Vu que par un quelconque miracle Erobeat est devenue très active, j'ai eu l'immense plaisir (hohohoho !) de pouvoir m'enchaîner l'intégrale de Taimanin Asagi, qui provient du H-game du même nom de Lilith (dont la plupart des prods sont euh... trash

) mais surtout qui est sous la houlette de Teruaki Murakami.
Vous connaissez pas ? Si je vous dit Princess 69, Kuro Ai ou Seifuku Shôjo, vous situez mieux ? Oui c'est lui qui est derrière ces adaptations également.
Au début ça part plutôt bien et dans le classique, une histoire de kunoichis (femmes ninjas) qui doivent chasser les démons qui se sont alliés à des humains et qui peuplent Tokyo. Puis vient une ennemi (Oboro) qui était censée être morte, mais qui a vendu son âme aux démons pour pouvoir se venger (retour de bâton !!!) de l'héroïne Asagi !
Malheureusement le peu de scénario finit par s'écrouler sous la surenchère qui font la marque de fabrique de Murakami-san : (mis en spoil pour les âmes sensibles)
[Voir le message caché (spoiler)]
- les séquences de gangbang à gogo en vitesse accéléré par des hommes ou des démons
- les incroyables choses qui rentrent dans le corps féminin et qui déforment incroyablement les intestins en bougeant toujours à une vitesse folle
- les effets pyrotechniques avec écrans de fond rouges clignotants
- les je machouille goulument les litres de sperme que j'ai dans la bouche avec un ou deux poils qui dépassent des lèvres
- les vieux porcs pas lavés depuis une semaine disposant d'une endurance à toute épreuve
Curieusement, le dernier (4) épisode parvient à bien recentrer l'histoire (et proposer une fin décente agrémentée de tragédie) après deux autres où les scènes se succédaient à outrance.
Pour ceux qui n'ont jamais essayé l'un des titres suscités (ou Bondage Game ^^), c'est l'occasion de repousser (ou à défaut tester) vos limites dans le tolérable/supportable
(évitez de vous lancer dans l'aventure devant un bon repas, genre de spaghettis, sait-on jamais)
A noter que Makai Kishi Ingrid (2 épisodes en cours) se situe dans le même univers (on y retrouve le grand méchant, M. Black, doublé par Norio Wakamoto) mais qui passe pour quelque chose de plus gentil en comparaison