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Le fait du jour ! qu'est ce qui vous a marqué dans l'actualité du moment ?
Posté vendredi 06 juin 2008 à 19:13 (#2146)
Dommage il a perdu ! Désolé Federer n'avait pas l'être trop forcer !! Mais Monfils est jeune !! Il va encore s'améliorer !!
Posté samedi 07 juin 2008 à 14:01 (#2147)
Citation
Europe : si l'Irlande dit "non"...
L'inquiétude monte à Bruxelles et dans les vingt-sept pays membres de l'Union européenne (UE). A quelques jours du référendum irlandais sur le traité de Lisbonne, jeudi 12 juin, l'hypothèse d'un non semble de plus en plus plausible. Les Irlandais, seuls citoyens de l'UE à devoir se prononcer par référendum et non par voie parlementaire, comme l'exige leur Constitution, peuvent considérablement gêner la mise en oeuvre des réformes institutionnelles prévues par l'Europe. Le traité doit, pour entrer en vigueur, être ratifié par la totalité des pays membres. "Le non serait une catastrophe", dit un diplomate finlandais.
Pour la première fois, selon un sondage de l'institut TNS/MRBI publié vendredi 6 juin par le quotidien irlandais Irish Times, le camp du non est passé en tête, crédité de 35 % des intentions de vote, contre 30 % pour le oui. La proportion des indécis (28 %) peut encore tout faire basculer. A la mi-mai, un sondage réalisé par le même institut plaçait encore le oui à 35 % des intentions de vote. Quelque 18 % des sondés étaient pour le non et 40 % indécis : le camp du non a doublé et le pourcentage de partisans du traité a reculé de 5 points. D'autres instituts de sondage avaient mesuré ces dernières semaines une remontée du non dans les intentions de vote.
En cas de rejet du traité par les Irlandais, plusieurs options sont possibles : abandonner le traité de Lisbonne et continuer à fonctionner dans le cadre actuel du traité de Nice ; le renégocier - mais les Vingt-Sept sont lassés par huit ans de discussions institutionnelles, et José Manuel Barroso, le président de la Commission européenne, a prévenu : "Il n'y a pas de plan B" ; enfin, envisager d'octroyer de nouvelles dérogations aux Irlandais afin qu'ils acceptent la perspective d'un deuxième vote, comme cela avait déjà été le cas en 2002 pour le traité de Nice.
En déplacement à Athènes pour la préparation de la présidence française de l'Union européenne, Nicolas Sarkozy s'est montré inquiet. "Il faut attendre, a-t-il dit. Rien ne serait plus contre-productif que d'anticiper le résultat dans un sens ou dans un autre. Je souhaite que les Irlandais comprennent l'enjeu extrêmement fort qui les concerne, qui nous concerne. Laissons-les voter. N'anticipons pas leur décision."
Le président de la République s'est tout de même arrangé pour faire le point sur ce que le spectaculaire développement économique de l'Irlande devait à l'Europe.
Depuis Athènes, le chef de l'Etat français a rappelé que "dans tous les pays européens, l'Irlande a beaucoup apporté à l'UE et l'Europe a beaucoup contribué au développement de l'Irlande". En aparté, Nicolas Sarkozy a aussi rejeté la responsabilité de l'euroscepticisme irlandais sur les dirigeants européens, incapables de se saisir d'un problème comme celui de la hausse du pétrole. "Tant que l'Europe ne s'occupera pas des problèmes des gens, a-t-il dit, on aura un problème."
En Irlande, les partisans du oui refusent d'envisager l'éventualité d'un échec. Les principaux partis politiques irlandais - le parti Fianna Fail (centre droit) du premier ministre, Brian Cowen, le Fine Gael et le Parti travailliste, dans l'opposition -, soutiennent le traité de Lisbonne, à l'instar des organisations syndicales, patronales et agricoles. "Nous ne sommes pas dans la logique de perdre ni d'élaborer des scénarios", dit-on au gouvernement.
L'inquiétude immédiate, en cas de non, porte sur la poursuite de la ratification du traité par les autres Etats membres. Les 4,2 millions d'Irlandais ne devraient pas empêcher les 495 millions d'habitants de l'UE d'avancer, mais un phénomène "boule de neige" pourrait ensabler le processus.
La question se poserait dès le conseil européen des 19 et 20 juin, à Bruxelles. Comme elle avait été posée en 2005, après les non français et néerlandais au traité constitutionnel. Tony Blair, le premier ministre britannique, avait à l'époque suspendu sine die le référendum à haut risque prévu dans son pays, en considérant que la constitution était morte.
La France, qui va assurer la présidence de l'Union à partir du 1er juillet, est décidée cette fois à tout faire pour que le processus de ratification aille jusqu'au bout. Quinze Etats membres ont déjà ratifié, dont la France, la Pologne et l'Allemagne. La procédure est bien avancée aux Pays-Bas, en Belgique ou au Royaume-Uni. Mais la faiblesse politique du premier ministre britannique, Gordon Brown, attendu au tournant par les conservateurs eurosceptiques, suscite des craintes. "Le jour du non irlandais, dit-on à l'Elysée, on se précipite à Londres pour dire à Brown d'aller jusqu'au bout du processus de ratification à la Chambre des Lords." Nicolas Sarkozy a déjà précisé qu'il déjeunerait avec Gordon Brown, jeudi 19 juin, avant le conseil européen de Bruxelles.
Prague est une autre source d'inquiétudes. Un échec irlandais conviendrait à l'eurosceptique président de la République tchèque, Vaclav Klaus. Devant la cour constitutionnelle, qui doit se prononcer sur le traité avant sa ratification, il a déclaré que celui-ci allait "changer totalement et profondément la nature de l'UE". Il a aussi laissé planer la menace d'une ratification par référendum plutôt que par voie parlementaire, pourtant prévue par la constitution.
La présidence française de l'UE serait la première victime d'un éventuel rejet du nouveau traité en Irlande. Une partie des objectifs et du mandat de la présidence serait à revoir, comme la désignation d'un président du Conseil européen et la mise au point d'un service d'actions extérieures. Les priorités affichées par Paris - énergie et environnement, défense, immigration, agriculture - pourraient être mises sous le boisseau afin de ne pas provoquer davantage les Irlandais. Le tout dans le contexte d'une Europe déprimée, à nouveau plongée dans une crise profonde.
L'inquiétude monte à Bruxelles et dans les vingt-sept pays membres de l'Union européenne (UE). A quelques jours du référendum irlandais sur le traité de Lisbonne, jeudi 12 juin, l'hypothèse d'un non semble de plus en plus plausible. Les Irlandais, seuls citoyens de l'UE à devoir se prononcer par référendum et non par voie parlementaire, comme l'exige leur Constitution, peuvent considérablement gêner la mise en oeuvre des réformes institutionnelles prévues par l'Europe. Le traité doit, pour entrer en vigueur, être ratifié par la totalité des pays membres. "Le non serait une catastrophe", dit un diplomate finlandais.
Pour la première fois, selon un sondage de l'institut TNS/MRBI publié vendredi 6 juin par le quotidien irlandais Irish Times, le camp du non est passé en tête, crédité de 35 % des intentions de vote, contre 30 % pour le oui. La proportion des indécis (28 %) peut encore tout faire basculer. A la mi-mai, un sondage réalisé par le même institut plaçait encore le oui à 35 % des intentions de vote. Quelque 18 % des sondés étaient pour le non et 40 % indécis : le camp du non a doublé et le pourcentage de partisans du traité a reculé de 5 points. D'autres instituts de sondage avaient mesuré ces dernières semaines une remontée du non dans les intentions de vote.
En cas de rejet du traité par les Irlandais, plusieurs options sont possibles : abandonner le traité de Lisbonne et continuer à fonctionner dans le cadre actuel du traité de Nice ; le renégocier - mais les Vingt-Sept sont lassés par huit ans de discussions institutionnelles, et José Manuel Barroso, le président de la Commission européenne, a prévenu : "Il n'y a pas de plan B" ; enfin, envisager d'octroyer de nouvelles dérogations aux Irlandais afin qu'ils acceptent la perspective d'un deuxième vote, comme cela avait déjà été le cas en 2002 pour le traité de Nice.
En déplacement à Athènes pour la préparation de la présidence française de l'Union européenne, Nicolas Sarkozy s'est montré inquiet. "Il faut attendre, a-t-il dit. Rien ne serait plus contre-productif que d'anticiper le résultat dans un sens ou dans un autre. Je souhaite que les Irlandais comprennent l'enjeu extrêmement fort qui les concerne, qui nous concerne. Laissons-les voter. N'anticipons pas leur décision."
Le président de la République s'est tout de même arrangé pour faire le point sur ce que le spectaculaire développement économique de l'Irlande devait à l'Europe.
Depuis Athènes, le chef de l'Etat français a rappelé que "dans tous les pays européens, l'Irlande a beaucoup apporté à l'UE et l'Europe a beaucoup contribué au développement de l'Irlande". En aparté, Nicolas Sarkozy a aussi rejeté la responsabilité de l'euroscepticisme irlandais sur les dirigeants européens, incapables de se saisir d'un problème comme celui de la hausse du pétrole. "Tant que l'Europe ne s'occupera pas des problèmes des gens, a-t-il dit, on aura un problème."
En Irlande, les partisans du oui refusent d'envisager l'éventualité d'un échec. Les principaux partis politiques irlandais - le parti Fianna Fail (centre droit) du premier ministre, Brian Cowen, le Fine Gael et le Parti travailliste, dans l'opposition -, soutiennent le traité de Lisbonne, à l'instar des organisations syndicales, patronales et agricoles. "Nous ne sommes pas dans la logique de perdre ni d'élaborer des scénarios", dit-on au gouvernement.
L'inquiétude immédiate, en cas de non, porte sur la poursuite de la ratification du traité par les autres Etats membres. Les 4,2 millions d'Irlandais ne devraient pas empêcher les 495 millions d'habitants de l'UE d'avancer, mais un phénomène "boule de neige" pourrait ensabler le processus.
La question se poserait dès le conseil européen des 19 et 20 juin, à Bruxelles. Comme elle avait été posée en 2005, après les non français et néerlandais au traité constitutionnel. Tony Blair, le premier ministre britannique, avait à l'époque suspendu sine die le référendum à haut risque prévu dans son pays, en considérant que la constitution était morte.
La France, qui va assurer la présidence de l'Union à partir du 1er juillet, est décidée cette fois à tout faire pour que le processus de ratification aille jusqu'au bout. Quinze Etats membres ont déjà ratifié, dont la France, la Pologne et l'Allemagne. La procédure est bien avancée aux Pays-Bas, en Belgique ou au Royaume-Uni. Mais la faiblesse politique du premier ministre britannique, Gordon Brown, attendu au tournant par les conservateurs eurosceptiques, suscite des craintes. "Le jour du non irlandais, dit-on à l'Elysée, on se précipite à Londres pour dire à Brown d'aller jusqu'au bout du processus de ratification à la Chambre des Lords." Nicolas Sarkozy a déjà précisé qu'il déjeunerait avec Gordon Brown, jeudi 19 juin, avant le conseil européen de Bruxelles.
Prague est une autre source d'inquiétudes. Un échec irlandais conviendrait à l'eurosceptique président de la République tchèque, Vaclav Klaus. Devant la cour constitutionnelle, qui doit se prononcer sur le traité avant sa ratification, il a déclaré que celui-ci allait "changer totalement et profondément la nature de l'UE". Il a aussi laissé planer la menace d'une ratification par référendum plutôt que par voie parlementaire, pourtant prévue par la constitution.
La présidence française de l'UE serait la première victime d'un éventuel rejet du nouveau traité en Irlande. Une partie des objectifs et du mandat de la présidence serait à revoir, comme la désignation d'un président du Conseil européen et la mise au point d'un service d'actions extérieures. Les priorités affichées par Paris - énergie et environnement, défense, immigration, agriculture - pourraient être mises sous le boisseau afin de ne pas provoquer davantage les Irlandais. Le tout dans le contexte d'une Europe déprimée, à nouveau plongée dans une crise profonde.
source
Pas vraiment un fait du jour, plutot une analyse, mais voyant un peu comment la campagne se passe ici, je predis une victoire du non. J'ai l'impression de revoir les arguments français lors du referedum sur la constitution (perte du pouvoir national, une europe sans protection sociale, voire meme existence d'un plan B, le fameux). Je me demande si ils parlent de l'adhésion de la Turquie <_<

Posté samedi 07 juin 2008 à 15:05 (#2148)
Et ce qui ne change pas non plus, c'est que le peuple peut bien voter ce qu'il veut, on finira quand même par lui faire passer...
Et on se demande pourquoi les gens sont sceptiques sur l'Europe... <_<
Et on se demande pourquoi les gens sont sceptiques sur l'Europe... <_<
Posté samedi 07 juin 2008 à 18:06 (#2149)
Comme il avait été dit il y a deux ans, tant que l'Europe ne changera pas (et sur ce point la citation de Sarko dans l'article n'est pas fausse) elle continuera de se prendre des claques de la part des électeurs.
Cette situation irlandaise est vraiment une photocopie de la situation référendaire en France en 2005. Un décalage complet entre politiques + institutions et les citoyens...
Cette situation irlandaise est vraiment une photocopie de la situation référendaire en France en 2005. Un décalage complet entre politiques + institutions et les citoyens...

http://www.japonfacile.com/
Japon Facile - Site de photos, vidéos et infos sur le Japon & Blog sur l'actu japonaise
Posté dimanche 08 juin 2008 à 12:15 (#2150)
Citation
Les heures sup pourraient être moins bien payées
La majoration de salaire pour les heures supplémentaires, aujourd'hui de 25%, pourrait être négociée entreprise par entreprise. Et éventuellement abaissée à 10%.
Matignon serait favorable à une négociation du tarif des heures supplémentaires dans chaque entreprise, avec une limite inférieure fixée à 10%, au lieu d’un bonus de 25% par heure actuellement, affirme Le Journal du Dimanche.
Au ministère du Travail, on indiquait dimanche à l’AFP que «ce n’est pas un sujet à l’ordre du jour».
«Il n’est pas question d’aborder le sujet de la majoration des heures supplémentaires», ni «dans le texte de loi» en préparation, ni «tout court», précise-t-on.
Le projet du Premier ministre François Fillon permettrait aux employeurs et aux salariés, par accord d’entreprise sur le temps de travail, de faire varier la majoration des heures sup (+ 25% par heure exonérés d’impôt actuellement) aussi bien à la hausse qu’à la baisse, avec un plancher de 10%, indique le JDD en citant «l’entourage du chef du gouvernement».
Le projet de loi sur la réforme du temps de travail préparé par le ministre du Travail Xavier Bertrand, qui sera présenté au conseil des ministres le 18 juin, doit faciliter la renégociation, entreprise par entreprise, de nombreuses modalités du temps de travail, mais, pour l’instant, n’évoque pas le tarif des des heures supplémentaires.
Selon le projet de loi sur le temps de travail, il sera possible, sous réserve d’accord, de dépasser le quota légal d’heures supplémentaires, dans les limites du raisonnable pour la santé publique (10 heures par jour, 48 heures hebdomadaire et au moins un jour de repos par semaine).
Le nombre d’entreprises utilisant les exonérations liées aux heures supplémentaires a augmenté en mars pour le sixième mois consécutif, pour avoisiner 560.000, selon l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale.
Depuis octobre, avec la loi en faveur du travail, de l’emploi et du pouvoir d’achat (Tepa), une heure supplémentaire rapporte au salarié 25% de plus qu’une heure normale à partir de la 36e heure (et dans la limite de 220 heures par an et par salarié). Les salariés ne paient ni impôt ni cotisations sociales sur ces heures supplémentaires, les employeurs bénéficient de déductions de cotisations sociales.
La CGT et la CFDT, qui ont appelé à manifester le 17 juin notamment contre la «dérégulation du temps de travail», se sont entendus, dans le cadre de la «position commune» signée avec le Medef et la CGPME, à négocier en entreprise uniquement sur les contingents d’heures sup’.
En fin de matinée, Matignon n’avait pas réagi à l’article du JDD.
La majoration de salaire pour les heures supplémentaires, aujourd'hui de 25%, pourrait être négociée entreprise par entreprise. Et éventuellement abaissée à 10%.
Matignon serait favorable à une négociation du tarif des heures supplémentaires dans chaque entreprise, avec une limite inférieure fixée à 10%, au lieu d’un bonus de 25% par heure actuellement, affirme Le Journal du Dimanche.
Au ministère du Travail, on indiquait dimanche à l’AFP que «ce n’est pas un sujet à l’ordre du jour».
«Il n’est pas question d’aborder le sujet de la majoration des heures supplémentaires», ni «dans le texte de loi» en préparation, ni «tout court», précise-t-on.
Le projet du Premier ministre François Fillon permettrait aux employeurs et aux salariés, par accord d’entreprise sur le temps de travail, de faire varier la majoration des heures sup (+ 25% par heure exonérés d’impôt actuellement) aussi bien à la hausse qu’à la baisse, avec un plancher de 10%, indique le JDD en citant «l’entourage du chef du gouvernement».
Le projet de loi sur la réforme du temps de travail préparé par le ministre du Travail Xavier Bertrand, qui sera présenté au conseil des ministres le 18 juin, doit faciliter la renégociation, entreprise par entreprise, de nombreuses modalités du temps de travail, mais, pour l’instant, n’évoque pas le tarif des des heures supplémentaires.
Selon le projet de loi sur le temps de travail, il sera possible, sous réserve d’accord, de dépasser le quota légal d’heures supplémentaires, dans les limites du raisonnable pour la santé publique (10 heures par jour, 48 heures hebdomadaire et au moins un jour de repos par semaine).
Le nombre d’entreprises utilisant les exonérations liées aux heures supplémentaires a augmenté en mars pour le sixième mois consécutif, pour avoisiner 560.000, selon l’Agence centrale des organismes de sécurité sociale.
Depuis octobre, avec la loi en faveur du travail, de l’emploi et du pouvoir d’achat (Tepa), une heure supplémentaire rapporte au salarié 25% de plus qu’une heure normale à partir de la 36e heure (et dans la limite de 220 heures par an et par salarié). Les salariés ne paient ni impôt ni cotisations sociales sur ces heures supplémentaires, les employeurs bénéficient de déductions de cotisations sociales.
La CGT et la CFDT, qui ont appelé à manifester le 17 juin notamment contre la «dérégulation du temps de travail», se sont entendus, dans le cadre de la «position commune» signée avec le Medef et la CGPME, à négocier en entreprise uniquement sur les contingents d’heures sup’.
En fin de matinée, Matignon n’avait pas réagi à l’article du JDD.
Source.
Travaillez plus, qu'y disaient...

Posté dimanche 08 juin 2008 à 12:24 (#2151)
lemonde.fr dit :
Tokyo : coup de folie meurtrière à Akihabara
Un Japonais armé d'un couteau a été pris, dimanche 8 juin, d'un coup de folie meurtrière dans un quartier animé de Tokyo, tuant au moins six personnes et blessant une douzaine de passants, ont rapporté la police et les médias. Les motifs de l'agresseur, qui a été arrêté, restent encore vagues, mais son attaque coïncide avec l'anniversaire de l'un des crimes les plus horribles du Japon moderne : la tuerie de huit enfants dans une école élémentaire en 2001.
Peu après midi, un homme au volant d'un camion a foncé dans la foule près de la gare d'Akihabara, connu sous le nom ''Electric Town'' pour ses magasins de produits électroniques et ses centres de jeux vidéos très fréquentés par les jeunes. Il est ensuite descendu de son véhicule et armé d'un couteau, a attaqué au hasard les passants, blessant 17 personnes, dont certaines grièvement, jusqu'à ce qu'un policier armé parvienne à le maîtriser, ont indiqué les pompiers et la police.
Selon les agences de presse japonaises Jiji et Kyodo, sept personnes ont été tuées - six hommes et une femme - au cours de cette agression, un événement extrêmement rare à Tokyo, réputée pour sa sécurité. ''Le suspect a raconté à la police qu'il était venu à Akihabara pour tuer des gens'', a déclaré le porte-parole de la police de Tokyo Jiro Akaogi, confirmant que Tomohiro Kato, 25 ans, avait été arrêté sur le lieu du crime. ''Il a dit qu'il était las de la vie. Il a dit qu'il en avait marre de tout''. Les médias locaux avaient rapporté dans un premier temps que le jeune homme affirmait être un yakuza, un membre de la mafia japonaise, une information infirmée par NHK plus tard.
Un Japonais armé d'un couteau a été pris, dimanche 8 juin, d'un coup de folie meurtrière dans un quartier animé de Tokyo, tuant au moins six personnes et blessant une douzaine de passants, ont rapporté la police et les médias. Les motifs de l'agresseur, qui a été arrêté, restent encore vagues, mais son attaque coïncide avec l'anniversaire de l'un des crimes les plus horribles du Japon moderne : la tuerie de huit enfants dans une école élémentaire en 2001.
Peu après midi, un homme au volant d'un camion a foncé dans la foule près de la gare d'Akihabara, connu sous le nom ''Electric Town'' pour ses magasins de produits électroniques et ses centres de jeux vidéos très fréquentés par les jeunes. Il est ensuite descendu de son véhicule et armé d'un couteau, a attaqué au hasard les passants, blessant 17 personnes, dont certaines grièvement, jusqu'à ce qu'un policier armé parvienne à le maîtriser, ont indiqué les pompiers et la police.
Selon les agences de presse japonaises Jiji et Kyodo, sept personnes ont été tuées - six hommes et une femme - au cours de cette agression, un événement extrêmement rare à Tokyo, réputée pour sa sécurité. ''Le suspect a raconté à la police qu'il était venu à Akihabara pour tuer des gens'', a déclaré le porte-parole de la police de Tokyo Jiro Akaogi, confirmant que Tomohiro Kato, 25 ans, avait été arrêté sur le lieu du crime. ''Il a dit qu'il était las de la vie. Il a dit qu'il en avait marre de tout''. Les médias locaux avaient rapporté dans un premier temps que le jeune homme affirmait être un yakuza, un membre de la mafia japonaise, une information infirmée par NHK plus tard.

edit : C'est pour quoi faire la vidéo eikichi ? Vu qu'ils disent sensiblement la même chose ? C'est pour le côté sensationnel-TF1-montronsdesmortsçafaitvendre qui manque dans la version papier que j'ai postée ?


Posté dimanche 08 juin 2008 à 13:42 (#2153)
Nous en sommes à 7 morts.
J'avais hésité à poster là-dessus, mais mon info me semblait nous affecter un peu plus directement.
M'enfin...
J'avais hésité à poster là-dessus, mais mon info me semblait nous affecter un peu plus directement.
M'enfin...

Posté dimanche 08 juin 2008 à 14:05 (#2154)
Ça m'a fait penser à Gantz quand j'ai lu ça
"c'est flippant le Japon"

"c'est flippant le Japon"
Posté dimanche 08 juin 2008 à 14:19 (#2155)
Surprenant ! Et à l'arme blanche : c'est à dire que n'importe qui peut peut réaliser une telle folie meurtrière en piochant l'arme dans sa cuisine.
Pourvu que ça ne devienne pas une habitude/tradition.
Pourvu que ça ne devienne pas une habitude/tradition.
Amour, ce n'est pas sale, mais ça peut tacher les draps
Je contrôlerai sept fois mon lien ed2k avant de le poster.
Je contrôlerai sept fois mon lien ed2k avant de le poster.
Posté dimanche 08 juin 2008 à 14:51 (#2156)
Aquillon, le 08/06/2008 à 15:05, dit :
"c'est flippant le Japon"
Mouais... Si on en parle autant c'est aussi dû au fait que ce genre de chose est super rare là-bas...
Un pays flippant c'est les USA, on nous en parle que quand y'a des massacres genre Colombine, mais les meutres y sont énormément plus fréquents qu'au Japon.
Amour, le 08/06/2008 à 15:19, dit :
Surprenant ! Et à l'arme blanche : c'est à dire que n'importe qui peut peut réaliser une telle folie meurtrière en piochant l'arme dans sa cuisine.
Un gars qui pète un câble il trouvera toujours une arme de toute façon, c'est vrai pour les couteaux mais aussi pour tout ce qui nous entoure malheureusement.

Posté dimanche 08 juin 2008 à 15:00 (#2157)
Ca m'étonnerait pas qu'un journaliste fasse le rapprochement avec les violences que peuvent entrainer les jeux vidéo, vu que ça se passe a Akihabara... C'est déjà indirectement précisé dans la vidéo...

Posté dimanche 08 juin 2008 à 15:05 (#2158)
wicelow, le 08/06/2008 à 16:51, dit :
Mouais... Si on en parle autant c'est aussi dû au fait que ce genre de chose est super rare là-bas...
Un pays flippant c'est les USA, on nous en parle que quand y'a des massacres genre Colombine, mais les meutres sont énormément plus fréquents qu'au Japon
Un pays flippant c'est les USA, on nous en parle que quand y'a des massacres genre Colombine, mais les meutres sont énormément plus fréquents qu'au Japon
Si je disais ça c'était seulement par rapport à Gantz où tout ce que trouve à dire un gars devant une rue pleine de cadavre découpés en morceau c'est "c'est flippant le Japon"

Posté dimanche 08 juin 2008 à 15:25 (#2159)
Bon bah today temps pluvieux donc sa rouille 
Donc rolland garos et GP de F1 a 19h00...
C'est mieux que rien
et demain nous verrons bien se que fera l'equipe de France pour leur premier match de cet Euro208

Donc rolland garos et GP de F1 a 19h00...
C'est mieux que rien

et demain nous verrons bien se que fera l'equipe de France pour leur premier match de cet Euro208

Posté dimanche 08 juin 2008 à 16:10 (#2160)
Bon ba voilà, Nadal vainqueur (c'te branlé en plus 6-1 6-3 6-0
)

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