Iznogoud, le 03/02/2010 à 16:46, dit :
[...]
- la série accuse son âge techniquement.
- beaucoup de longueurs, le pire étant la fin.
Pour tout dire, je regardais tous les épisodes à la suite, et je me suis endormi devant le dernier.
Sachant que la seule fois que ça m'était arrivé était devant le début d'
YKK, ça donne une idée du niveau d'inexistence de l'histoire à ce moment là...
26 épisodes de suite, tu m'étonnes que tu t'endormes
Après c'est vrai que techniquement
Blue Gender accuse un peu son age. Mais c'est surtout parce que le cœur de la série n'est justement pas les scènes d'action (même si certaines sont bien marrante

)
La lenteur, est surtout un effet de "déception" à cause de la mécompréhention d'un début qui laisse croire à un truc du genre
Starship troopers avec du dégommage de monstres à la chaine pendant les 26 épisodes. Alors que paradoxalement l'ambiance est très intimiste et joue sur l'évolution psychologique des deux héros (et accessoirement sociétale)
Elle gagne a être revue ultérieurement déchargé du coté scénario pure.
Je trouve que c'est le charme de cette série. Ce qui fais qu'elle reste unique encore aujourd'hui.
Citation
Depuis qu'Avatar a éveillé en moi des idées d'extermination des écologistes bêlants, ce style de série n'est sans doute plus fait pour moi, il y a sûrement de ça aussi...

C'est vrai que je ne suis pas sur, que le fait qu' "Hollywood" se soit mis au prosélytisme écologique ait été très profitable à cette idéologie.