Sharemanga: Le fait du jour ! - Sharemanga

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Le fait du jour ! qu'est ce qui vous a marqué dans l'actualité du moment ?

Posté jeudi 23 octobre 2008 à 10:38 (#2686) L'utilisateur est hors-ligne   Thirqual 

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Aux USA la consommation d'alcool est interdite aux moins de 21 ans. Pourtant dans les lycées (je veux même pas parler des colleges), ça se pinte sans aucun soucis. Cherchez l'erreur.
Le pays-emblème du binge drinking c'est le Royaume-Uni... allez un petit coup de google pour voir la législation au pays du libéralisme !

On peut aussi faire un ch'ti parallèle avec les armes à feu : yen a énormément en France (en particulier à cause de la chasse, très populaire par rapport aux autres pays européens, et encore des restes de la seconde guerre mondiale), et la législation est pas contraignante (par rapport au Royaume-Uni, tiens) mais la plupart des morts sont dûs à des suicides.

Lois =/= comportement, c'est un peu trop dur pour Bachelot et Cie.

Allez une petite news sur le crime de lèse-majesté du jour :

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Nicolas Sarkozy veut neutraliser sa poupée vaudoue


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Après avoir porté plainte, jeudi 16 octobre, contre l'ancien patron des renseignements généraux, Yves Bertrand, le chef de l'Etat avait demandé, le lendemain, le retrait des librairies d'un manuel vaudou assorti d'une poupée à son effigie, paru le 9 octobre aux éditions K & B.

Le kit, tiré à 20 000 exemplaires, comprend une biographie satirique, une figurine en tissu et des aiguilles que l'acheteur est invité à planter dans le torse ou les jambes du président, agrémentés de morceaux choisis : "Travailler plus pour gagner plus", "talonnettes", "Bigard"... La version Ségolène Royal ("Ordre juste", "Vive le Québec libre") est sortie le même jour, à 12 000 exemplaires.

Ni l'ancienne candidate à la présidentielle ni son vainqueur n'ont pris goût à l'humour de ces kits vaudous. L'avocat du chef de l'Etat, Thierry Herzog, a adressé un courrier aux éditeurs le 16 octobre, leur demandant de "cesser immédiatement toute diffusion de la figurine". "Nicolas Sarkozy me charge de vous rappeler qu'il a sur son image, quels que soient son statut et sa notoriété, un droit exclusif et absolu", écrit l'avocat.

Le représentant de Mme Royal, Jean-Pierre Mignard, évoque une "atteinte à la dignité de la personne humaine" et affirme que sa cliente envisage une action en justice.

K & B juge la demande de retirer les livres de la vente "totalement disproportionnée". Me Herzog nous a indiqué, lundi, qu'en l'absence de réponse des éditeurs il donnerait rapidement "la suite nécessaire à cette affaire".

Le chef de l'Etat parle plus aisément le langage des tribunaux que celui des sorciers. Le 30 janvier, il avait déposé deux référés à l'encontre de la compagnie aérienne Ryanair, qui avait utilisé une photo de lui avec sa femme, Carla Bruni-Sarkozy, à des fins publicitaires. Le 7 février, il avait porté plainte contre le site Internet du Nouvel Observateur, après la parution d'un article qui mentionnait un prétendu SMS adressé à son ex-femme, Cécilia Ciganer-Albéniz.
Clara Georges


Source Le Monde.
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Hitoshiku horobi o ataen koto o ! DRAGON SLAYERS !!!

Posté vendredi 24 octobre 2008 à 12:13 (#2687) L'utilisateur est hors-ligne   Morpheus14 

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Un violeur récidiviste remis en liberté, l'Etat poursuivi pour "faute lourde"

Les avocats des victimes d'un violeur présumé, remis en liberté en raison d'une erreur d'écriture de la cour d'appel de Paris, vont attaquer l'Etat pour "faute lourde du service public de la justice", ont-ils annoncé vendredi 24 octobre.
"C'est un dysfonctionnement majeur, rarissime, de remettre en liberté en homme dangereux, et on n'a aucune réaction du ministère de la justice", a déclaré à l'AFP Me Henri de Beauregard, avocat d'une partie civile. Il a précisé que l'assignation doit être délivrée devant le tribunal de grande instance de Paris en début de semaine prochaine. "Tout le monde s'en émeut, sauf la garde des sceaux", a-t-il ajouté.

C'est une faute de frappe qui est à l'origine de cette remise en liberté : "la cour infirme" au lieu de "confirme". Le président de la chambre d'instruction a signé sans grande attention l'arrêt un arrêt de la cour d'appel de Paris qui prévoyait, à l'origine, le maintien en détention d'un violeur récidiviste, la considérant comme "l'unique moyen d'éviter tout renouvellement des infractions".

L'avocat du suspect n'a pas laissé passer cette erreur survenue le 17 octobre. "Le président [de la chambre de l'instruction] a signé cet arrêt que l'on est donc obligé d'exécuter", a-t-on indiqué au parquet général, selon qui il n'existe aucun recours. Le juge d'instruction chargé de l'affaire à Créteil (Val-de-Marne) a seulement pu prendre une ordonnance de contrôle judiciaire très stricte. L'homme de 48 ans, libéré jeudi 24 octobre, est obligé de pointer au commissariat, de rendre son passeport et il lui est interdit de s'approcher de ses victimes.
Grand amateur de tango, Jorge Montes avait l'habitude de draguer ses proies lors de soirées dansantes. Ce Français d'origine uruguayenne est soupçonné d'avoir séquestré pendant deux semaines et violé une jeune femme au printemps 2006, puis d'en avoir violé une autre quelques jours plus tard sous la menace d'un couteau. Il avait déjà été condamné en 2007 pour des violences et agressions sexuelles à l'encontre de sa compagne. Sans domicile fixe, il avait été placé en détention provisoire en juin pour ne pas avoir respecté le contrôle judiciaire qui lui avait été imposé dans un premier temps.

Le parquet de Créteil a requis mercredi son renvoi devant les assises pour viols, enlèvement et séquestration, selon l'avocat d'une des deux victimes présumées.


:ermm:

Posté vendredi 24 octobre 2008 à 13:28 (#2688) L'utilisateur est hors-ligne   Vashu-San 

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Les Schtroumpfs soufflent 50 bougies

Nés en 1958 sous la plume de Peyo, les 106 petits lutins bleus schtroumpfent leurs 50 ans. Après 25 millions d’albums écoulés en 25 langues, ils fêtent l’événement avec un 26ème album et s’apprêtent à faire leur apparition sur grand écran…

Ils s’appellent Smurfs en anglais, Pitufo en espagnol, Schlumpf en allemand, Dardassim en hébreu, Nam Ching Ling en chinois, Sumafa en japonais… Mais partout, les 106 Schtroumpfs sont tous âgés de 100 ans, tous des petits hommes bleus coiffés d’un bonnet blanc sauf la blonde Schtroumpfette aux genoux rentrés - l’unique "sexe faible" de la bande - et le vénérable Grand Schtroumpf, qui porte bien ses 542 ans et un bonnet rouge.

Ces petits hommes hauts comme trois pommes vivent paisiblement dans un petit village de maisons-champignons, où ils passent leur temps à entretenir un barrage, cueillir la salsepareille et, moins paisiblement, à échapper aux griffes de l’horrible sorcier Gargamel et son maudit chat Azraël.

Affaire de famille

La première aventure des petits lutins bleus a été publiée le 23 octobre 1958 dans Le journal de Spirou, la bible de la BD à l’époque. Ce cinquantième anniversaire est marqué par la sortie d’un 26ème album intitulé Les Schtroumpfs et le livre qui dit tout , dessiné par Pascal Garray et scénarisé par Alain Jost et Thierry Culliford. Ce dernier n’est autre que le fils du créateur des Schtroumpfs, Pierre Culliford alias Peyo.

En 50 ans, les petits lutins ont schtroumpfé 25 albums en 25 langues, dont 15 depuis la mort de Peyo en 1992. Au total, 25 millions d’exemplaires schtroumpfés à travers le monde. La série a atteint son apogée dans les années 1980-90 avec la sortie d’un dessin animé en 272 épisodes schtroumpfés sur les télés du monde entier. Plusieurs centaines de millions de vidéos, DVD, figurines et timbres ont été écoulés. Sans compter les produits dérivés allant des bonbons Haribo aux céréales Kellog’s en passant par le Coca-Cola, schtroumpfés à l’effigie des nains bleus.

Dernier projet en date, Hollywood s’apprête à schtroumpfer un film mêlant animation et acteurs réels. Aucune date de sortie n’a pour l’instant été avancée.

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Posté samedi 25 octobre 2008 à 10:43 (#2689) L'utilisateur est hors-ligne   Thirqual 

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Ça, c'est la carte de la zone où le gouvernement fédéral américain a le pouvoir d'arrêter et de fouiller les gens (citoyens américains ou pas) arbitrairement. Dans cette zone vivent les 2/3 de la population.

Source American Civil Liberties Union
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Posté dimanche 26 octobre 2008 à 22:02 (#2690) L'utilisateur est hors-ligne   Vashu-San 

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La chaîne française Canal+ conjugue le "X" du mois au féminin

Partant du constat que le cinéma pornographique est majoritairement réalisé "pour et par des hommes", la chaîne française Canal+ a confié sa case "X" à six artistes féminines qui passent derrière la caméra.

Lola Doillon, Arielle Dombasle, Mélanie Laurent, Caroline Loeb, Laetitia Masson et Hélèna Noguerra livrent des courts métrages entre érotisme et pornographie, qui seront diffusés à partir de samedi soir et jusqu'en novembre sur la chaîne cryptée.

"Cette fois, c'est le désir tel qu'il peut s'exprimer à travers le regard de la femme qui mène la danse", explique à l'Associated Press la jeune réalisatrice Lola Doillon, qui signe "Se faire prendre au jeu", sans doute le plus cru des six films.

"J'ai voulu montrer comment la jeune fille, au début du film trop fatiguée pour passer à l'acte, s'amuse ensuite du désir né chez son partenaire et le comble finalement en mimant toute la gestuelle qu'il attend d'elle sans l'exprimer", poursuit Lola Doillon.

"Le Bijou indiscret" d'Arielle Dombasle joue sur la symbolique. L'actrice et chanteuse se met en scène à la recherche d'un idéal, avec comme fil rouge un clin d'oeil au tableau "L'Origine du monde" de Courbet.

L'actrice Mélanie Laurent, César du meilleur espoir féminin en 2007, joue la carte de la sophistication et du rapport énigmatique entre voyeurisme et exhibitionnisme avec "A ses pieds".

La réalisatrice Laetitia Masson, auteure de "La Repentie" avec Isabelle Adjani (2004), propose "Enculées", film drôle dans lequel la sodomie devient l'obsession d'une jeune caissière au chômage. En fait, un mini-documentaire sur le rapport que chacun peut avoir à sa propre sexualité.

Caroline Loeb revisite pour sa part les plaisirs saphiques dans "Vous désirez?".

Quant à la chanteuse Hélèna Noguerra, elle signe un "road movie" urbain et coloré où ses personnages Super Girl et Wonder Boy finissent en un trio dans une scène endiablée se déroulant dans un "peep show".

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Posté lundi 27 octobre 2008 à 19:28 (#2691) L'utilisateur est hors-ligne   Iznogoud 

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Je devrais me spécialiser dans la dénonciation de la censure... :huh:

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Des flics à la FIAC


Des policiers en civil ont débarqué vers 17 heures, vendredi 24 octobre à la FIAC, au Grand Palais, sur le stand de la galerie moscovite XL. "Un d'entre eux a tenté de décrocher des photos, raconte l'artiste Gilles Delmas, témoin de la scène, mais comme il n'y parvenait pas, un des assistants de la galerie s'en est chargé. Devant les réactions des visiteurs, les policiers ont dit qu'ils avaient un mandat d'un juge, et que les images sont choquantes."

Il s'agit de photos des performances que l'artiste russe Oleg Kulik a réalisées dans les années 1990. Les performances de Kulik le mettent en scène, nu, avec des animaux (parfois en simulant des actes de zoophilie), dont il entendait partager l'exclusion du monde des humains. "Les policiers ne savaient pas trop quelles photos décrocher, commente le galeriste Sergueï Khripoun. Une dame a choisi d'enlever toutes celles où Kulik figurait nu."

Les galeristes ont été emmenés au commissariat du 8e arrondissement et menottés à un banc. Ils ont été libérés vers 21 heures. "J'avais l'impression d'être dans un film, mais l'attitude des policiers a été correcte, dit Sergueï Khripoun. En Russie, ils nous auraient gardés tout le week-end, et nous auraient sans doute tapés."

C'est la douane française, lors de l'entrée des oeuvres en France, qui a informé le parquet de Paris. Ce dernier a demandé à la police de "faire retirer les photos de la vue d'un public non averti". Le parquet s'appuie sur l'article 227-4 du code pénal, relatif à la diffusion d'images à caractère violent ou pornographique, ou contraires à la dignité humaine et susceptibles d'être vues par des mineurs. Les oeuvres ont été rendues "à la direction de la FIAC".

Martin Bethenod, directeur de la Foire d'art contemporain, a accompagné les exposants durant leur garde à vue, et leur a fait livrer du champagne et un gros bouquet de lys. Ce symbole de la virginité de Marie était posé, samedi 25 octobre, au pied du mur dégarni du stand, comme les Russes le font parfois devant leurs icônes.

Oleg Kulik est un artiste de renommée mondiale. Il fait l'objet d'une rétrospective à la galerie parisienne Rabouan-Moussion. Ses oeuvres figurent dans les collections de l'Etat et il mettra en scène Les Vêpres de la Vierge, de Monteverdi, à partir du 24 janvier 2009 au Théâtre du Châtelet, à Paris.

Source.

ça n'était pas des poupées vaudou, pourtant... :lol:
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Merci à Az` pour la signature.

Posté lundi 27 octobre 2008 à 19:33 (#2692) L'utilisateur est hors-ligne   Morpheus14 

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Bono fait la fête avec de très jeunes femmes

Un journal britannique a publié des photos de Bono, le chanteur de U2, en train de faire la fête avec deux jeunes filles de 19 ans à St-Tropez. Celles-ci auraient été prises le mois dernier lors d'un séjour de l'artiste dans le sud de la France.

Le Daily Mail publie des clichés de Bono, un homme connu pour son image engagée et de bon père de famille, et des filles en bikini. Les photos ont d'abord été prises dans un bar de St-Tropez. Le chanteur a ensuite rejoint les demoiselles sur un yacht pour y poursuivre la fiesta.

Bono s'était rendu en vacances en France en compagnie d'un ami, Simon Carmody, un musicien et un ancien membre du groupe irlandais Golden Horde.

Les deux hommes ont alors rencontré Andrea Feick, une étudiante américaine en mode, et son amie britannique Hannah Emerson à St-Tropez. Feick a révélé au Daily Mail qu'elle connaissait Bono depuis quelques années. Elle affirme toutefois que leur relation n'a jamais dépassé le cadre de l'amitié.

Les deux filles ont posté des photographies de leur séjour en France sur le site Facebook. Feick y avait notamment envoyé un message public destiné à ses amis avant son départ: «Bono et Simon m'ont appelée hier. Ils sont arrivés à Cannes aujourd'hui. Il semble que nous aurons des projets!»

Sur les photos prises au bar Nikki Beach, les deux musiciens et les jeunes femmes, semblent assez proches. Plus tard dans la soirée, Bono les aurait même enlacées alors que tout ce beau monde marchait sur la plage.

Ils sont ensuite montés sur un yacht. Selon le Daily Mail, on croit que le bateau serait le Cyan, la «modeste» embarcation du guitariste de U2 The Edge. Celle-ci vaut plus de 23 millions de dollars canadiens. Plus tard, la fête a continué au Oxybar de St-Tropez.

Selon un ami de Feick, elle aurait connu Bono il y a environ deux ans dans une boîte de nuit située dans le sud de la France. D'après sa page Facebook, elle étudie en mode à Paris.

Quant à Emerson, elle étudie à l'université Reading, écrit-elle sur sa page Facebook.

Bono est marié à sa femme Ali depuis 26 ans. Il a souvent vanté l'amour qu'il avait pour elle. Leur union avait la réputation d'être très solide.

Cliquez ici pour voir des photos de Bono et des jeunes femmes sur le site du Daily Mail


:lol: :huh: :lol:

Posté mardi 28 octobre 2008 à 09:46 (#2693) L'utilisateur est hors-ligne   Vlad 

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Cause toujours...

BOGNY-SUR-MEUSE ENVOYÉE SPÉCIALE

Le candidat Sarkozy leur avait promis de revenir. De ne pas oublier les Ardennes. Près de deux ans après une visite emblématique dans la région de Charleville-Mézières, où il avait rodé son slogan "Travailler plus pour gagner plus", le président de la République a choisi de fouler à nouveau ce "concentré de difficultés". Il devait être à Rethel, mardi 28 octobre, pour présenter ses mesures pour l'emploi.

A Bogny-sur-Meuse, une commune voisine, personne n'a oublié sa première visite. Le 18 décembre 2006, le ministre de l'intérieur se rend aux Ateliers des Janves, une forge dans la vallée de la Meuse qui sous-traite pour l'industrie automobile. Il a décidé d'aller à la rencontre des "couches populaires". Il lui faut investir les usines. Il salue d'abord les ouvriers, discute avec certains, en plein labeur.

"Combien gagnez-vous ?", s'enquiert-il auprès d'un estampeur. "1 200 euros ! Au bout de trente ans. Ce n'est pas assez !", reprend le ministre candidat avant de grimper sur une estrade et de lancer pour la première fois son "Travailler plus pour gagner plus".

Pour les journaux de 20 heures, c'est une belle scène de campagne électorale : les chaînes de télévision montrent une petite foule enthousiaste face au candidat. Pour les gens de la région, c'est une autre affaire. "Sarkozy, c'était une mascarade, du cinéma ! Les gens d'ici n'y ont jamais cru. Il n'a pas gagné avec le vote des ouvriers mais avec celui des électeurs FN", s'emporte le patron du bar-PMU de Bogny-sur-Meuse, habitué à voir défiler dans son café toute la misère de la vallée.


La suite

Juste parceque ça se passe à coté de chez moi, dans les Ardennes profondes, ce département complètement oublié des autorités et qui a dû uniquement servir à nous protéger des attaques belges... Plus sérieusement, je connais un peu ce monde, limite si je connais les gens qui interviennent, et ma famille a travaillé dans cette industrie (je crois même que ma mère a commencé à travailler aux Janves). Bref, je trouve que l'article résume bien la mentalité de ces usines: ils ont pris de plen fouet les différentes crises économiques depuis 30 ans, et leur sort n'a pas l'air de s'améliorer. Les politiques, quels qu'ils soient, viennent faire des discours pour exposer leur plans de relance ou de soutien à l'emploi sans s'en inquieter après leur départ. Les Ardennes ça ne fait pas vendre (d'ailleurs, ceux qui suivent l'actualité connaissent Charleville-Mézières car il y a eu quelques procès pour pédophilie, Fourniret, et les ouvriers qui font grève).

"Twirling 'round with this familiar parabol. Spinning, weaving 'round each new experience. Recognize this as a holy gift and celebrate this chance to be alive and breathing, a chance to be alive and breathing.

Posté mardi 28 octobre 2008 à 15:44 (#2694) L'utilisateur est hors-ligne   Thirqual 

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Rions un peu...

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Peep-show pour tous dans les aéroports ?

Tout nus. Les aéroports de France seront bientôt dotés d’un nouveau dispositif : une cabine à ondes millimétriques dans laquelle entrent les passagers, et qui permet de voir à travers leurs vêtements (voir article de Libé ici). Ainsi, on pourra mieux détecter les métaux, mais aussi les armes en céramique ou en plastique, les explosifs et autres objets interdits dans les avions. La société Visiom qui commercialise cette invention vante les mérites de l’appareil, déjà en service aux Pays-Bas. Il s’agit donc d’une sorte de peep-show, comme il en existe dans les sex-shops.

Trois différences cependant : premièrement, dans les aéroports, ce peep-show sera gratuit, ce qui n’est pas le cas dans les sex-shops; deuxièmement, cette technologie innovante n’est pas forcément faite pour votre plaisir (quoique…); troisièmement, le stripteaseur ou la stripteaseuse… ce sera vous. Pour ma part, j’ai décidé d’écrire à la direction générale de l’aviation civile (DGAC) une petite lettre dont je vous livre ci-dessous la teneur.



Chers responsables de la DGAC

Avant de généraliser le sas d’imagerie à ondes millimétriques, vous avez décidé de mener une expérimentation à Nice. Vous l'avez garanti, les parties génitales devraient être floutées à l’écran, et le corps dénudé du passager ne sera visionné que par une seule personne : un homme si le passager est un homme, une femme si le passager est une femme. La morale et la pudeur sont donc sauves. Je vous en remercie. Evidemment, il y aura sans doute quelques grincheux pour demander comment on s’y prendra pour les transsexuels, transgenres, travestis, queer ou intersexués, dont l’identité résiste justement aux catégories ordinaires de l’administration, et je crains que certaines personnes ne vous demandent comment faire pour éviter toute dérive transphobe.

Mais il faudrait aussi tenir compte de l’orientation sexuelle. En effet, si la bienséance et la vertu exigent que les femmes puissent se soustraire à la concupiscence des agents de sécurité hétérosexuels, je voudrais vous avertir d'une chose : tout le monde n'est pas hétérosexuel. Dès lors, que pensez-vous faire si d’aventure l’un des hommes affectés à ce poste sensible est homosexuel, et notamment homosexuel déclaré ? Ne vaudrait-il pas mieux l’affecter alors au visionnage des femmes nues ? Et s’il s’agit d’une lesbienne, ne vaudrait-il pas mieux l’affecter à la surveillance des hommes dénudés ? En effet, si vous ne prenez pas cette mesure, le personnel homosexuel se verrait avantagé, et pourrait se rincer les yeux gratuitement, contrairement aux employés hétérosexuels, soumis à des normes plus strictes. Ce serait une véritable discrimination hétérophobe !

Cependant, cette solution que je préconise comporterait, je l’avoue, une petite difficulté : alors que d’ordinaire, les femmes sont visionnées par les femmes, si une passagère est examinée par un agent de sexe masculin, elle risque fort de s’en émouvoir, et de demander des explications. Il faudrait alors lui répondre : «Ne vous inquiétez pas, madame, ce monsieur qui vous verra toute nue est homosexuel, et ne peut donc avoir aucun désir pour vous.» Cela pourra sembler vexant, mais il s’agit avant tout de rassurer, n’est-ce pas ? Peut-être même pourrait-on mettre un panneau pour prévenir les passagères : «Agent homosexuel ; visionnage conforme aux normes de bienséance». Qu’en pensez-vous, chers responsables de l’aviation civile ?

Je ne voudrais pas avoir l’air pénible, mais il faudrait également songer au cas délicat des personnes bisexuelles. Ces agents doubles, si j’ose dire, pourraient saliver à la fois devant les hommes et devant les femmes dans la cabine de visionnage. Dès lors, ne faudrait-il pas leur interdire l’accès à ce poste ? Evidemment cette solution radicale pourrait passer pour une discrimination biphobe. Hélas, comme tout cela est compliqué !

Par ailleurs, je ne pense pas seulement aux employés, hommes ou femmes, chargés de visionner les images. Je pense aussi à l’orientation sexuelle des passagers. Il se trouve que je suis homosexuel, et que je vis avec un homme depuis quelques mois. Nous partirons bientôt en vacances ensemble, et je voudrais savoir quelle attitude adopter à l’avenir dans les aéroports français où ce dispositif sera mis en place. Devrais-je accepter que mon partenaire soit dénudé par un agent de sexe masculin ? Je me demande s’il n’est pas gênant pour nous qu’il soit examiné en tenue d’Adam par un homme hétérosexuel, et plus encore par un homme homosexuel. Sans doute vaudrait-il mieux qu’il soit examiné par une femme, si possible lesbienne, pour éviter qu’elle n’éprouve aucun désir à son égard. Et pour rassurer le public, il conviendra d'afficher un autre panneau : «passager homosexuel ; agent lesbienne ; visionnage conforme aux normes de bienséance». Qu’en pensez-vous ?

Evidemment, toutes ces mesures sont un peu embarrassantes, mais si vous voulez aller jusqu’au bout de votre logique, ne sont-elles pas absolument nécessaires ? Chers responsables de l’aviation civile, pourriez-vous me répondre sans tarder ?

Cordialement

Louis-Georges Tin


Source

Pour ceux qui sont pas trop au courant, les nouveaux types de scanners permettent de voir, justement, sous les vêtements. Amusant d'ailleurs comme la résolution a changé sur les sites des fabricants et vendeurs entre les premières annonces (ya 2-3 ans, ça avait été cité sur /.), et maintenant. Etrangement, la résolution a baissé, aha. Et le démon, il met le cadavre dans le cercueil...
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Posté mardi 28 octobre 2008 à 16:01 (#2695) L'utilisateur est hors-ligne   Chris Cool 

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Un coeur artificiel pour pallier la pénurie de dons d'organes
Un prototype de coeur artificiel, conçu par l'entreprise biomédicale Carmat
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CARMAT / SIPA ¦ Un prototype de coeur artificiel, conçu par l'entreprise biomédicale Carmat

Une machine à la place du cœur. L'expression, bientôt, n'aura plus rien de symbolique. Alain Carpentier, spécialiste des greffes cardiaques à l'Hôpital européen Georges Pompidou, a annoncé ce lundi que le projet de cœur artificiel total auquel il travaille depuis quinze ans allait maintenant être produit de façon industrielle pour être implanté «d'ici à deux ans et demi» chez l'homme.

Ce cœur va être réalisé par une entreprise biomédicale, Carmat, émanation du groupe européen de défense et d'aéronautique EADS, qui bénéficie du soutien de la banque publique d'aide aux petites et moyennes entreprises Oséo.

Pallier la pénurie de greffons

Selon Alain Carpentier, les prototypes expérimentaux mis au point par son équipe ont été testés chez l'animal mais «surtout par simulation numérique». «Le cœur artificiel est prêt, il a besoin d'être fabriqué industriellement», a-t-il affirmé. Il a noté que «tous les composants de la prothèse» n'ont fait apparaître aucune «complication d'usure».

Plusieurs équipes dans le monde travaillent à la mise au point d'un cœur artificiel total, qui permettrait de pallier la pénurie de greffons.

Plus besoin d'anticoagulants

Celui d'Alain Carpentier résout le problème essentiel que rencontrent les cœurs artificiels partiels existants, à savoir «la formation de caillots». L'objectif du chercheur est de mettre au point un produit qui permette de se passer d'anticoagulants, indique «Le Monde» dans son édition de mardi.

Ce cœur utilise par ailleurs des matériaux mieux tolérés, «bioprothétiques», qu'Alain Carpentier indique avoir inventés pour des prothèses de valves cardiaques vendues aujourd'hui dans le monde entier, et qui sont fabriqués à partir de «tissus animaux traités chimiquement pour éviter le rejet immunologique».

Un bijou biotechnologique qui a un prix

Il reproduit en outre la physiologie d'un coeur normal, avec les mêmes flux sanguins, la même «hémodynamique».

Un petit bijou biotechnologique qui a un prix. Selon «Le Monde», la société Carmat a déjà réuni plus de 55 millions d'euros, EADS étant le principal investisseur. Et le tour de table n'est pas fini. Reste à savoir combien ce coeur artificiel coûtera à l'assurance-maladie.

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Posté mardi 28 octobre 2008 à 16:16 (#2696) L'utilisateur est hors-ligne   Vashu-San 

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Dix mois de prison avec sursis pour Doc Gynéco

Dix mois de prison avec sursis. Telle est la condamnation reçue par Bruno Beausir, alias Doc Gynéco, après le jugement du tribunal correctionnel de Versailles. L'artiste reçoit cette peine suite à une affaire de fraude fiscale : il n'avait pas payé 356 000 euros d'impôts entre 1999 et 2000. Ayant remboursé l'intégralité de la somme ainsi que des arriérés, soit près de 780 000 euros, il n'a donc finalement pas reçu d'amende.
En marge de cette condamnation, l'artiste aura bientôt une actualité musicale puisqu'il prépare son retour avec un nouvel album, Peace Maker, attendu le 17 novembre et produit par Pierre Sarkozy, fils du président Nicolas Sarkozy. Il comprend notamment un duo avec Johnny Hallyday et quelques autres titres entre hip-hop posé et rap plus percutant.

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Posté mercredi 29 octobre 2008 à 00:26 (#2697) L'utilisateur est hors-ligne   Iznogoud 

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Un mobile au fond des WC, et le TGV s’arrêta


Dimanche après-midi, il est 17 h 10 lorsque le TGV la Rochelle-Paris s’arrête en gare de Surgères (Charente-Maritime). A peine vingt minutes se sont écoulées depuis le départ du train qu’un voyageur se coince malencontreusement le bras dans la cuvette des toilettes de la voiture 15.

Les passagers ne le savent pas encore. De fait, la première annonce faite au haut-parleur reste floue : «L’état de santé d’un passager nécessite l’intervention des pompiers. Nous sommes arrêtés pour une durée indéterminée.» Certains préfèrent descendre du train pour s’en griller une. Dix minutes plus tard, les sirènes. Pas moins de trois véhicules approchent. «Ça y est, ils arrivent», commente un des voyageurs. Un agent SNCF se poste devant la voiture 15 et se met à faire de grands signes. Les pompiers s’engouffrent. Un quart d’heure plus tard, le haut-parleur se remet à grésiller. Tout le monde tend l’oreille. «Un passager s’est coincé le bras dans les toilettes en voulant récupérer son portable tombé dans la cuvette. Nous vous tiendrons au courant dès que nous en saurons plus.» Le ton est sérieux, mais le sourire dans la voix perceptible. Interloqués, les passagers se regardent… et se marrent. Les commentaires, railleurs, fusent : «Après ça, il va y avoir un panneau dans les chiottes : "Il est interdit de récupérer son portable dans la cuvette des toilettes !"» Nombreux sont ceux qui dégainent les téléphones pour raconter l’histoire à leurs proches : «Tu ne vas pas me croire…»

Une heure plus tard, l’affaire est au point mort. Les pompiers n’arrivent pas à dégager le jeune homme. Le wagon est évacué, le circuit électrique coupé. La nuit tombe. Un médecin examine le prisonnier de la cuvette, qui, selon l’un des pompiers, est en train de «craquer». La décision est prise : les toilettes vont être découpées à la scie lapidaire. Le bruit est glaçant. Des odeurs de brûlé et de plastique fondu s’échappent du wagon, ainsi qu’une fumée blanche. «On découpe le bonhomme», plaisante l’un des pompiers. La fin est proche. Un agent SNCF prie les voyageurs de rejoindre leur place, car «après tout ça, vous pouvez comprendre que le monsieur n’a pas vraiment envie de vous voir tous agglutinés ici. On ne veut pas qu’il fasse une crise de nerfs». Soit. Vingt minutes plus tard, l’homme est extirpé du train qui repart aussi sec. Dans l’obscurité, on a juste le temps d’apercevoir l’homme sur une civière, la lunette des toilettes encerclant son bras. «Le jeune homme souffre au niveau du coude mais il n’a pas de fractures», ont précisé les pompiers. L’incident, fâcheux, aura pris plus de deux heures. Si le remboursement des billets est exclu, la SNCF n’y étant pour rien, quelques plateaux-repas sont par la suite proposés, avec une petite précision du contrôleur : «Les femmes et les enfants d’abord, comme dans un naufrage.»

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Merci à Az` pour la signature.

Posté mercredi 29 octobre 2008 à 05:49 (#2698) L'utilisateur est hors-ligne   Anothefan 

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Pour l'anecdote,la news précédente est apparue sur viedemerde.fr à 21h le jour même,ça devait être l'un des premiers sites à relayer l'info si ça se trouve,et c'est pas exactement sa vocation :lol:
Vous ne vous perdrez pas en cliquant ici

Posté mercredi 29 octobre 2008 à 13:44 (#2699) L'utilisateur est hors-ligne   Morpheus14 

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Les plaques d’immatriculation afficheront le département

Les plaques d’immatriculation qui seront délivrées à partir du 1er janvier conserveront un numéro de département et afficheront un logo régional.

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C’EST UN VRAI coup de théâtre. Alors que l’Etat avait, jusqu’à présent, refusé de prendre en compte les demandes de nombreux élus qui souhaitaient conserver le numéro du département sur les nouvelles plaques d’immatriculation, il a, hier, soudain fait marche arrière. Une vraie victoire pour les 221 parlementaires 47 sénateurs, 173 députés et 1 eurodéputé du collectif Jamais sans mon département, reçu hier par la ministre de l’Intérieur.


Michèle Alliot-Marie a en effet accepté, « afin de prendre en compte l’attachement exprimé en faveur du département », de rendre « obligatoire la présence, sur la plaque d’immatriculation, d’un identifiant territorial, composé d’un numéro de département et du logo de la région correspondante ».

A quoi ressembleront les nouvelles plaques ? A partir du 1 e r janvier 2009, tous les véhicules neufs mis en circulation seront équipés d’une plaque avec, en noir sur fond blanc, deux lettres, un tiret, trois chiffres, un tiret et deux lettres, une immatriculation attribuée à vie à la voiture. Le propriétaire du véhicule devra ensuite obligatoirement choisir, quel que soit son lieu de résidence, un identifiant régional accompagné d’un numéro de département de son choix. Un Breton installé en région parisienne pourra ainsi affubler sa plaque du logo de sa région d’origine et du numéro de département auquel il est attaché (en l’occurrence, 22, 29, 35, 44 ou 56). Il ne pourra par contre pas « mixer » le logo régional breton avec le numéro du département francilien où il réside. La réforme bénéficiera certainement aux régions dotées d’une forte identité (par exemple le Nord ou l’Alsace), moins aux départements de banlieue dont certains automobilistes seront sans doute contents de se débarrasser d’un numéro départemental qu’ils jugent stigmatisant.

Sera-t-il possible d’avoir une plaque sans numéro départemental ? Non. C’est la grande reculade du ministère de l’Intérieur, qui souhaitait, dans son projet initial, laisser la liberté de choix à l’automobiliste d’identifier régionalement ou départementalement sa plaque d’immatriculation.

Y aura-t-il des exceptions ? Très peu. Les véhicules diplomatiques conserveront leurs plaques orange sur fond vert. Les voitures de collection pourront, elles, garder une plaque sur fond noir, à l’ancienne, mais passeront progressivement sous la nouvelle immatriculation au fur et à mesure des changements de propriétaire.

Pourquoi un tel revirement du ministère de l’Intérieur ? Le lobbying parlementaire a été très actif depuis six mois. Après de longues heures de négociations hier, Michèle Alliot-Marie a plié… mais n’a pas rompu. « Certaines des demandes du collectif n’ont pas été retenues, explique Gérard Gachet, porte-parole de MAM. Les plaques conservent la mention régionale et les automobilistes ne sont pas obligés d’indiquer leur département de résidence. » En arrière-plan, la crainte des parlementaires de voir disparaître l’institution départementale des conseils généraux, comme l’a récemment proposé le rapport Attali, a certainement pesé dans la balance. Comme la menace des mêmes élus de refuser de voter, lors du prochain examen du projet de loi de Finances, une taxe de 4 € par véhicule pour financer le nouveau système d’immatriculation…


Posté mercredi 29 octobre 2008 à 13:58 (#2700) L'utilisateur est hors-ligne   Vashu-San 

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Quick: la frite devant la justice

C'est aujourd'hui que doit avoir lieu le procès du restaurant Quick de Reims (Marne), après la chute d'une cliente qui avait glissé sur une frite, le 22 décembre dernier.

Ce jour-là, Nicole Borgnon entre dans un restaurant Quick de Reims. Selon son récit, le talon de son pied gauche se serait alors bloqué dans le tapis situé à l'entrée du fast-food et son pied droit aurait glissé sur une frite qui traînait sur le sol. Nicole chute très lourdement au sol.

La cliente souffre d'une quadruple fracture du genou droit. Elle est transportée d'urgence au CHU de Reims où elle est opérée le lendemain. Elle y reste une semaine. Mais quelques jours plus tard, elle fait une première embolie pulmonaire, puis une seconde en février. Les rapports médicaux sont formels : la longue "immobilisation plâtrée" de la malade est à l’origine des embolies.

Rencontrée par le quotidien régional L'Union au mois de septembre, Nicole Borgnon affirme ne plus avoir "d’espoir de remarcher un jour, sauf avec des cannes." La plaignante réclame la somme de 100.000 euros au restaurant au titre d'indemnisation.

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