Bon je suis désolé de venir gacher la joyeuse ambiance de ce topique, mais je ressort de 8épisodes de Nana et... mon avis est plutot négatif. Je vais essayer de m'expliquer :pinch:
Il faut bien sur tenir conte du fait que je n'ai pas vu la série en entier, et je ne sais pas si je vais me torturer mentalement pour les épisodes à venir.
Tous dabord les personnages :
- Nana Komatsu = j'ai beau faire de mon mieux, je ne peut pas la supporter. Elle est chiante, elle pleurniche sans arret, elle à le quotient intellectuel d'une huitre et la maturité d'une adolescente de 15ans (et encore je suis gentil). De plus elle n'est même pas fidèle et s'éprend pour le premier venu.
- Nana Ôsaki = elle je l'aime bien, ne serais-ce que par la fait qu'elle ne rate jamais une occasion de ce payer la tête de l'autre nana. La chanteuse des Blast à énormément de classe, de charisme et de maturité. Rien avoir avec l'autre semi-kogal <_<
- Ren Honjô = là je vais me permettre de citer Alexandre Astier:
A= [...] il arrive, il dit rien.
P= ben justement il dit rien, on ne sais pas ce qu'il pense, c'est hyper mystérieux.
A= non c'est naze !!
et malheureusement c'est bien ce qu'il ce passe. Ce type est sensé avoir un charisme fou, Nana dis même de lui qu'il lui semble inaccessible, elle l'aime en plus et étant donné le charactère d'osaki il doit lui faloir un mec capable d'assuré.
Hé bien non, Ren est une caricature du héro ténébreux, sauf que il n'a rien de ténébreux. Qu'on ne connais pratiquement rien de sont passé (mais c'est un problème récurrant de la série, j'y reviendrai plus tard). D'un autre coté peut-être en aprent-on plus sur lui dans les épisodes suivant, si c'est le cas alors il pourrais devenir interessant et ma faute de jugement serais lier au scénario bancale d'Ai Yazawa.
- Shôji Endô = personnage transparent, tellement typé que l'on peut prévoir ces actions. A en jugé par le faible background qui l'entoure je ne serais pas étonné qu'il disparaisse par une pirouette scénaristique.
- Yasushi Takagi = c'est le maitre yoda du groupe et en tant que tel il à toujours un citation ou un conseil à donné. Il parle peut et prend rarement des initiatives, et à en juger par sont graphisme on peut en déduire qu'il restera très certainement un personnage de second plan.
- Nobuo Terashima = le ressort comique des Blast, optimiste, gentil, sans réel personalité sa vie semble être lier à suivre Nana O comme un petit chien (un peut comme l'autre nana qui a dailleur un surnom de chien, c'est deux là sont fait pour s'entendre).
- Junko Saotome & Kyôsuke Takakura = ne chercher pas ils n'ont aucun background et juste le minimum sindicale de personalité, condamné à jouer le rôle et
maman et papa conseils, pour l'imature Nana.
Alors oui tous n'est pas rose niveau personnages loin de là, mais dans le monde de l'anime et du manga on à vu pire. Par contre niveau shojo j'ai vu bien mieux.
Ce que j'ai toujours apprécier dans un shojo c'est la complexité des sentiments et la précision avec laquelle il sont décris.
Là encore... c'est mal barré avec Nana.
Car un défault important de la série est que, même après 8épisodes on ne connais réelement que les deux NANA, les autres perso sont totalement survolé, si bien qu'il n'en sont que plus supperficiel et que l'on ne s'accroche pas à eux.
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la séparation de ren et de nana o. est un véritable prétexte scénaristique, tous s'enchaine trop vite et cette séquance d'adieu dans le train offre une tension dramatique proche du ridicule.
Idem pour la suite ou les personnages ce retrouvent séparés pendant plusieurs mois, imaginé ne serais-ce qu'un instant la tension dramatique, deux personne qui s'aime et reste éloignés l'un de l'autre. Il y a un gros potentiel la-dedans, qui est totalement inexploité car tous ces mois de torture passé loin de l'autre font partie d'une élipse narrative.
Et en 1 épisode, hop c'est déja l'heure des retrouvailles, Nana O. apperçoit sont homme sur un poster: gros plan sur l'image - mouvement de caméra au ralenti - bichromie pour donné à l'image un aspect plus dramatique - musique de circonstance, bref la total et malgrés cela l'effet est raté. Pourquoi ? hé bien simplement parceque l'on à quitté ren, il y a juste un épisode et demi, pas de quoi s'impatienté.
En contre exemple le retour de Morita dans honney & clover ma fais bien plus d'effet (pourtant il est traité avec humour)
Et tous cela sans parlé de l'autre Nana (Komatsu)
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Elle nous contes sa vie sentimental, et pleure à chaude larme en repenssant à un amour perdu. Le problème est qu'il est difficile de partager les sentiments d'un fille qui donne les siens si facilement. Au premier mec qui lui plait elle est amoureuse, elle ne fait preuve d'aucune profondeur de sentiments et est totalement supperficiel, ces "amours" n'ont aucune crédibilité. Pire elle passe si vite du rire au larme (et inverssément) que même lorsqu'elle pleure on en reste indifférent.
Un autre grave problème dans NANA, c'est la profondeur des sentiments. Ce problème n'est pas spécifique à nana, il est commun à bien d'autre mangas et animés, mais la renomé de nana m'avais tant fais espérer.
Dans nana les perso s'avoue leur amour, s'embrasse, font l'amour et... et puis c'est tous !
La conception de l'amour d'Ai Yazawa est très asseptisé. J'imaginais que le fait de cadrer l'histoire dans un monde adulte (après tous les deux filles on 20ans) pourrais nous donné droit à voir une vrais relation, pationné avec des personnages qui s'aime, ce désirent, ce touche, ce caline, bref le principe même d'une relation pationel.
Malheureusement ce n'est pas le cas, les protagonistes sont coincé, même pas romantique (exception de ren dans un flashback) et les sçène de "sexe" (tous public, hein ce n'est pas du hentai) ne semble être là que pour rappeler que les personnage sorte ensemble. Non franchement, même des shojo's au sçénario vu et revu comme Mars s'en sorte mieux et traduise les sentiments avec plus de justesse.
Et c'est sans parler de représentation de la senssibilité, qui jusqu'a présent ce résume à de grand yeux fixe et des mouvement de caméra ralenti. Comparé à des personnages comme Momo de
Kimi Wa Pet, les mec de Nana sont corps sans âmes, quelle déception.
Enfin il est aussi question des sentiments et des idées personel des filles (surtout Nana Komatsu, en fait).
Et là non plus c'est pas génial, ces questionement sur sont passé sonne creux, on à pas du tous l'impression qu'elle est torturé par son amour passé et pour cause elle l'oubliera avec une rapidité déconcertante dans les bras de
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Shôji
N'imaginé même pas ne serais-ce qu'un instant comparé cela à un shojo comme
Xdays, nana ne s'en relèverais pas.
Sentimentalement
Honey & Clover, ce situe largement au dessus, avec un caractère intimiste et une large dose d'humour ( ce qui n'est pas pour facilité les choses dans une histoire romantique) la justesse et la fragilité des sentiments est bien mieux représenté.
Au final je pense avoir attendu beaucoup trop de NANA, qui au même titre qu'un naruto, bleach ou dragond ball en sont temps; donne au lecteur/spéctateur ce qu'il attend mais sans vraiment essayer de donné une âme à tous cela.
Alors bien sur le public visé (plutot de jeune adolescente) vont adorée, tout est là pour leurs plairent et le concept est original (on s'éloigne enfin des cours de lycée) sant conté ceux et celle qui seront attiré par l'aspect punk/rock des filles et des mecs (plutot supperficiel en fait).
A oui je n'ai pas parlé de la musique, qui est fort bien.
Sa me rappel cette vieille légende otaku qui veux qu'un anime qui possèbent d'excellen Opening/Ending soit souvent décevant... je vais finir par être superstitieux.
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Voilà c'est fini, félicitation si vous avez tous lu (surtout au vu des nombreuses fautes d'orthographe que je fais