[Behachev]

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Histoire :

'pris chez FLA dit :

Le village d'Ake est spécialisé dans l'élevage d'une race de reptiles géants, les Toudas, destinés au combat et à être chevauchés par des humains. C'est ici même que la petite Erin mène une vie paisible avec sa maman Soyon, vétérinaire. Jalousée par les autres éleveurs à cause de son aisance à s'occuper des Touda et détestée parce qu'elle fait partie du Peuple de la Brume, elle prendra la responsabilité d'un bébé Touda qui finira par s'échapper. Alors que tout le village est en alerte, Erin décide alors d'aller chercher elle-même le petit mais se fait attaquer par un Touda adulte.
Loin de là, la guerre fait rage entre deux royaumes et des luttes intestines pour le pouvoir se préparent. Qu'adviendra-t-il de la paix ?

Quelques images :

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un pokémon turbulant ?

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Pas sur

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et la même bestiolle en action

Du même auteur que ,
Kemono no Souja Erin met aussi en scène univers médiéval-asiatique-fantastique. L'histoire se centre sur une petite fille, Erin, qui va grandir et faire face à la cruelle réalité du monde.
Écrit comme cela, le pitch ne varie pas beaucoup de celui de la série précédente ; mais l'approche est plutôt différente, si bien qu'avoir aimé - ou non - Seirei no Moribito, ne présage en rien la capacité à accrocher - ou non - à Kemono no Souja Erin.
Le traitement graphique et le rythme global beaucoup plus simples, la démarque et pourrait laisser croire à tort à une œuvre purement enfantine.


Et pourtant...

Graphiquement tout d'abord. Les gentils dessins sont un trompe-l'œil. En effet, ce choix est pleinement en adéquation avec la réalisation, les décors, le rythme, le ton... Certes cette série s'adresse d'abord aussi aux "petits", certains cotés m'ont rappelé Fantastic children ou Unhabited planet Survival.
Mais je ne me souviens pas d'une série m'aspirant à un tel point dans son cadre graphique depuis longtemps. Car la longueur de la série - 50 épisodes - et sa capacité à conserver, voire améliorer, ses qualités plastiques ; avec en outre la mise route petit à petit du "grand scénario"
crée un tout autre effet que les très belles mais trop courtes série récentes originales graphiquement (la mélodie du ciel...) qui n'auront jamais le pouvoir immersif d'une saga longue et écrite/réalisée pour 50 épisodes d'entrée (et non 13*X ou 26*Y dont c'est maintenant systématiquement le cas)

Je remarquerais deux outils parmi d'autres :
le choix de censurer les carnages. Mais pas une censure hors cadre, mais en la représentant sous un trais mystique/onirique/psychédélique.
L'analogie fréquente entre l'action et son environnement (animaux, plantes, climat...).

Sans être originalissime, l'histoire globale se suit néanmoins avec plaisir. Les péripéties des différents personnages sont aussi agréables à suivre et se coulent dans l'ensemble. Si le rythme est lent. il est dosé avec justesse, jamais de longueurs.

Enfin la BO est d'une grande qualité, sachant être tour à tour enfantin, lyrique ou épique en fonction des besoins de la scène. Elle la renforce
sans jamais la submerger.


Finalement cette série est tout simplement une perle.
A la différence de France télévision, la NHK n'a tout simplement pas oublié ce qu'implique le "service publique" : pédagogie sociale (apprendre au petits japonais ce qu'implique la société) pédagogie artistique (c'est pas en regardant bob l'éponge qu'un enfant intégrera c'est qu'est le "beau", "l'harmonieux") et loisir grand public.



Si je n'avais pas peur de faire une analogie déplacée, j'écrirais un truc du genre : Imaginez une série de Mxxxx, où le premier épisode commence avec Totoxx et qu'au dernier vous finissez avec Nauxxxx; en passant par le reste.

[inico]

Joli sujet .

Les images que j'en avais vues jusqu'ici m'avaient un peu rebutées, de part leur côté enfantin, comme tu le précises.

Behachev, le 15/04/2010 à 13:07, dit :

Mais je ne me souviens pas d'une série m'aspirant à un tel point dans son cadre graphique depuis longtemps. Car la longueur de la série - 50 épisodes - et sa capacité à conserver, voire améliorer, ses qualités plastiques ; avec en outre la mise route petit à petit du "grand scénario" crée un tout autre effet que les très belles mais trop courtes série récentes originales graphiquement (la mélodie du ciel...) qui n'auront jamais le pouvoir immersif d'une saga longue et écrite/réalisée pour 50 épisodes d'entrée (et non 13*X ou 26*Y dont c'est maintenant systématiquement le cas)

C'est ce qui me donne envie. Une série relativement calme, mais que se suit et s'apprécie dans la longueur, en prenant son temps. Le genre de série dont on se rend compte à quel point on l'a aimé au moment où elle s'arrête, de part le vide qui est alors crée.
Pour couronner le tout, une de mes teams fr préférée est dessus .

[inico]

Premières impressions après avoir vu la première partie (puisqu'après ces 7 premiers épisodes, un nouveau chapitre s'annonce) de la série.

Comme le dit Behachev, on peut aisément trouver des analogies avec l'univers de Mxxxxxx. Si ce n'est une société matriarcale, on y retrouve une femme forte devant lutter dans un univers d'hommes, l'importance de la communion des différentes espèces vivantes entre elles et de l'homme avec la nature. Tout autant que l'animation.
Et c'est d'autant plus vrai que j'ai trouvé que l'austérité de l'animation (plus que de la simplicité) colle bien avec le récit, assez pur dans son discours. Il s'agit de fait un peu d'un retour aux sources.
La représentation des scènes violentes par des images surréalistes participe également à cela, donnant à la série un côté comte issu d'un livre pour enfants.
Par contre, j'ai trouvé la bande son parfois inégale. En dehors des belles parties jouées au piano, on a parfois le droit à des morceaux joués à la guitare électrique d'assez mauvais goût.

Quand à l'histoire et aux personnages, je ne suis peut-être pas encore assez avancé pour pouvoir réellement donner un avis. Disons qu'au 5ème épisode j'ai eu un peu peur que cela ne tarde à avancer. Mais au 6ème les choses s'accélèrent pour aboutir sur ce 7ème épisode où un nouveau tournant se dessine.
J'avoue aussi avoir des craintes quand au personnage principal: Erin. Elle a quand même un chouia tendance à m'énerver. Mais pourtant, j'ai du mal à trouver grand-chose à lui reprocher, ses réactions et son comportement n'étant autre chose que ceux d'une petite fille de son âge.

A voir donc aussi comment elle va désormais évoluer .

[Def_Zedd]

Après une quarantaine d'épisodes, la série reste sympathique, avec son atmosphère poétique si particulière.
Effectivement, le rythme est parfois un peu lent dans certains épisodes mais l'intrigue principale prend doucement de l'ampleur et laisse espérer un beau sprint final.

Les personnages sont attachants et leur évolution est réaliste et cohérente pour l'instant. Un seul point négatif pour ma part : le duo des comiques sensé apporter la touche d'humour absente du reste de l'anime... souvent caricatural et peu convaincant, je le trouve complétement inutile et parfois pesant.

Mais l'ensemble reste plaisant à regarder, agréable et sans prétention.

[inico]

Def_Zedd, le 25/05/2010 à 21:17, dit :

Après une quarantaine d'épisodes, la série reste sympathique, avec son atmosphère poétique si particulière.
Effectivement, le rythme est parfois un peu lent dans certains épisodes mais l'intrigue principale prend doucement de l'ampleur et laisse espérer un beau sprint final.

Les personnages sont attachants et leur évolution est réaliste et cohérente pour l'instant. Un seul point négatif pour ma part : le duo des comiques sensé apporter la touche d'humour absente du reste de l'anime... souvent caricatural et peu convaincant, je le trouve complétement inutile et parfois pesant.

Mais l'ensemble reste plaisant à regarder, agréable et sans prétention.

Très bien résumé.
Pas le genre de série à rendre dingue intoxiqué ni à prétendre vouloir révolutionner quoi que ce soit. Une histoire simple, classique, qui prend son temps pour s'installer. A la fois reposant, et donnant l'impression d'un retour aux sources, avant d'attaquer des choses plus "furieuses".

Je suis aussi d'accord avec toi quand à propos des deux gus censés être le ressort comique de l'anime. Ils sont sans grand intérêt et la série aurait pu facilement s'en passer. Et c'est d'autant plus pénible quand on nous impose un épisode entier gravitant autour d'eux. Mais bon, disons que c'est un passage obligatoire .

[FinalFan]

J'ai commencé la série cette semaine et j'ai regardé le premier arc avec la récap incluse (jusqu'à l'épisode 14), en quelques mots : sous le charme !

Pourtant on peut pas dire à première vue que c'est passionnant (je dirais même reposant ^^), j'aurais même du mal à résumer ce que j'ai vu à part par "Erin découvre la vie" et qu'on découvre un peu le monde par le biais de ses yeux.
Tout repose clairement sur ses frêles épaules (à voir comment ça va évoluer par la suite vu qu'il y a un saut de quatre ans à prévoir) c'est clair qu'en tant que gros loli irrécupérable j'ai trop trop trop accroché à Erin (suffisamment rare pour être signalé) malgré une voix qui paraît un peu fade, mais qui au final colle bien au perso.

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A noter que j'étais tellement dedans que j'ai pleuré la mère d'Erin tellement le passage était somptueusement mis en scène avec ce mélange d'injustice dont est victime Soyon et de la force d'esprit dont elle fait preuve en sauvant Erin sans pour autant chercher à échapper à la sentence à laquelle elle était condamnée. Merveilleuse démonstration d'amour maternel.

Pour ce qui est du bilan artistique j'aime beaucoup entre les fonds très pastel et les jolies métaphores en guise de censure des passages violents.
Je crie pas encore au chef d'œuvre de 2009 vu que j'ai encore 2/3 de la série à voir, mais je doute être déçu quand même...

[FinalFan]

Histoire de contrebalancer avec le post d'avant ^^

J'ai fini la série il y'a déjà deux semaines et pour faire simple, Erin c'est le genre de chef d'œuvre que la japanim' nous offre que trop rarement (là je parle en années carrément).
J'ai pas eu cette réaction de grande surprise depuis Kaleido Star, pour détailler, regarder un anime duquel je n'attends rien de particulier, que je ne nourris pas d'attentes spécifiques comme ça pourrait être le cas avec des licences fortes ou qui rentrent dans mes genres de prédilection.

50 (comme Kaleido d'ailleurs, mais allez pas croire que les deux séries se ressemblent non plus) ça peut paraître long, mais en fait l'histoire est suffisamment amenée intelligemment au rythme qu'il faut pour que le temps fasse son œuvre, Erin est une héroïne qui porte très bien la série sur ses épaules.

Bref c'est un ensemble qui font que j'ai vraiment adoré et qui rend également difficile d'appuyer les points forts spécifiques à Erin.
Encore heureux que la Sôai était là, sinon y'aurait eu de fortes chances que je passe à côté de cet anime .

[inico]

FinalFan, le 14/09/2010 à 21:50, dit :

Histoire de contrebalancer avec le post d'avant ^^
(...)
Encore heureux que la Sôai était là, sinon y'aurait eu de fortes chances que je passe à côté de cet anime .

Tout pareil pour moi, si S'n'n n'avait pas été sur le projet, je ne m'y serai jamais intéressé.
Mais contrairement à toi, je reste fidèle jusqu'au bout .

Et c'est donc coeur tenaillé par l'angoisse que je me restreins à regarder au compte goutte les derniers épisodes.
Il faut dire que, après le passage plutôt tranquille et contemplatif que constitue,
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l'éducation d'Erin par Jone, puis sa formation d'éleveuse de bête,

les choses se corsent sérieusement à partir de l'épisode 38, et tous les différents petits "à côtés" que l'on avait pu voir apparaitre depuis le début de la série commencent à avoir un sens.
A partir de cet épisode 38, il n'en est pas un qui distille son lot de trauma ou d'émotion forte et chacun se termine sur une bouffée d'angoisse. On se demande comment cela va pouvoir se terminer.
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En croisant les doigts non pas pour que ce soit pour le meilleur , vu comment les choses tournent ça parait trop improbable, mais au moins pour le moins pire.

Et j'en suis parfois à regretter la partie de la vie d'Erin avec prout l'apiculteur. Une époque calme et si revigorante.

FinalFan, le 14/09/2010 à 21:50, dit :

50 (comme Kaleido d'ailleurs, mais allez pas croire que les deux séries se ressemblent non plus) ça peut paraître long, mais en fait l'histoire est suffisamment amenée intelligemment au rythme qu'il faut pour que le temps fasse son œuvre, Erin est une héroïne qui porte très bien la série sur ses épaules.

C'est ce qui est formidable, justement, avec une série qui prend le temps d'installer tous les différents éléments d'une intrigue. Les scénaristes distillent tout un tas de petits détails, de personnages secondaires, jusqu'à une apothéose qui voit le tout devenir cohérent et prendre forme. Comme si rien n'avait été laissé au hasard depuis le début.

Et même, si le passage "central" de la série est relativement calme, c'est à dire que ce n'est pas le genre dont je pourrais enchainer les épisodes d'une traite (au risque de m'endormir), celà reste fort agréable à suivre. Mais toute cette partie finale (je me répète, désolé ) est vraiment terrrrrible .

[Behachev]

inico, le 15/09/2010 à 08:22, dit :

Tout pareil pour moi, si S'n'n n'avait pas été sur le projet, je ne m'y serai jamais intéressé.
[...]
C'est ce qui est formidable, justement, avec une série qui prend le temps d'installer tous les différents éléments d'une intrigue. Les scénaristes distillent tout un tas de petits détails, de personnages secondaires, jusqu'à une apothéose qui voit le tout devenir cohérent et prendre forme. Comme si rien n'avait été laissé au hasard depuis le début.

Et même, si le passage "central" de la série est relativement calme, c'est à dire que ce n'est pas le genre dont je pourrais enchainer les épisodes d'une traite (au risque de m'endormir), celà reste fort agréable à suivre. Mais toute cette partie finale (je me répète, désolé ) est vraiment terrrrrible .

Effectivement, sans la S'n'n' je serais aussi passé à coté de la petite Erin, et en plus ils font un boulot sérieux.

Le rythme est bien adapté à un découpage hebdomadaire. Ils ont pleinement profité du long temps de repos pour prendre le temps. Cela change des gros cliffhanger.


Sinon un des points (critiqué au début) qui trouve sa raison d'être avec l'assombrissement dans la dernière douzaine, c'est le rôle des deux comiques. Sans eux ce cycle deviendrait bien terne.

[inico]

49, 50, série finie .

La petite Erin va un peu me manquer. Petite ? Il faudrait que je me ravise. Mais il est vrai qu'il est étonnant de l'avoir vu grandir sans s'en rendre compte, comme un petit cousin qui a aujourd'hui l'apparence d'un affreux de 20 ans et dont on garde le souvenir d'un si mignon bébé.
Cette sensation de temps passé est d'ailleurs un des gros charmes de la série.
A laquelle on pardonnera donc facilement ses quelques longueurs, finalement plutôt agréables et accueillantes, tout comme les nombreux et répétitifs flash-backs, qui ne l'alourdissent en rien.

Et une bien belle conclusion, comme dans un conte .

Quand à la toute fin...
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Même si on ne le voit pas, pas difficile d'imaginer qui est le papa du petit

[Def_Zedd]

Tout pareil qu'Inico,

Une belle série qui se termine
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sans grande surprise

, mais avec l'impression que l'auteur a su nous tenir, voir nous bercer, dans ce conte. Bref, on glisse tout doucement de l'épisode 0 au 50.

La réussite en incombe incontestablement au charisme d'Erin, du début à la fin, et à la crédibilité des actions/réactions des personnages secondaires.


Un grand merci à la S'N'N pour le travail réalisé.


[Voir le message caché (spoiler)]

J'en viens presque à pardonner nos comiques amateurs, mais personnellement et pour répondre à Behachev, ca ne m'aurait pas déranger que la série s'assombrisse, quitte à m'arracher une petite larme. Après avoir autant captiver le spectateur, c'est "dommage" de le libérer avec un happy end (cf. Kenshin pour ceux qui connaisse).

Quant à la toute fin :


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En même temps, vu la gueule du gamin c'est difficile de se tromper XD

[inico]

Def_Zedd, le 21/10/2010 à 19:55, dit :

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J'en viens presque à pardonner nos comiques amateurs, mais personnellement et pour répondre à Behachev, ca ne m'aurait pas déranger que la série s'assombrisse, quitte à m'arracher une petite larme. Après avoir autant captiver le spectateur, c'est "dommage" de le libérer avec un happy end (cf. Kenshin pour ceux qui connaisse).

Quant à la toute fin :
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En même temps, vu la gueule du gamin c'est difficile de se tromper XD

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J'ai été partagé entre le soulagement que tout se termine bien, et le regret que la montée en intensité des épisodes fin 40's début 50's ne retombe un peu.
Le coup du gamin, j'ai trouvé ça aussi un peu exagéré.
Mais au moins on n'aura pas eu le droit à un banquet avec la Reine, son tout nouveau bien-aimé, Erin et son promis, plus les deux rigolos en train de danser sur la table.
Ca reste quand même digne (même si le cousin pendu au bout d'une corde, je n'aurai pas dit non ).

[cerber]

Série finie, et agréablement surpris par ce beau conte un peu à l'ancienne, mais pas dénué de charmes.

Le dessin est quand même un peu moyen, et les scènes stylées estampes lors des moments un peu saignants sont un peu casse bonbon.

Mais à part ce point bien précis, ça reste un véritable petit joyau à voir sans modération.

Je ne sais pas à quel public c'est destiné à la base, mais ça risque de susciter quelques vocations de vétérinaires chez les plus jeunes

En tout cas, je suis content que ce genre d'animes ait émergé (via le fansub) dans nos contrées. Ça nous change de la médiocrité des productions du coin.

[Behachev]

cerber, le 24/10/2010 à 16:44, dit :

Je ne sais pas à quel public c'est destiné à la base, mais ça risque de susciter quelques vocations de vétérinaires chez les plus jeunes

Comme la plus part des Miyasaki, un public assez jeune je pense. Les plus vieux (nous) n'étant en fait intéressés surtout du fait des grandes qualités.

Si ça crée des vocation pour véto, j'espère qu'ils ne seront pas déçu quand ils verront au programme caniches et brebie en lieux et place des touda et Seigneurs des bêtes. >_<


Sinon le roman est paru chez Milan. Toute la série tenant en 2 tomes lus en 5h chrono et pourtant toute l'histoire y est. J'admire le romancier qui réussit à peindre 20 ans de vie d'Erin si facilement... et le scénariste qui a réussit à en faire 50 épisodes sans donné l'impression de diluer et rediluer.