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Après Koons, Murakami plonge Versailles dans la polémique
Après l’exposition Jeff Koons en 2008, un autre monument du pop-art investit les galeries et les jardins du château de Versailles. Il s’agit du japonnais Takashi Murakami. Tout comme pour Jeff Koons ou Xavier Veilhan l’an dernier, l’exposition déclenche une polémique.
Quand l’esprit du manga japonais s’installe dans les appartements du Roi-Soleil. C’est l’exposition consacrée à l’un des plus célèbres plasticiens du petit monde l’art contemporain, Takashi Murakami. Jusqu’au 12 décembre, ses personnages et ses sculptures monumentales trônent sur les parquets du château royal, ou dans les jardins, jusqu’au 12 décembre.
Les visiteurs auront ainsi la surprise de tomber sur un bouddah ovale de six mètres de haut dans la perspective de Le Nôtre, un bouquet de fleur de trois mètres dans la Galerie des Glaces, ou encore, une blonde figurine de manga dans le Salon de la Guerre.
Ces expositions consacrées aux piliers de l’art contemporain deviennent une habitude à Versailles, après la première consacrée à Jeff Koons et son homard géant en 2008, puis Xavier Veilhan l’an dernier. Et tout comme pour l’artiste américain, l’accueil est mouvementé. Deux pétitions ont rassemblé 10.000 signataires contre la présence de ses œuvres à Versailles. Les anti-Murakami appellent à manifester devant les grilles du château demain.
Après l’exposition Jeff Koons en 2008, un autre monument du pop-art investit les galeries et les jardins du château de Versailles. Il s’agit du japonnais Takashi Murakami. Tout comme pour Jeff Koons ou Xavier Veilhan l’an dernier, l’exposition déclenche une polémique.
Quand l’esprit du manga japonais s’installe dans les appartements du Roi-Soleil. C’est l’exposition consacrée à l’un des plus célèbres plasticiens du petit monde l’art contemporain, Takashi Murakami. Jusqu’au 12 décembre, ses personnages et ses sculptures monumentales trônent sur les parquets du château royal, ou dans les jardins, jusqu’au 12 décembre.
Les visiteurs auront ainsi la surprise de tomber sur un bouddah ovale de six mètres de haut dans la perspective de Le Nôtre, un bouquet de fleur de trois mètres dans la Galerie des Glaces, ou encore, une blonde figurine de manga dans le Salon de la Guerre.
Ces expositions consacrées aux piliers de l’art contemporain deviennent une habitude à Versailles, après la première consacrée à Jeff Koons et son homard géant en 2008, puis Xavier Veilhan l’an dernier. Et tout comme pour l’artiste américain, l’accueil est mouvementé. Deux pétitions ont rassemblé 10.000 signataires contre la présence de ses œuvres à Versailles. Les anti-Murakami appellent à manifester devant les grilles du château demain.