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Le gouvernement socialiste de Jose Luis Rodriguez Zapatero, dont le grand père fut fusillé par les Franquistes, s'apprête à présenter au cours de la 2e quinzaine de juillet un projet de loi dite de la Mémoire Historique sur les victimes des deux camps.
Ces initiatives sont peu appréciées par le Parti Populaire d'opposition (PP - droite), qui s'est déjà abstenu en juin lors d'un vote au Congrès déclarant 2006 "Année de la mémoire historique en Espagne" et demandant au gouvernement de rendre hommage aux victimes de la guerre civile et du Franquisme.
De telles mesures "essaient d'imposer une vérité officielle (...) divisent les Espagnols et rouvrent de vieilles blessures", selon un porte-parole du PP. Jose Luis Rodriguez Zapatero veut "réveiller le fantôme de ces années tragiques", accusent certains médias conservateurs.
Le succès de la transition démocratique après la mort de Franco "a nécessité des oublis sélectifs", qui reviennent aujourd'hui à la surface, a déclaré début juillet le Président espagnol du Parlement européen, le socialiste Josep Borell, lors d'un débat sur le coup d'Etat du 18 juillet 1936.
Ces initiatives sont peu appréciées par le Parti Populaire d'opposition (PP - droite), qui s'est déjà abstenu en juin lors d'un vote au Congrès déclarant 2006 "Année de la mémoire historique en Espagne" et demandant au gouvernement de rendre hommage aux victimes de la guerre civile et du Franquisme.
De telles mesures "essaient d'imposer une vérité officielle (...) divisent les Espagnols et rouvrent de vieilles blessures", selon un porte-parole du PP. Jose Luis Rodriguez Zapatero veut "réveiller le fantôme de ces années tragiques", accusent certains médias conservateurs.
Le succès de la transition démocratique après la mort de Franco "a nécessité des oublis sélectifs", qui reviennent aujourd'hui à la surface, a déclaré début juillet le Président espagnol du Parlement européen, le socialiste Josep Borell, lors d'un débat sur le coup d'Etat du 18 juillet 1936.
Ailleurs dans le monde
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Une loi dangereuse
L'agence gouvernementale indienne de prévention du sida a demandé à la justice de casser une loi interdisant l'homosexualité en Inde. Elle estime que cela pourrait aider à mieux évaluer le nombre de séropositifs et de malades, a indiqué jeudi un de ses responsables.
«Les hommes qui ont des relations sexuelles avec les hommes constituent un groupe à risque. Comme nous sommes dans le domaine de la prévention au sida, nous avons demandé que l'interdiction soit levée», a déclaré un haut responsable de l'Organisation nationale de contrôle du sida (Naco) sous couvert de l'anonymat.
L'article 377 du code pénal indien interdit «les relations charnelles contre nature avec un homme, une femme ou un animal». La Naco a expliqué à la Haute cour de Delhi que plus de 8% des homosexuels en Inde étaient infectés par le virus VIH, contre moins de 1% pour la population dans son ensemble.
L'agence gouvernementale indienne de prévention du sida a demandé à la justice de casser une loi interdisant l'homosexualité en Inde. Elle estime que cela pourrait aider à mieux évaluer le nombre de séropositifs et de malades, a indiqué jeudi un de ses responsables.
«Les hommes qui ont des relations sexuelles avec les hommes constituent un groupe à risque. Comme nous sommes dans le domaine de la prévention au sida, nous avons demandé que l'interdiction soit levée», a déclaré un haut responsable de l'Organisation nationale de contrôle du sida (Naco) sous couvert de l'anonymat.
L'article 377 du code pénal indien interdit «les relations charnelles contre nature avec un homme, une femme ou un animal». La Naco a expliqué à la Haute cour de Delhi que plus de 8% des homosexuels en Inde étaient infectés par le virus VIH, contre moins de 1% pour la population dans son ensemble.
