Alors, je vais lutter de toute mes forces pour ne pas faire une apologie façon café du commerce.
Mon amour du Japon est un amour qui s'ignore encore.
Ce que j'aime du Japon, c'est l'image d'Epinal que j'en ai. Le petit Européen qui aime bien les mangas, qui a vu quelques reportages à la télévision et qui, sans comprendre, est subjugué, attiré par une sorte de force inconsciente, mais d'ores et déja très prégnante.
Je ne me suis pas encore plongé dans l'étude de son histoire, de sa civilisation, mais c'est un chemin que je compte bien parcourir dans les (soyons optimistes) 250 années qu'il me reste à vivre.
Donc ma vision candide du Japon, avec ses jardins, ses types déjantés, son décalage profond avec sa propre réalité, l'image de solitude au sein de la multitude, la culture de la politesse et la codification à l'extrème de toutes les relations humaines. Tout ca m'attire énormément.
Je ne sais pas comment l'expliquer, en approfondissant ma connaissance du Japon contemporain, et en balayant toutes les idées fausses et préconçues que j'en ai, peut être serai-je décu, peut être découvrirai-je un autre Japon, ou bien mettrai-je le doigt sur cette petite chose qui m'attire la bas (euh, oui, je ne parle pas des Japonaises là, même si j'ai un Enooooorme faible pour les jolies filles Japonaises

).
Alors, évidemment, je le sais (en fait je sais pas...cf reportage et tout), le Japon, c'est aussi la vie stressante, les morts au boulot, un certain racisme, les tremblements de terre, la pêche à la baleine, et le parfum Alain Delon.
Mais j'ai l'impression qu'il y a une sorte de solidarité au sein de ce peuple, un petit je ne sais quoi, qui fait qu'ils sont plus soudés que nous ne le sommes. Et encore une fois, je suis extrèmement sensible à la beauté de langue japonaise. Je trouve ca magnifique.
Signing out.
Vincent.