat "de peur" ?
On peut hélas pencher pour la seconde option à la lecture d'un article de PC-INpact. Le savoureux Pascal Nègre (un des représentants des "ayant droits") mise sur une sorte de marketing viral basé sur la menace et la peur, grâce à Facebook. Les premiers internautes attrapés ne manqueront pas, selon lui, d'en faire part sur leur page Facebook. "Ses 1000 ou 1500 amis seront au courant, ils informeront à leur tour leurs 1500 amis. Ce sera dans le quotidien des Français". Mais d'où ça sort cette histoire de 1000 ou 1500 amis sur Facebook ? Combien en avez-vous ? En fait, Pascal Nègre a 1 762 amis à ce jour...

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