Manifestation à Sodexho-Lyon après le suicide d'une salariée
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LYON (Reuters) - Près de 200 personnes, pour la plupart salariés des sociétés Sodexho et Renault Trucks, ont manifesté à Saint-Priest en banlieue lyonnaise en mémoire de l'une de leurs collègues de travail qui s'est suicidée début mars en dénonçant les pressions de son travail.
Le corps sans vie d'Isabelle Béal, 41 ans, mère de deux enfants, qui occupait le poste de chef de groupe au restaurant Sodexho de Renault-Trucks où elle organisait le service de 1.500 repas quotidiens, a été retrouvé début mars, une semaine après sa disparition.
La jeune femme avait laissé derrière elle un message indiquant : "Je ne suis pas assez forte, trop de pression travail".
"Isabelle avait tiré la sonnette d'alarme à plusieurs reprises", a confié mercredi l'une de ses collègues, déléguée CGT, qui souhaite conserver l'anonymat.
"Elle avait signalé qu'elle avait trop de pression, qu'elle n'y arrivait pas, elle avait demandé une formation, une augmentation de salaire de 60% et tout lui a été refusé", a ajouté cette syndicaliste.
"Elle servait de tampon entre les salariés et la direction et se retrouvait en conflit avec les deux", précise encore cette salariée en constatant que "les conditions de travail se sont fortement dégradées ces dernières années".
Le mari d'Isabelle Béal, qui participait à la manifestation, a expliqué que cette dernière "pleurait le soir en rentrant du boulot en disant que c'était insupportable".
"On lui fixait des objectifs impossibles à atteindre et elle vivait mal d'être à la place du fusible", a estimé Franck Galliano.
"Il n'y a pas de raisons personnelles qui ont pu la pousser au suicide, j'en veux à sa hiérarchie, au système et aux méthodes employées", a-t-il ajouté.
Une enquête a été ouverte par le CHSCT (comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail), ainsi qu'une enquête judiciaire sur les conditions de la mort. Le mari de la victime envisage de porter plainte lorsque le résultat de ces enquêtes sera connu.
Je ne comprends pas qu'on manifeste encore pour ce genre de faits divers, contre lesquels on ne peut rien d'ailleurs, car d'après un scientifique éminent, le suicide est une maladie génétique. Durkheim n'est qu'un clown côté de cet homme qui nous montre l'évidence même !! Le suicide est une maladie génétique (au même titre que l'hémophilie, la mucoviscidose et autres) causée par le gène de MC* :
'Nicolas Sarkozy dans Philosophie magazine n°8 dit :
J'inclinerais, pour ma part, à penser qu'on naît pédophile, et c'est d'ailleurs un problème que nous ne sachions soigner cette pathologie. Il y a 1 200 ou 1 300 jeunes qui se suicident en France chaque année, ce n'est pas parce que leurs parents s'en sont mal occupés ! Mais parce que, génétiquement, ils avaient une fragilité, une douleur préalable.
Les célèbres généticiens de l'académie des sciences me font doucement rigoler quand ils affirment qu'ils
'Axel Kahn dit :
[...] ont observé, il y a une quinzaine d’années, dans une famille néerlandaise une coïncidence entre la mutation d’un gène (le gène MAO-A) porté uniquement par les garçons, et le fait que ces garçons étaient souvent des adultes délinquants, notamment sexuels. Aucun lien statistiquement significatif n’a été relevé entre les deux formes du gène et l’évolution vers la délinquance. Jusqu’au jour où on a pris en compte un troisième paramètre : la maltraitance infantile. On s’est rendu compte que chez les enfants maltraités qui ont hérité d’une forme du gène à faible activité, la fréquence d’une dérive vers la délinquance est jusqu’à cinq fois plus importante que chez les autres enfants. Le gène MAO-A n’est donc pas un déterminant de la délinquance, mais de la fragilité à l’agression de l’intégrité psychique de l’individu lors de l’enfance.
Quelle bande de n00bs !!
* : Mes Couilles