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Posté dimanche 11 janvier 2009 à 20:36 (#2927)
Citation
Des soldats français attaqués en Afghanistan, un soldat afghan tué
Des soldats français en patrouille avec des soldats afghans ont été attaqués par des rebelles dimanche dans la province de Kapisa, au nord-est de Kaboul, un affrontement au cours duquel un soldat afghan a été tué, selon l'armée française, qui n'a déploré aucun blessé.
Le détachement, constitué de deux sections du bataillon français stationné en Kapisa, d'une section de l'armée afghane et de policiers afghans, a été "pris à partie" dans l'après-midi "par un groupe d'insurgés lors d'une opération de reconnaissance dans la vallée d'Alasay", indique-t-elle dans un communiqué.
Alors que les soldats français et afghans étaient en train de fouiller des "maisons suspectes" après du village de Tatarkhel, "une dizaine d'hommes armés" ont ouvert le feu sur eux à l'arme légère et avec des roquettes, selon elle.
"La section française a riposté pour faciliter le désengagement des soldats afghans, tuant au moins un insurgé", poursuit-elle.
Un soldat afghan, gravement blessé, est décédé dans cet accrochage où "aucun soldat français n'a été blessé", ajoute l'armée française.
Lors de la fouille de la maison, les soldats et les policiers afghans ont découvert un stock d'armes et de munitions comprenant notamment des roquettes et leur lanceur, précise-t-elle.
Il s'agissait du premier accrochage pour les soldats du 2e bataillon de chasseurs alpins d'Annecy (est), déployé dans la province depuis le 7 décembre.
La France est le quatrième contributeur international, en nombre de soldats déployés, sur le théâtre afghan, où elle compte plus de 3.000 hommes, la plupart stationnés à Kaboul et sur des bases avancées dans l'est du pays.
Elle y a perdu 25 soldats en 2008, dont 10 lors d'une embuscade rebelle le 18 août dans le district de Saroubi de la province voisine de Kaboul.
Depuis près de deux ans, les violences ont redoublé d'intensité dans ce pays malgré la présence de près de 70.000 soldats étrangers. La province de Kapisa contrôle un accès stratégique au nord de Kaboul et différents groupes d'insurgés, talibans et autres, y sont implantés.
Des soldats français en patrouille avec des soldats afghans ont été attaqués par des rebelles dimanche dans la province de Kapisa, au nord-est de Kaboul, un affrontement au cours duquel un soldat afghan a été tué, selon l'armée française, qui n'a déploré aucun blessé.
Le détachement, constitué de deux sections du bataillon français stationné en Kapisa, d'une section de l'armée afghane et de policiers afghans, a été "pris à partie" dans l'après-midi "par un groupe d'insurgés lors d'une opération de reconnaissance dans la vallée d'Alasay", indique-t-elle dans un communiqué.
Alors que les soldats français et afghans étaient en train de fouiller des "maisons suspectes" après du village de Tatarkhel, "une dizaine d'hommes armés" ont ouvert le feu sur eux à l'arme légère et avec des roquettes, selon elle.
"La section française a riposté pour faciliter le désengagement des soldats afghans, tuant au moins un insurgé", poursuit-elle.
Un soldat afghan, gravement blessé, est décédé dans cet accrochage où "aucun soldat français n'a été blessé", ajoute l'armée française.
Lors de la fouille de la maison, les soldats et les policiers afghans ont découvert un stock d'armes et de munitions comprenant notamment des roquettes et leur lanceur, précise-t-elle.
Il s'agissait du premier accrochage pour les soldats du 2e bataillon de chasseurs alpins d'Annecy (est), déployé dans la province depuis le 7 décembre.
La France est le quatrième contributeur international, en nombre de soldats déployés, sur le théâtre afghan, où elle compte plus de 3.000 hommes, la plupart stationnés à Kaboul et sur des bases avancées dans l'est du pays.
Elle y a perdu 25 soldats en 2008, dont 10 lors d'une embuscade rebelle le 18 août dans le district de Saroubi de la province voisine de Kaboul.
Depuis près de deux ans, les violences ont redoublé d'intensité dans ce pays malgré la présence de près de 70.000 soldats étrangers. La province de Kapisa contrôle un accès stratégique au nord de Kaboul et différents groupes d'insurgés, talibans et autres, y sont implantés.
Posté mardi 13 janvier 2009 à 07:26 (#2928)
Une partie de la 4e licence 3G accordée à un nouvel opérateur
source
Citation
Le paysage de la téléphonie mobile va sensiblement évoluer en 2009. C'est en tout cas le souhait du premier ministre, François Fillon, qui a annoncé, lundi 12 janvier, qu'une partie de la quatrième licence de téléphonie mobile serait attribuée à un nouvel opérateur. Et dans la foulée, le gouvernement a redemandé à l'Autorité de régulation des communications électroniques et des postes (Arcep) de lancer "avant la fin du mois de février" un nouvel appel à candidatures reposant sur une division en trois lots de cinq mégahertz des fréquences restantes, avec pour objectif que toutes ces dernières soient "attribuées avant l'été".
Cette répartition par lots n'avait pas les faveurs de l'Arcep, qui plaidait en septembre pour l'attribution des fréquences restantes en un seul bloc, afin de "stimuler la concurrence au bénéfice des consommateurs dans ce secteur". Le gouvernement aura donc attendu les changements intervenus à la tête de l'Autorité de régulation pour relancer la procédure, selon ce qu'il estimait être le plus favorable. "J'ai choisi de favoriser la possibilité d'un nouvel entrant [car] plus il y a d'opérateurs, plus il y a de concurrence, sans déstabiliser et en permettant aux opérateurs existants d'obtenir une partie des lots", a expliqué le chef du gouvernement. Il a d'autre part défendu "un choix qui combine à la fois la nécessité d'aiguillonner la concurrence, qui permet, il faut le dire clairement, à l'Etat de faire jouer au maximum les enchères, et qui en même temps préserve les intérêts des usagers".
FREE AFFICHE SA SATISFACTION
Ce feuilleton de l'attribution de la quatrième licence de téléphonie de troisième génération oppose depuis de nombreux mois les opérateurs déjà en place avec le principal challenger potentiel dans le domaine, le groupe Iliad, maison-mère du fournisseur d'accès Internet Free. Réagissant à cette annonce, le directeur général de Free, Maxime Lombardini, l'a qualifiée de "très bonne nouvelle", en précisant que Free était "très légitime pour devenir ce quatrième opérateur de téléphonie mobile dont la France a besoin".
Le fournisseur d'accès manifeste en effet depuis de nombreux mois son intérêt pour cette quatrième licence en un seul bloc, mais déclarait récemment pouvoir se contenter d'une partie, à condition de recevoir 10 mégahertz sur les 15 disponibles dans la bande des 2,1 gigahertz. Avec uniquement 5 mégahertz, le nouvel opérateur ne disposera pas d'un réseau de couverture nationale, et devra donc composer avec d'autres opérateurs installés. Dans sa précédente candidature à l'obtention de cette licence fin 2007, et à nouveau aujourd'hui, le groupe promet de "baisser significativement les prix (...) : pour un foyer français moyen, qui aurait trois abonnements forfaits (deux adultes et un enfant) et qui dépenserait environ 2 000 euros par an en téléphonie mobile, nous pensons pouvoir diviser par deux la facture", a déclaré M. Lombardini.
A la Bourse de Paris, les titres France Télécom, Vivendi et Bouygues ont durement réagi à l'annonce du premier ministre. Les actions des trois opérateurs "installés" s'enfoncent de 3,15 % pour France Télécom, 4,22 % pour Vivendi-SFR et jusqu'à 7,25 % pour Bouygues, alors que l'action Iliad reste plutôt stable à - 1,62 %.
Cette répartition par lots n'avait pas les faveurs de l'Arcep, qui plaidait en septembre pour l'attribution des fréquences restantes en un seul bloc, afin de "stimuler la concurrence au bénéfice des consommateurs dans ce secteur". Le gouvernement aura donc attendu les changements intervenus à la tête de l'Autorité de régulation pour relancer la procédure, selon ce qu'il estimait être le plus favorable. "J'ai choisi de favoriser la possibilité d'un nouvel entrant [car] plus il y a d'opérateurs, plus il y a de concurrence, sans déstabiliser et en permettant aux opérateurs existants d'obtenir une partie des lots", a expliqué le chef du gouvernement. Il a d'autre part défendu "un choix qui combine à la fois la nécessité d'aiguillonner la concurrence, qui permet, il faut le dire clairement, à l'Etat de faire jouer au maximum les enchères, et qui en même temps préserve les intérêts des usagers".
FREE AFFICHE SA SATISFACTION
Ce feuilleton de l'attribution de la quatrième licence de téléphonie de troisième génération oppose depuis de nombreux mois les opérateurs déjà en place avec le principal challenger potentiel dans le domaine, le groupe Iliad, maison-mère du fournisseur d'accès Internet Free. Réagissant à cette annonce, le directeur général de Free, Maxime Lombardini, l'a qualifiée de "très bonne nouvelle", en précisant que Free était "très légitime pour devenir ce quatrième opérateur de téléphonie mobile dont la France a besoin".
Le fournisseur d'accès manifeste en effet depuis de nombreux mois son intérêt pour cette quatrième licence en un seul bloc, mais déclarait récemment pouvoir se contenter d'une partie, à condition de recevoir 10 mégahertz sur les 15 disponibles dans la bande des 2,1 gigahertz. Avec uniquement 5 mégahertz, le nouvel opérateur ne disposera pas d'un réseau de couverture nationale, et devra donc composer avec d'autres opérateurs installés. Dans sa précédente candidature à l'obtention de cette licence fin 2007, et à nouveau aujourd'hui, le groupe promet de "baisser significativement les prix (...) : pour un foyer français moyen, qui aurait trois abonnements forfaits (deux adultes et un enfant) et qui dépenserait environ 2 000 euros par an en téléphonie mobile, nous pensons pouvoir diviser par deux la facture", a déclaré M. Lombardini.
A la Bourse de Paris, les titres France Télécom, Vivendi et Bouygues ont durement réagi à l'annonce du premier ministre. Les actions des trois opérateurs "installés" s'enfoncent de 3,15 % pour France Télécom, 4,22 % pour Vivendi-SFR et jusqu'à 7,25 % pour Bouygues, alors que l'action Iliad reste plutôt stable à - 1,62 %.

http://www.japonfacile.com/
Japon Facile - Site de photos, vidéos et infos sur le Japon & Blog sur l'actu japonaise
Posté mardi 13 janvier 2009 à 08:59 (#2929)
Citation
Claude Berri (1934-2009)
Disparition du réalisateur de "Tchao Pantin", qui fut aussi et surtout le producteur aussi bien de Polanski, Rohmer et Kechiche que d'"Asterix" de Claude Zidi. Retour à chaud sur une carrière qui, bien qu'inégale, a affirmé depuis ses débuts une vibrante conception artisanale du cinéma.
Pour Claude Berri, disparu le 12 janvier, le cinéma fut d’abord une histoire de famille : un lieu d’amour et de discorde.
C’est grâce à Pialat, qui a épousé sa sœur Arlette, que ce fils d’artisan fourreur devenu apprenti comédien (on le voit notamment dans Les Bonnes femmes de Chabrol), commence à glisser derrière la caméra, puisqu’il écrit un court-métrage que Pialat réalise, Janine. Son premier court, Le Poulet, lui vaut un oscar (1962). Mais c’est avec son premier long, Le Vieillard et l’enfant (1966) avec Michel Simon, salué par Truffaut, qu’il accède à la notoriété. Suivent des films autobiographiques prometteurs à l’humour amer : Mazel Tov ou le mariage (1969), Le Pistonné et Le Cinéma de papa (1970), où il rend un bel hommage à son père, Sex-shop (1972), La Première fois (1976), etc.
Berri est devenu très tôt son propre producteur, activité qu’il étend à d’autres (Zidi, Polanski, Forman, Chéreau, Annaud, mais aussi Téchiné, Rohmer, Pialat et Demy), devenant une personnalité essentielle du cinéma français. Il est difficile de trouver une cohérence dans une œuvre assez disparate, entre cinéma commercial et cinéma d’auteur à gros budget, où le meilleur côtoie le pire. A partir de l’échec commercial international de Tess de Polanski (malgré trois césars), son cinéma prend une autre tournure. Après le succès de Tchao Pantin avec Coluche, celui qui « aurait pu devenir une sorte de Pagnol », comme le disait Pialat au personnage inspiré par Berri joué par Dominique Besnehard dans A nos amours (1983), adapte avec de gros moyens et beaucoup d’académisme Jean de Florette et Manon des sources, puis Germinal. La sortie d’Uranus, d’après Marcel Aymé, est l’occasion d’une violente polémique avec le critique Serge Daney, à l’issue de laquelle il obtient par arrêté de justice une droit de réponse (phénomène sans précédent).
Ses films suivants, plus personnels, ne retrouveront jamais le charme de ses premiers. Mais le producteur triomphe avec les Astérix, soutient la carrière de cinéaste d’Yvan Attal, produit Les Sentiments de Noémie Lvovsky. Il y a quelques années, ce collectionneur d’art moderne marqué par la mort tragique de certains de ses proches écrivait son Autoportrait, entre confession et autodénigrement. Ces dernières années, il avait cartonné en produisant La Graine et le Mulet et, bien sûr, Bienvenue chez les Ch’tis, deux films apparemment emblématiques de sa conception clivée du cinéma. Mais produire, au fond, était toujours resté pour lui une activité artisanale et chaque film un prototype. Avec sa mort, c’est cette conception à l’ancienne du cinéma qui disparaît peut-être
Disparition du réalisateur de "Tchao Pantin", qui fut aussi et surtout le producteur aussi bien de Polanski, Rohmer et Kechiche que d'"Asterix" de Claude Zidi. Retour à chaud sur une carrière qui, bien qu'inégale, a affirmé depuis ses débuts une vibrante conception artisanale du cinéma.
Pour Claude Berri, disparu le 12 janvier, le cinéma fut d’abord une histoire de famille : un lieu d’amour et de discorde.
C’est grâce à Pialat, qui a épousé sa sœur Arlette, que ce fils d’artisan fourreur devenu apprenti comédien (on le voit notamment dans Les Bonnes femmes de Chabrol), commence à glisser derrière la caméra, puisqu’il écrit un court-métrage que Pialat réalise, Janine. Son premier court, Le Poulet, lui vaut un oscar (1962). Mais c’est avec son premier long, Le Vieillard et l’enfant (1966) avec Michel Simon, salué par Truffaut, qu’il accède à la notoriété. Suivent des films autobiographiques prometteurs à l’humour amer : Mazel Tov ou le mariage (1969), Le Pistonné et Le Cinéma de papa (1970), où il rend un bel hommage à son père, Sex-shop (1972), La Première fois (1976), etc.
Berri est devenu très tôt son propre producteur, activité qu’il étend à d’autres (Zidi, Polanski, Forman, Chéreau, Annaud, mais aussi Téchiné, Rohmer, Pialat et Demy), devenant une personnalité essentielle du cinéma français. Il est difficile de trouver une cohérence dans une œuvre assez disparate, entre cinéma commercial et cinéma d’auteur à gros budget, où le meilleur côtoie le pire. A partir de l’échec commercial international de Tess de Polanski (malgré trois césars), son cinéma prend une autre tournure. Après le succès de Tchao Pantin avec Coluche, celui qui « aurait pu devenir une sorte de Pagnol », comme le disait Pialat au personnage inspiré par Berri joué par Dominique Besnehard dans A nos amours (1983), adapte avec de gros moyens et beaucoup d’académisme Jean de Florette et Manon des sources, puis Germinal. La sortie d’Uranus, d’après Marcel Aymé, est l’occasion d’une violente polémique avec le critique Serge Daney, à l’issue de laquelle il obtient par arrêté de justice une droit de réponse (phénomène sans précédent).
Ses films suivants, plus personnels, ne retrouveront jamais le charme de ses premiers. Mais le producteur triomphe avec les Astérix, soutient la carrière de cinéaste d’Yvan Attal, produit Les Sentiments de Noémie Lvovsky. Il y a quelques années, ce collectionneur d’art moderne marqué par la mort tragique de certains de ses proches écrivait son Autoportrait, entre confession et autodénigrement. Ces dernières années, il avait cartonné en produisant La Graine et le Mulet et, bien sûr, Bienvenue chez les Ch’tis, deux films apparemment emblématiques de sa conception clivée du cinéma. Mais produire, au fond, était toujours resté pour lui une activité artisanale et chaque film un prototype. Avec sa mort, c’est cette conception à l’ancienne du cinéma qui disparaît peut-être


Posté mardi 13 janvier 2009 à 14:32 (#2930)
Citation
USA : Elle parvient à guérir son chien en le nourrissant au sein
Janelle Williams, a donc donné de son propre lait maternel pour nourrir son chien qui était tombé malade. Il avait arrêté de manger et s'était beaucoup affaibli depuis qu'elle l'avait acheté en octobre 2008. Un vétérinaire lui avait conseillé un lait en poudre spécialisé mais le chien n'en a pas voulu.

Un sein pour son fils, l'autre pour le chien
Janelle Williams a alors pensé à une autre solution. "Comme je donnais toujours le sein à mon fils de 2 ans, mon corps produisait toujours du lait. J'en ai mis un peu sur mon doigt et le chien l'a léché." Le chien s'est alors installé sur son sein et a commencé à téter. Le fils de Mme. Williams a très rapidement compris la situation. "Johnny a pointé mon sein droit et a dit "le néné du chien" puis mon sein gauche qu'il a appelé "le néné de Johnny", rapporte le site Zigonet.
D'après les médecins, tant que le chien est en bonne santé et que les seins de Janelle Williams sont propres, cette pratique n'est pas risquée, bien qu'elle ne soit pas recommandée.
Source : http://www.rtlinfo.be/
Janelle Williams, a donc donné de son propre lait maternel pour nourrir son chien qui était tombé malade. Il avait arrêté de manger et s'était beaucoup affaibli depuis qu'elle l'avait acheté en octobre 2008. Un vétérinaire lui avait conseillé un lait en poudre spécialisé mais le chien n'en a pas voulu.

Un sein pour son fils, l'autre pour le chien
Janelle Williams a alors pensé à une autre solution. "Comme je donnais toujours le sein à mon fils de 2 ans, mon corps produisait toujours du lait. J'en ai mis un peu sur mon doigt et le chien l'a léché." Le chien s'est alors installé sur son sein et a commencé à téter. Le fils de Mme. Williams a très rapidement compris la situation. "Johnny a pointé mon sein droit et a dit "le néné du chien" puis mon sein gauche qu'il a appelé "le néné de Johnny", rapporte le site Zigonet.
D'après les médecins, tant que le chien est en bonne santé et que les seins de Janelle Williams sont propres, cette pratique n'est pas risquée, bien qu'elle ne soit pas recommandée.
Source : http://www.rtlinfo.be/
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Citation
Au bord de la falaise, les suicidaires japonais ont leur ange gardien
le 10/1/2009 à 13h39 par Harumi Ozawa (AFP)
La falaise de Tojinbo est tristement célèbre au Japon pour avoir été le théâtre de centaines de suicides, mais les désespérés ont un ange gardien en la personne de Yukio Shige, un ancien policier qui tente de les dissuader de passer à l'acte.

Sur la falaise de Tojinbo, Yukio Shige veille sur les candidats au suicide
Muté il y a cinq ans dans cette bourgade du centre de l'archipel, sur la côte de la Mer du Japon, l'inspecteur Shige a découvert avec effarement que les habitants du coin s'étaient spécialisés dans le "tourisme du suicide". Mis à la retraite un an plus tard, il parcourt depuis presque quotidiennement le kilomètre et demi de littoral avec des jumelles, repérant les candidats à la mort pour les convaincre de ne pas se jeter dans les flots. "Vous comprenez ce que la personne a en tête juste en observant la façon dont elle se tient sur le bord. La plupart d'entre elles semblent soulagés et fondent en larmes dès que je leur dis bonjour", explique M. Shige.
L'ancien policier les emmène alors dans le café qu'il a ouvert non loin de la falaise, où il leur sert un gâteau de riz. Après les avoir convaincues, il les raccompagne chez elles, et, si la personne sauvée n'a plus d'endroit où habiter, il l'aide à trouver un logis avec son association caritative.
La tâche que s'est assignée l'ex-inspecteur n'est pas de tout repos, car pas moins de 257 désespérés se sont précipités du haut de la falaise en dix ans. L'action de M. Shige a toutefois permis de sauver 167 personnes, selon ses
calculs.
Le taux de suicide est très élevé au Japon, 24 pour 100.000 habitants en 2006 contre une moyenne mondiale de 16 selon l'OMS. Plus de 30.000 personnes mettent fin à leur jour chaque année dans l'archipel, des hommes dans près de trois-quarts des cas.
Lorsqu'il est arrivé à Tojinbo il y a cinq ans, M. Shige ignorait la réputation du bourg. Mais il a vite constaté que des corps étaient souvent repêchés au large. "J'ai été choqué parce que les gens d'ici trouvaient ça banal", explique-t-il.
Curiosité touristique
Le policier découvre alors que l'économie locale exploite le filon. "Les guides font visiter l'endroit aux touristes qui arrivent en bus dans le cadre d'un circuit mystérieux", déplore M. Shige. Dans les boutiques, les visiteurs peuvent acheter des T-shirts où est inscrit "Je suis las de vivre" ou "Je vis un enfer". Aucune barrière de protection ni avertissement n'ont en revanche été installés en haut de l'à-pic. "J'ai demandé aux guides de cesser de présenter Tojinbo comme une curiosité
touristique, mais un responsable municipal m'a dit d'arrêter. "S'ils le font, plus personne ne viendra visiter la ville", m'a-t-il dit". Selon M. Shige, tout cela "encourage les gens à venir se suicider" à Tojinbo.
L'existence de son association est menacée, faute de subventions publiques. Mais l'ancien policier affirme vouloir malgré tout continuer sa mission, "tant que les pouvoirs publics n'auront pas fait quelque chose". Exemple de l'inertie des autorités, M. Shige se souvient d'un couple ruiné qu'il avait sauvé - provisoirement - du suicide. Convaincus d'aller voir les
services sociaux, les époux n'avaient reçus que quelques yens de la mairie qui leur avait conseillé d'aller quêter ailleurs. Ils se sont pendus peu après, a appris l'ancien policier. Cette indifférence des pouvoirs publics l'inquiète, d'autant que le nombre de suicides pourrait augmenter, selon lui, avec la récession économique mondiale qui frappe le Japon. En novembre, quatre des six personnes sauvées par M. Shige lui ont dit avoir voulu mourir car elles ne trouvaient pas d'emploi.
le 10/1/2009 à 13h39 par Harumi Ozawa (AFP)
La falaise de Tojinbo est tristement célèbre au Japon pour avoir été le théâtre de centaines de suicides, mais les désespérés ont un ange gardien en la personne de Yukio Shige, un ancien policier qui tente de les dissuader de passer à l'acte.

Sur la falaise de Tojinbo, Yukio Shige veille sur les candidats au suicide
Muté il y a cinq ans dans cette bourgade du centre de l'archipel, sur la côte de la Mer du Japon, l'inspecteur Shige a découvert avec effarement que les habitants du coin s'étaient spécialisés dans le "tourisme du suicide". Mis à la retraite un an plus tard, il parcourt depuis presque quotidiennement le kilomètre et demi de littoral avec des jumelles, repérant les candidats à la mort pour les convaincre de ne pas se jeter dans les flots. "Vous comprenez ce que la personne a en tête juste en observant la façon dont elle se tient sur le bord. La plupart d'entre elles semblent soulagés et fondent en larmes dès que je leur dis bonjour", explique M. Shige.
L'ancien policier les emmène alors dans le café qu'il a ouvert non loin de la falaise, où il leur sert un gâteau de riz. Après les avoir convaincues, il les raccompagne chez elles, et, si la personne sauvée n'a plus d'endroit où habiter, il l'aide à trouver un logis avec son association caritative.
La tâche que s'est assignée l'ex-inspecteur n'est pas de tout repos, car pas moins de 257 désespérés se sont précipités du haut de la falaise en dix ans. L'action de M. Shige a toutefois permis de sauver 167 personnes, selon ses
calculs.
Le taux de suicide est très élevé au Japon, 24 pour 100.000 habitants en 2006 contre une moyenne mondiale de 16 selon l'OMS. Plus de 30.000 personnes mettent fin à leur jour chaque année dans l'archipel, des hommes dans près de trois-quarts des cas.
Lorsqu'il est arrivé à Tojinbo il y a cinq ans, M. Shige ignorait la réputation du bourg. Mais il a vite constaté que des corps étaient souvent repêchés au large. "J'ai été choqué parce que les gens d'ici trouvaient ça banal", explique-t-il.
Curiosité touristique
Le policier découvre alors que l'économie locale exploite le filon. "Les guides font visiter l'endroit aux touristes qui arrivent en bus dans le cadre d'un circuit mystérieux", déplore M. Shige. Dans les boutiques, les visiteurs peuvent acheter des T-shirts où est inscrit "Je suis las de vivre" ou "Je vis un enfer". Aucune barrière de protection ni avertissement n'ont en revanche été installés en haut de l'à-pic. "J'ai demandé aux guides de cesser de présenter Tojinbo comme une curiosité
touristique, mais un responsable municipal m'a dit d'arrêter. "S'ils le font, plus personne ne viendra visiter la ville", m'a-t-il dit". Selon M. Shige, tout cela "encourage les gens à venir se suicider" à Tojinbo.
L'existence de son association est menacée, faute de subventions publiques. Mais l'ancien policier affirme vouloir malgré tout continuer sa mission, "tant que les pouvoirs publics n'auront pas fait quelque chose". Exemple de l'inertie des autorités, M. Shige se souvient d'un couple ruiné qu'il avait sauvé - provisoirement - du suicide. Convaincus d'aller voir les
services sociaux, les époux n'avaient reçus que quelques yens de la mairie qui leur avait conseillé d'aller quêter ailleurs. Ils se sont pendus peu après, a appris l'ancien policier. Cette indifférence des pouvoirs publics l'inquiète, d'autant que le nombre de suicides pourrait augmenter, selon lui, avec la récession économique mondiale qui frappe le Japon. En novembre, quatre des six personnes sauvées par M. Shige lui ont dit avoir voulu mourir car elles ne trouvaient pas d'emploi.


Posté mardi 13 janvier 2009 à 15:17 (#2931)
Ma parole c'est des tarés ces japonais, Ils ont:
- Les sources chaudes
- Les animes et films d'horreur à long cheveux noirs
- Les mangas et azumangas
- Les hentai et doujinshi
- Les films de boules bien poilus
- Les meufs hyper canons
- Les hommes pas barbu avant 30 ans
- La peau aussi douce que celle d'un bébé
- Les étudiantes en jupes super courtes
- La langue japonaise
- Narutrou !
- etc ...
Et malgré tout ça, ils s'en lassent et se suicide plus que partout ailleurs !
- Les sources chaudes
- Les animes et films d'horreur à long cheveux noirs

- Les mangas et azumangas

- Les hentai et doujinshi
- Les films de boules bien poilus

- Les meufs hyper canons
- Les hommes pas barbu avant 30 ans
- La peau aussi douce que celle d'un bébé
- Les étudiantes en jupes super courtes
- La langue japonaise
- Narutrou !
- etc ...
Et malgré tout ça, ils s'en lassent et se suicide plus que partout ailleurs !

Posté mardi 13 janvier 2009 à 18:36 (#2932)
Saejimax, le 13/01/2009 à 15:17, dit :
Et malgré tout ça, ils s'en lassent et se suicide plus que partout ailleurs !
Certains de ces "faits" sont des mythes, et les autres pourraient également être au contraire des raisons de mettre fin à ses jours

Citation
Ouverture d'une enquête après l'agression de trois lycéens d’origine maghrébine
Ils auraient été violentés pour avoir refusé un tract distribué par des militants de la Ligue de défense juive. Plusieurs plaintes ont été déposées.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire, qui «est en cours mais n’a pour l’instant rien donné», après l’agression jeudi de trois jeunes Français d’origine maghrébine à la sortie du lycée Janson-de-Sailly (XVIe arrondissement), a-t-on appris aujourd’hui.
Un lycéen de Janson-de-Sailly et deux autres jeunes présents devant ce lycée ont été agressés jeudi, lors d’une distribution de tracts, et légèrement blessés.
Selon l’association d’Aide aux victimes des injustices (AVI), ces jeunes «ont été victimes d’une agression raciste» jeudi vers 16h30 «par sept militants de la LDJ» (Ligue de Défense Juive) qui distribuaient des tracts. Plusieurs plaintes ont été déposées à l’issue de cette agression.
Le parquet a «ouvert immédiatement une enquête préliminaire qui est en cours mais n’a pour l’instant rien donné», a-t-on ajouté de source judiciaire.
Selon une porte-parole du rectorat, le lycée a porté plainte pour «tentative d’intrusion» alors que les familles ont déposé plainte pour «agression» après les violences dont ont été victimes leurs enfants. «Le recteur rappelle que le respect d’autrui est une valeur fondamentale de l’école républicaine», a ajouté cette porte-parole.
Selon l’AVI, que préside Rachid Nekkaz, Sami, 15 ans, élève de seconde et Moez, 17 ans, élève de terminale, «ont été victimes d’une agression raciste» jeudi vers 16h30 «par sept militants de la LDJ» qui distribuaient des tracts à la sortie du lycée. Ils ont été conduits à l’Hôtel Dieu pour y recevoir des soins et sont arrêtés jusqu’au 17 janvier, selon l’association.
Moez a confirmé à l’AFP l’agression dont il a été l’objet, pour avoir simplement, dit-il, «refusé le tract» qui lui était tendu. Nekkaz s’est insurgé contre «une inégalité de traitement marquante selon qu’on a affaire à des agressions contre des personnes d’origine maghrébine ou des juifs».
«Les agissements antisémites, et nous les condamnons fermement, sont immédiatement dénoncés publiquement par les autorités. Or ce n’est pas le cas lorsqu’il s’agit de maghrébins», a affirmé Rachid Nekkaz selon qui, malgré «cinq fax adressés lundi au ministère de l’Intérieur et des contacts téléphoniques avec le cabinet de la ministre» il n’a pu obtenir «la moindre condamnation publique des faits révélés qui remontent à cinq jours».
Au ministère de l’Intérieur, on précise que Rachid Nekkaz s’est entretenu «longuement au téléphone» lundi soir «avec un membre du cabinet» de Michèle Alliot-Marie. On ajoute que celle-ci «a dénoncé ces dernières heures» les actes à caractère antisémite ou racistes, «sans tous les citer» mais «en ayant à l’esprit» les faits dénoncés par Rachid Nekkaz.
Samy Ghozlan, le président du Bureau national de vigilance contre l’antisemitisme (BNVCA), qui a dénombré «62 actes antisémites dans toute la France» depuis le début des événements au Proche-Orient, a condamné «fermement l’agression dont ces deux jeunes gens ont été victimes».
Ils auraient été violentés pour avoir refusé un tract distribué par des militants de la Ligue de défense juive. Plusieurs plaintes ont été déposées.
Le parquet de Paris a ouvert une enquête préliminaire, qui «est en cours mais n’a pour l’instant rien donné», après l’agression jeudi de trois jeunes Français d’origine maghrébine à la sortie du lycée Janson-de-Sailly (XVIe arrondissement), a-t-on appris aujourd’hui.
Un lycéen de Janson-de-Sailly et deux autres jeunes présents devant ce lycée ont été agressés jeudi, lors d’une distribution de tracts, et légèrement blessés.
Selon l’association d’Aide aux victimes des injustices (AVI), ces jeunes «ont été victimes d’une agression raciste» jeudi vers 16h30 «par sept militants de la LDJ» (Ligue de Défense Juive) qui distribuaient des tracts. Plusieurs plaintes ont été déposées à l’issue de cette agression.
Le parquet a «ouvert immédiatement une enquête préliminaire qui est en cours mais n’a pour l’instant rien donné», a-t-on ajouté de source judiciaire.
Selon une porte-parole du rectorat, le lycée a porté plainte pour «tentative d’intrusion» alors que les familles ont déposé plainte pour «agression» après les violences dont ont été victimes leurs enfants. «Le recteur rappelle que le respect d’autrui est une valeur fondamentale de l’école républicaine», a ajouté cette porte-parole.
Selon l’AVI, que préside Rachid Nekkaz, Sami, 15 ans, élève de seconde et Moez, 17 ans, élève de terminale, «ont été victimes d’une agression raciste» jeudi vers 16h30 «par sept militants de la LDJ» qui distribuaient des tracts à la sortie du lycée. Ils ont été conduits à l’Hôtel Dieu pour y recevoir des soins et sont arrêtés jusqu’au 17 janvier, selon l’association.
Moez a confirmé à l’AFP l’agression dont il a été l’objet, pour avoir simplement, dit-il, «refusé le tract» qui lui était tendu. Nekkaz s’est insurgé contre «une inégalité de traitement marquante selon qu’on a affaire à des agressions contre des personnes d’origine maghrébine ou des juifs».
«Les agissements antisémites, et nous les condamnons fermement, sont immédiatement dénoncés publiquement par les autorités. Or ce n’est pas le cas lorsqu’il s’agit de maghrébins», a affirmé Rachid Nekkaz selon qui, malgré «cinq fax adressés lundi au ministère de l’Intérieur et des contacts téléphoniques avec le cabinet de la ministre» il n’a pu obtenir «la moindre condamnation publique des faits révélés qui remontent à cinq jours».
Au ministère de l’Intérieur, on précise que Rachid Nekkaz s’est entretenu «longuement au téléphone» lundi soir «avec un membre du cabinet» de Michèle Alliot-Marie. On ajoute que celle-ci «a dénoncé ces dernières heures» les actes à caractère antisémite ou racistes, «sans tous les citer» mais «en ayant à l’esprit» les faits dénoncés par Rachid Nekkaz.
Samy Ghozlan, le président du Bureau national de vigilance contre l’antisemitisme (BNVCA), qui a dénombré «62 actes antisémites dans toute la France» depuis le début des événements au Proche-Orient, a condamné «fermement l’agression dont ces deux jeunes gens ont été victimes».
La connerie est une valeur partagée.
Posté mardi 13 janvier 2009 à 21:41 (#2933)
Saejimax, le 13/01/2009 à 15:17, dit :
Ma parole c'est des tarés ces japonais, Ils ont:
- Les sources chaudes
- Les animes et films d'horreur à long cheveux noirs
- Les mangas et azumangas
- Les hentai et doujinshi
- Les films de boules bien poilus
- Les meufs hyper canons
- Les hommes pas barbu avant 30 ans
- La peau aussi douce que celle d'un bébé
- Les étudiantes en jupes super courtes
- La langue japonaise
- Narutrou !
- etc ...
Et malgré tout ça, ils s'en lassent et se suicide plus que partout ailleurs !
- Les sources chaudes
- Les animes et films d'horreur à long cheveux noirs

- Les mangas et azumangas

- Les hentai et doujinshi
- Les films de boules bien poilus

- Les meufs hyper canons
- Les hommes pas barbu avant 30 ans
- La peau aussi douce que celle d'un bébé
- Les étudiantes en jupes super courtes
- La langue japonaise
- Narutrou !
- etc ...
Et malgré tout ça, ils s'en lassent et se suicide plus que partout ailleurs !
Vu ta vision idyllique du Japon, tu serais probablement le premier à t'y jeter

Posté mercredi 14 janvier 2009 à 13:48 (#2934)
Citation
Qui veut le meilleur job du monde?

Hamilton island, dans le Queensland
INSOLITE - Ile paradisiaque cherche gardien. Salaire 150.000 dollars. Prévoir crème solaire...
On avoue, on a beaucoup hésité avant de faire passer l'info… Flâner pendant six mois sur une île tropicale pour un salaire plus qu'alléchant. C'est le «meilleur job au monde», que propose l'Etat australien du Queensland, dans le cadre d'une campagne de promotion touristique.
Hormis son salaire de 150.000 dollars australiens (76.000 euros), le lauréat bénéficiera aussi d'un billet d'avion depuis son domicile jusqu'à l'île de Hamilton, sur la Grande barrière de corail, a indiqué mardi le gouvernement de l'Etat du Queensland. En échange, «le gardien de l'île» aura pour mission de se balader sur les plages de sable blanc, explorer les fonds sous-marins, effectuer quelques «menus travaux» et alimenter chaque semaine un blog avec photos et vidéos.
Bon communiquant et bon nageur
L'heureux élu, qui sera logé dans une villa de trois chambres avec piscine et golf, doit être bon nageur, excellent communicant et capable de lire et écrire en anglais. «Il faudra aussi de temps en temps parler aux médias de ce qui se passe sur l'île. Les candidats ne doivent donc pas être trop timides, ils doivent aimer la mer, le soleil, les activités de plein air», a déclaré le Premier ministre par intérim du Queensland, Paul Lucas, qualifiant cette offre «de meilleur job au monde».
Il a également expliqué que cette initiative s'inscrivait dans le cadre d'une campagne destinée à préserver l'industrie touristique du Queensland, qui pèse 18 milliards de dollars, pendant la crise économique actuelle. Les candidatures, valables depuis tous les pays du monde sur le site www.islandreefjob.com, sont ouvertes jusqu'au 22 février. Début mai, une sélection finale aura lieu sur l'île d'Hamilton avec onze candidats. Le gagnant se «mettra au travail» à partir du 1er juin. Bonne chance à tous…nous on est déjà inscrits!

Hamilton island, dans le Queensland
INSOLITE - Ile paradisiaque cherche gardien. Salaire 150.000 dollars. Prévoir crème solaire...
On avoue, on a beaucoup hésité avant de faire passer l'info… Flâner pendant six mois sur une île tropicale pour un salaire plus qu'alléchant. C'est le «meilleur job au monde», que propose l'Etat australien du Queensland, dans le cadre d'une campagne de promotion touristique.
Hormis son salaire de 150.000 dollars australiens (76.000 euros), le lauréat bénéficiera aussi d'un billet d'avion depuis son domicile jusqu'à l'île de Hamilton, sur la Grande barrière de corail, a indiqué mardi le gouvernement de l'Etat du Queensland. En échange, «le gardien de l'île» aura pour mission de se balader sur les plages de sable blanc, explorer les fonds sous-marins, effectuer quelques «menus travaux» et alimenter chaque semaine un blog avec photos et vidéos.
Bon communiquant et bon nageur
L'heureux élu, qui sera logé dans une villa de trois chambres avec piscine et golf, doit être bon nageur, excellent communicant et capable de lire et écrire en anglais. «Il faudra aussi de temps en temps parler aux médias de ce qui se passe sur l'île. Les candidats ne doivent donc pas être trop timides, ils doivent aimer la mer, le soleil, les activités de plein air», a déclaré le Premier ministre par intérim du Queensland, Paul Lucas, qualifiant cette offre «de meilleur job au monde».
Il a également expliqué que cette initiative s'inscrivait dans le cadre d'une campagne destinée à préserver l'industrie touristique du Queensland, qui pèse 18 milliards de dollars, pendant la crise économique actuelle. Les candidatures, valables depuis tous les pays du monde sur le site www.islandreefjob.com, sont ouvertes jusqu'au 22 février. Début mai, une sélection finale aura lieu sur l'île d'Hamilton avec onze candidats. Le gagnant se «mettra au travail» à partir du 1er juin. Bonne chance à tous…nous on est déjà inscrits!


Posté mercredi 14 janvier 2009 à 16:50 (#2935)
Citation
Qui veut le meilleur job du monde?
En voila qui ont trouvé comment redynamiser leur province

Après la question est de savoir avec quoi il a droit de chasser les envahisseurs qui doivent être d'un nombre non négligeable en été : gros plombs ou lance-harpon ?


Posté mercredi 14 janvier 2009 à 17:25 (#2936)
Citation
Astérix : la fille d'Uderzo furieuse contre Hachette Livre
La « sœur » d’Astérix voit le ciel lui tomber sur la tête : en cause la mainmise d’Hachette Livre sur la maison d’édition Albert-René.
Attention, cette histoire est bien plus compliquée et moins drôle qu’une aventure du petit Gaulois intrépide. Sylvie Uderzo, la fille du dessinateur d’Astérix, est très en colère depuis qu’Hachette Livre possède 60% des éditions Albert-René (créée par le scénariste René Goscinny, mort en 1977 et Albert Uderzo, 81 ans). Elle en possède 40%.
En effet, la décision par le groupe majoritaire de faire survivre Astérix, après la mort d’Uderzo, elle ne décolère pas. Pis, dans une tribune du Monde daté de jeudi, elle parle d’une "manipulation destinée à changer le cours naturel des choses. Aujourd'hui, j'entre en résistance. Pourquoi ? Parce qu'Astérix est mon frère de papier".
"Je me battrai donc, non pas contre mon père, mais pour préserver tout ce qui l'a fait, tout ce qui l'a animé : son oeuvre imaginée à quatre mains avec René Goscinny", poursuit-elle. "Je me retrouve à entrer en lutte contre, peut-être, les pires ennemis d'Astérix : les hommes de l'industrie et de la finance. Ceux qui ont poussé mon père à renier toutes les valeurs avec lesquelles il m'a éduquée : l'indépendance, la fraternité, la convivialité et la résistance."
Autant dire qu’il va lui falloir une sacrée ration de potion magique dans cette bagarre qui s’annonce d’ores et déjà difficile.
D’autres héros de bandes-dessinées ont survécu avec plus ou moins de bonheur à la mort de leurs créateurs : Blake et Mortimer d’Edgar P. Jacobs pour le meilleur… Lucky Luke de Morris et Goscinny pour le moins bon.
La « sœur » d’Astérix voit le ciel lui tomber sur la tête : en cause la mainmise d’Hachette Livre sur la maison d’édition Albert-René.
Attention, cette histoire est bien plus compliquée et moins drôle qu’une aventure du petit Gaulois intrépide. Sylvie Uderzo, la fille du dessinateur d’Astérix, est très en colère depuis qu’Hachette Livre possède 60% des éditions Albert-René (créée par le scénariste René Goscinny, mort en 1977 et Albert Uderzo, 81 ans). Elle en possède 40%.
En effet, la décision par le groupe majoritaire de faire survivre Astérix, après la mort d’Uderzo, elle ne décolère pas. Pis, dans une tribune du Monde daté de jeudi, elle parle d’une "manipulation destinée à changer le cours naturel des choses. Aujourd'hui, j'entre en résistance. Pourquoi ? Parce qu'Astérix est mon frère de papier".
"Je me battrai donc, non pas contre mon père, mais pour préserver tout ce qui l'a fait, tout ce qui l'a animé : son oeuvre imaginée à quatre mains avec René Goscinny", poursuit-elle. "Je me retrouve à entrer en lutte contre, peut-être, les pires ennemis d'Astérix : les hommes de l'industrie et de la finance. Ceux qui ont poussé mon père à renier toutes les valeurs avec lesquelles il m'a éduquée : l'indépendance, la fraternité, la convivialité et la résistance."
Autant dire qu’il va lui falloir une sacrée ration de potion magique dans cette bagarre qui s’annonce d’ores et déjà difficile.
D’autres héros de bandes-dessinées ont survécu avec plus ou moins de bonheur à la mort de leurs créateurs : Blake et Mortimer d’Edgar P. Jacobs pour le meilleur… Lucky Luke de Morris et Goscinny pour le moins bon.


Posté mercredi 14 janvier 2009 à 19:29 (#2937)
Citation
Sarkozy a été un «député fainéant»
Nicolas Sarkozy, qui a raillé la semaine dernière les «rois fainéants», sans citer nommément Jacques Chirac, a été un «député fainéant», a affirmé mercredi l e député René Dosière (app. PS), spécialiste du budget de l’Elysée.
«Lui en tout cas a été un député fainéant. En tout et pour tout, il a parlé moins d’une heure dans l’hémicycle pendant les 12 années où il a été député mais il a été payé à temps complet!», a déclaré à l’AFP l’élu de l’Aisne.
«Les compromis, l’écoute de l’autre, on comprend mieux pourquoi il ne sait pas faire: il n’a pas la culture du député. Il a peu d’expérience législative donc il n’apprécie pas que le Parlement discute librement. Il ne comprend pas les procédures», a-t-il ajouté.
Dans un communiqué ironiquement intitulé «Les exploits parlementaires de Nicolas Sarkozy», M. Dosière indique que le chef de l’Etat n’a pas siégé 20 ans à l’Assemblée nationale comme il l’avait affirmé lors des voeux aux parlementaires mais seulement «12 ans», sur les périodes 1988-1993 et 1995-2002.
En réalité, M. Sarkozy a été député des Hauts-de-Seine deux mois et demi supplémentaires, entre le 13 mars et le 2 juin 2005, date à laquelle il était devenu numéro deux du gouvernement Villepin.
Durant ces années, poursuit M. Dosière, il n’a participé à «aucun débat parlementaire», «n’a déposé aucun amendement» et «sa présence à l’Assemblée se résume à 10 interventions brèves: deux questions au gouvernement, soit quatre minutes, huit interventions de cinq à dix minutes, soit au total moins d’une heure de parole en 12 ans de vie parlementaire!».
«Pendant de nombreuses années, en 1988, 1991, 1992, 1993, 2000, 2001, 2002, on ne trouve aucune trace de sa présence à l’Assemblée. C’est dire à quel point son expérience parlementaire est faible, pour ne pas dire plus», souligne-t-il.
«Si chaque député prenait exemple sur lui, alors l’Assemblée nationale deviendrait inutile», ironise-t-il avant de lancer: «pour parodier Clemenceau, gloire aux députés qui parlent, honte aux députés qui se taisent».
Nicolas Sarkozy, qui a raillé la semaine dernière les «rois fainéants», sans citer nommément Jacques Chirac, a été un «député fainéant», a affirmé mercredi l e député René Dosière (app. PS), spécialiste du budget de l’Elysée.
«Lui en tout cas a été un député fainéant. En tout et pour tout, il a parlé moins d’une heure dans l’hémicycle pendant les 12 années où il a été député mais il a été payé à temps complet!», a déclaré à l’AFP l’élu de l’Aisne.
«Les compromis, l’écoute de l’autre, on comprend mieux pourquoi il ne sait pas faire: il n’a pas la culture du député. Il a peu d’expérience législative donc il n’apprécie pas que le Parlement discute librement. Il ne comprend pas les procédures», a-t-il ajouté.
Dans un communiqué ironiquement intitulé «Les exploits parlementaires de Nicolas Sarkozy», M. Dosière indique que le chef de l’Etat n’a pas siégé 20 ans à l’Assemblée nationale comme il l’avait affirmé lors des voeux aux parlementaires mais seulement «12 ans», sur les périodes 1988-1993 et 1995-2002.
En réalité, M. Sarkozy a été député des Hauts-de-Seine deux mois et demi supplémentaires, entre le 13 mars et le 2 juin 2005, date à laquelle il était devenu numéro deux du gouvernement Villepin.
Durant ces années, poursuit M. Dosière, il n’a participé à «aucun débat parlementaire», «n’a déposé aucun amendement» et «sa présence à l’Assemblée se résume à 10 interventions brèves: deux questions au gouvernement, soit quatre minutes, huit interventions de cinq à dix minutes, soit au total moins d’une heure de parole en 12 ans de vie parlementaire!».
«Pendant de nombreuses années, en 1988, 1991, 1992, 1993, 2000, 2001, 2002, on ne trouve aucune trace de sa présence à l’Assemblée. C’est dire à quel point son expérience parlementaire est faible, pour ne pas dire plus», souligne-t-il.
«Si chaque député prenait exemple sur lui, alors l’Assemblée nationale deviendrait inutile», ironise-t-il avant de lancer: «pour parodier Clemenceau, gloire aux députés qui parlent, honte aux députés qui se taisent».
Posté jeudi 15 janvier 2009 à 10:41 (#2938)
Citation
Astérix : la fille d'Uderzo furieuse contre Hachette Livre
La « sœur » d’Astérix voit le ciel lui tomber sur la tête : en cause la mainmise d’Hachette Livre sur la maison d’édition Albert-René.
[...]
En effet, la décision par le groupe majoritaire de faire survivre Astérix, après la mort d’Uderzo, elle ne décolère pas. Pis, dans une tribune du Monde daté de jeudi, elle parle d’une "manipulation destinée à changer le cours naturel des choses. Aujourd'hui, j'entre en résistance. Pourquoi ? Parce qu'Astérix est mon frère de papier".
[...]
D’autres héros de bandes-dessinées ont survécu avec plus ou moins de bonheur à la mort de leurs créateurs : Blake et Mortimer d’Edgar P. Jacobs pour le meilleur… Lucky Luke de Morris et Goscinny pour le moins bon.
La « sœur » d’Astérix voit le ciel lui tomber sur la tête : en cause la mainmise d’Hachette Livre sur la maison d’édition Albert-René.
[...]
En effet, la décision par le groupe majoritaire de faire survivre Astérix, après la mort d’Uderzo, elle ne décolère pas. Pis, dans une tribune du Monde daté de jeudi, elle parle d’une "manipulation destinée à changer le cours naturel des choses. Aujourd'hui, j'entre en résistance. Pourquoi ? Parce qu'Astérix est mon frère de papier".
[...]
D’autres héros de bandes-dessinées ont survécu avec plus ou moins de bonheur à la mort de leurs créateurs : Blake et Mortimer d’Edgar P. Jacobs pour le meilleur… Lucky Luke de Morris et Goscinny pour le moins bon.
Voilà encore un article écrit avec les pieds. Dans cette histoire, ce que je ne comprends pas, c'est le rôle d'Albert Uderzo lui-même. Hachette n'est pas propriétaire du personnage d'Astérix et ne peut pas décider unilatéralement de l'avenir du perosnnage. Ca veut donc bien dire qu'Uderzo, et les héritiers de Goscinny, ont probablement donné leur accord.
D'ailleurs, un personnage de BD peut très bien survivre à son auteur. L'exemple de Lucky Luke est très proche : à l'image des derniers Asterix, les trois derniers Lucky Luke étaient vraiment très faibles ; la reprise de la série par Achdé et Gerra lui a redonné un nouveau souffle (même si ça n'égale pas la période Goscinny). Concernant Blake et Mortimer, je n'ai jamais lu la série et je ne peux pas juger. En revanche, l'auteur oublie complètement de citer Spirou qui a changé un grand nombre de fois de plume (et survivre à Franquin, c'est autre chose que survivre à Uderzo).
Citation
Sarkozy a été un «député fainéant»
Nicolas Sarkozy, qui a raillé la semaine dernière les «rois fainéants», sans citer nommément Jacques Chirac, a été un «député fainéant», a affirmé mercredi l e député René Dosière (app. PS), spécialiste du budget de l’Elysée.
Nicolas Sarkozy, qui a raillé la semaine dernière les «rois fainéants», sans citer nommément Jacques Chirac, a été un «député fainéant», a affirmé mercredi l e député René Dosière (app. PS), spécialiste du budget de l’Elysée.
Là, je trouve l'argument légèrement fallacieux, et surtout mal utilisé. Certes Sarkozy a été un député passif pendant 12 ans, mais il a été ministre et maire de Neuilly durant la même période. A mon avis le cas Sarkozy n'est pas le modèle du roi fainéant, mais plutôt l'exemple-type de la nécessité d'interdire le cumul des mandats.
Jean-Philippe - Retrouvez vos génériques préférés sur mon blog "Un générique, un autre jour"
Posté jeudi 15 janvier 2009 à 14:53 (#2939)
Mort à 80 ans de Patrick McGoohan, alias "Le Prisonnier"
LOS ANGELES - L'acteur Patrick McGoohan, rendu célèbre par les séries télévisées "Destination Danger" mais surtout "Le Prisonnier" dans les années 1950 et 1960, est mort à l'âge de 80 ans, a annoncé mercredi son agent.
Né à New York mais ayant grandi en Irlande et en Angleterre, McGoohan avait récemment reçu deux nouvelles propositions de rôles au cinéma, mais est décédé mardi à son domicile de Los Angeles après une brève maladie, a indiqué Sharif Ali à Reuters.
"Il était dynamique, pas encore juste bon pour la retraite. Il est resté occupé jusqu'au bout", a déclaré Ali.
Interprétant fréquemment des personnages colériques ou malfaisants, McGoohan a été récompensé par deux Emmy Awards pour ses rôles d'assassins dans la série télévisée "Colombo", et avait également joué le rôle de l'impitoyable Roi Edouard d'Angleterre dans "Braveheart", de Mel Gibson.
Il s'était fait connaître en Angleterre avec le rôle de John Drake, le héros agent secret de la série "Destination Danger", diffusée durant trois ans en Grande-Bretagne avant d'être exportée aux Etats-Unis.
Après l'arrêt de cette série, McGoohan avait écrit, produit et interprété "Le Prisonnier", une série d'espionnage aux accents métaphysiques où il interprétait un ancien agent secret, connu sous le seul nom de "Numéro 6", emprisonné dans un étrange village dont les dirigeants s'efforçaient de briser sa volonté.
Seuls 17 épisodes avaient été réalisés, mais cela avait suffi à faire de la série un objet de culte grâce à sa complexité mais aussi à une multitude de trouvailles visuelles marquantes, comme le grand ballon translucide qui poursuivait les fugitifs du village.
McGoohan avait par la suite interprété le directeur de prison opposé à Clint Eastwood dans "L'Évadé d'Alcatraz" de Don Siegel, ou un scientifique dans "Scanners" de David Cronenberg.
Steve Gorman, version française Gregory Schwartz
source
Patricia Kaas représentera la France à l'Eurovision !
Mais bon sang mais c'est bien sûr ! Avouez-le, il fallait y penser : pour tenter de bien figurer dans le classement de l'Eurovision (par bien, entendez : moins pire que 23e sur 24 nations), pourquoi ne pas faire appel à... des artistes reconnus ?!
Exit l'expérimental Sébastien Tellier, les fantasques Picards, Virginie Pouchain (vous l'aviez déjà oubliée, celle-là, hein ?), Ortal (non, non, n'essayez pas de vous souvenir, ce serait fatal à votre santé mentale), etc.
C'est donc Patricia Kaas, qui effectue un retour fracassant sur le devant de la scène avec le "show" musical de son album Kabaret, un opus surprenant qui cartonne.
Si on ignore encore quel sera le titre qu'elle interprétera, on sait qu'il s'agira d'une chanson composée par le producteur-compositeur vedette François Bernheim, qui avait signé pour elle Mon mec à moi.
Le choix d'une telle ambassadrice - une vraie mise en danger pour une artiste confirmée, et peu s'y risquent -, outre le bénéfice de sa notoriété déjà établie, est stratégique au plus haut point : eh oui, figurez-vous que la finale du concours de l'Eurovision se déroulera le 16 mai prochain à... Moscou !
Et alors, nous direz-vous ? Et alors, voilà : Patricia Kaas, qui a connu un gros passage à vide en France, déchaîne les foules dans les pays de l'Est et tout particulièrement en... Russie, où elle a d'ailleurs signé un duo avec un groupe maison (Uma2rman) ! Peu avant la finale du Concours, la chanteuse, qui est par ailleurs égérie d'une des plus grandes enseignes de cosmétiques russes, sera en tournée en Ukraine. De là à ce que la passion des fans fasse grimper le compteur de la France, il n'y a qu'un pas.
On frise le lobbying, mais si c'est à ce prix que la France peut, exceptionnellement, entrer dans le Top Ten, alors...
Il ne nous reste plus qu'à apprendre comment on dit "Patricia Kaas, ten points" en russe.
LOS ANGELES - L'acteur Patrick McGoohan, rendu célèbre par les séries télévisées "Destination Danger" mais surtout "Le Prisonnier" dans les années 1950 et 1960, est mort à l'âge de 80 ans, a annoncé mercredi son agent.
Né à New York mais ayant grandi en Irlande et en Angleterre, McGoohan avait récemment reçu deux nouvelles propositions de rôles au cinéma, mais est décédé mardi à son domicile de Los Angeles après une brève maladie, a indiqué Sharif Ali à Reuters.
"Il était dynamique, pas encore juste bon pour la retraite. Il est resté occupé jusqu'au bout", a déclaré Ali.
Interprétant fréquemment des personnages colériques ou malfaisants, McGoohan a été récompensé par deux Emmy Awards pour ses rôles d'assassins dans la série télévisée "Colombo", et avait également joué le rôle de l'impitoyable Roi Edouard d'Angleterre dans "Braveheart", de Mel Gibson.
Il s'était fait connaître en Angleterre avec le rôle de John Drake, le héros agent secret de la série "Destination Danger", diffusée durant trois ans en Grande-Bretagne avant d'être exportée aux Etats-Unis.
Après l'arrêt de cette série, McGoohan avait écrit, produit et interprété "Le Prisonnier", une série d'espionnage aux accents métaphysiques où il interprétait un ancien agent secret, connu sous le seul nom de "Numéro 6", emprisonné dans un étrange village dont les dirigeants s'efforçaient de briser sa volonté.
Seuls 17 épisodes avaient été réalisés, mais cela avait suffi à faire de la série un objet de culte grâce à sa complexité mais aussi à une multitude de trouvailles visuelles marquantes, comme le grand ballon translucide qui poursuivait les fugitifs du village.
McGoohan avait par la suite interprété le directeur de prison opposé à Clint Eastwood dans "L'Évadé d'Alcatraz" de Don Siegel, ou un scientifique dans "Scanners" de David Cronenberg.
Steve Gorman, version française Gregory Schwartz
source
Patricia Kaas représentera la France à l'Eurovision !
Mais bon sang mais c'est bien sûr ! Avouez-le, il fallait y penser : pour tenter de bien figurer dans le classement de l'Eurovision (par bien, entendez : moins pire que 23e sur 24 nations), pourquoi ne pas faire appel à... des artistes reconnus ?!
Exit l'expérimental Sébastien Tellier, les fantasques Picards, Virginie Pouchain (vous l'aviez déjà oubliée, celle-là, hein ?), Ortal (non, non, n'essayez pas de vous souvenir, ce serait fatal à votre santé mentale), etc.
C'est donc Patricia Kaas, qui effectue un retour fracassant sur le devant de la scène avec le "show" musical de son album Kabaret, un opus surprenant qui cartonne.
Si on ignore encore quel sera le titre qu'elle interprétera, on sait qu'il s'agira d'une chanson composée par le producteur-compositeur vedette François Bernheim, qui avait signé pour elle Mon mec à moi.
Le choix d'une telle ambassadrice - une vraie mise en danger pour une artiste confirmée, et peu s'y risquent -, outre le bénéfice de sa notoriété déjà établie, est stratégique au plus haut point : eh oui, figurez-vous que la finale du concours de l'Eurovision se déroulera le 16 mai prochain à... Moscou !
Et alors, nous direz-vous ? Et alors, voilà : Patricia Kaas, qui a connu un gros passage à vide en France, déchaîne les foules dans les pays de l'Est et tout particulièrement en... Russie, où elle a d'ailleurs signé un duo avec un groupe maison (Uma2rman) ! Peu avant la finale du Concours, la chanteuse, qui est par ailleurs égérie d'une des plus grandes enseignes de cosmétiques russes, sera en tournée en Ukraine. De là à ce que la passion des fans fasse grimper le compteur de la France, il n'y a qu'un pas.
On frise le lobbying, mais si c'est à ce prix que la France peut, exceptionnellement, entrer dans le Top Ten, alors...
Il ne nous reste plus qu'à apprendre comment on dit "Patricia Kaas, ten points" en russe.
Posté jeudi 15 janvier 2009 à 15:51 (#2940)
Citation
Ségolène Royal à l'investiture de Barack Obama
Ségolène Royal, l'ancienne candidate à la présidence, a indiqué lors d'une conférence de presse, qu'elle serait présente le 20 janvier à Washington pour assister à l'investiture de Barack Obama.
Le 20 janvier est devenu la date clé de ce mois de janvier 2009. Ce jour, Barack Obama prendra officiellement ses nouvelles fonctions et sera pleinement désigné président des Etats-Unis. Cette passation de pouvoir entre lui et le président sortant George W. Bush, est très attendue et entrera dans l'histoire. Alors que les people américains se pressent et indiquent qu'ils seront présents ce jour j, certains Français se manifestent. Et il semblerait que cela soit Ségolène Royal, la malchanceuse des élections, qui ait dégainé la première. Elle a en effet indiqué lundi lors d'une conférence de presse à Poitiers, qu'elle sera présente le 20 janvier prochain, à Washington, pour assister à cet instant historique.
La visite de Ségolène Royal n'a rien d'officiel. Cette dernière séjournera dans une "famille" de sa connaissance, et "n'a pas de programme bien arrêté". Elle partira dès ce samedi et rentrera le jeudi suivant de ce périple américain. Elle devrait néanmoins avoir eu le temps au passage de rencontrer quelques économistes de la nouvelle équipe de Barack Obama. Ségolène Royal avait marqué dès le début sa préférence politique pour le candidat Obama, même face à Hillary Clinton. Lors des vœux qu'elle a présentés à la presse ce lundi, elle a ainsi déclaré : " Quand je regarde de près ce que prépare Barack Obama sur le plan de relance dans son pays, je vois à l'avant-garde de ce plan: l'éducation, la formation, l'innovation, l'environnement, des leviers essentiels pour sortir de la crise. Des thèmes que nous proposons en région, ce à quoi nous croyons. Ce sont les véritables leviers d'un autre modèle de développement."
On pourra donc voir Ségolène Royal dans la foule amassée devant la Maison Blanche, mardi prochain. Elle devra, ce jour-là, préféré le slogan Yes We Can à Fraternité.
Ségolène Royal, l'ancienne candidate à la présidence, a indiqué lors d'une conférence de presse, qu'elle serait présente le 20 janvier à Washington pour assister à l'investiture de Barack Obama.
Le 20 janvier est devenu la date clé de ce mois de janvier 2009. Ce jour, Barack Obama prendra officiellement ses nouvelles fonctions et sera pleinement désigné président des Etats-Unis. Cette passation de pouvoir entre lui et le président sortant George W. Bush, est très attendue et entrera dans l'histoire. Alors que les people américains se pressent et indiquent qu'ils seront présents ce jour j, certains Français se manifestent. Et il semblerait que cela soit Ségolène Royal, la malchanceuse des élections, qui ait dégainé la première. Elle a en effet indiqué lundi lors d'une conférence de presse à Poitiers, qu'elle sera présente le 20 janvier prochain, à Washington, pour assister à cet instant historique.
La visite de Ségolène Royal n'a rien d'officiel. Cette dernière séjournera dans une "famille" de sa connaissance, et "n'a pas de programme bien arrêté". Elle partira dès ce samedi et rentrera le jeudi suivant de ce périple américain. Elle devrait néanmoins avoir eu le temps au passage de rencontrer quelques économistes de la nouvelle équipe de Barack Obama. Ségolène Royal avait marqué dès le début sa préférence politique pour le candidat Obama, même face à Hillary Clinton. Lors des vœux qu'elle a présentés à la presse ce lundi, elle a ainsi déclaré : " Quand je regarde de près ce que prépare Barack Obama sur le plan de relance dans son pays, je vois à l'avant-garde de ce plan: l'éducation, la formation, l'innovation, l'environnement, des leviers essentiels pour sortir de la crise. Des thèmes que nous proposons en région, ce à quoi nous croyons. Ce sont les véritables leviers d'un autre modèle de développement."
On pourra donc voir Ségolène Royal dans la foule amassée devant la Maison Blanche, mardi prochain. Elle devra, ce jour-là, préféré le slogan Yes We Can à Fraternité.


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