Bonjour bonjour !
Enfin quelque chose d'intéressant dans mon blog
En effet je viens de récupérer une sorte de magazine, qui reprend des articles d'autres magazines. Il se nomme Citato, et c'est son 11e numéro.
Dans celui j'ai trouvé un article fort intéressant sur "le téléchargement légal ou non de musique sur internet".
Je me permets donc de le recopier, et de mettre en gras ce qui me fait marrer
Allez c'est parti.
Le téléchargement gratuit sur Internet s'effectue via des plates formes alimentées par les internautes eux-mêmes. C'est le principe du peer-to-peer, du partage de fichiers : Kazaa, LimeWire... Le problème est que ce système ne tient pas compte de la source même de la musique, c'est à dire le créateur. Le téléchargmeent gratuit implique aucune rémunération pour les créateurs, les artistes et les producteurs. Le débat n'est pas de distinguer le bien ou le mal, les gentils des méchants, il s'agit de comprendre comment ce système met en péril l'industrie du disque et, à plus ou moins longue échéance, notre plaisir à tous.
Les artistes eux-mêmes sont montés au créneau. "Notre album a représenté 3 ans de travail impliquant une vingtaine de personnes expliquent par exemple les Blankaas. Il aura fallu quatre minutes et trente secondes à un ami pour le télécharger gratuitement...". De leur côté, les maisons de disques mettent tout en oeuvre pour faire face au téléchargement sauvage de la musique sur Internet.
OU ET COMMENT TELECHARGER LEGALEMENT SUR INTERNET ?
La filière musciale propose aujourd'hui, via diverses plates formes de téléchargement, un accès payant à la musique que chacune gère selon son catalogue. Plus de 70000 titres sont déjà disponibles. Ces sites mettent en vente la musique au morceau et à l'album complet. Les prix varient très peu d'un site à l'autre, de 0.80 € à 0.99 € le fichier. Des systèmes de forfaits et d'abonnements sont proposés, ainsi qu'une multitude d'offres et de services.
Bref, tout ce que le gratuit ne propose pas.(1)
Évidemment, il est difficile pour ces plates formes légales de convaincre l'internaute et l'amateur de musique de payer là où il n'a pas forcément besoin de le faire.
Mais plusieurs critères plaident en faveur des sites légaux dont, bien évidemment, la qualité du produit, reconnu par tous, du moins par les professionnels du son. Télécharger sur Alapage.com ou Virginmega.fr par exemple, c'est s'assurer d'un son parfait, équivalent à celui fourni par un cd.(2)
Les plates formes gratuites ne peuvent pas, techniquement, y parvenir. Raison : le partage multiplie les connexions et la circulation des fichiers, ce qui endommage forcément ces derniers.(3) C'est aussi pour cette raison que la réponse de l'industrie du disque au peer-to-peer, prend du temps (et donc de l'argent).
Il faut également savoir que les sites légaux permettent de graver ou encore de transférer des titres, sur des lecteurs portables avec, là encore, une qualité optimale.(4)
On pourra enfin se rappeler que télécharger gratuitement de la musique sur Internet est illégal et passible de sanctions judiciaires(5). Certes, cette raison n'est pas le plus glamour mais elle existe, et l'arsenal juridique pour combattre le piratage (même si celui-ci ne disparaîtra jamais complètement, comme il a toujours existé) devrait se renforcer dans les mois et les années à venir.
FIN DE L'ARTICLE
Mes réactions :
1. Qu'est-ce qu'il ne fournit pas ? Des forfaits ? Bah forcément, vu que c'est gratuit
2. Un son parfait ? Du mp3 128kbps en CBR (constant bitrate), j'appelle pas ça du son parfait. Pire encore, c'est parfois du wma. Faudrait qu'ils changent leurs "professionnels du son".
3. Depuis quand partager un fichier, "use" ce dernier ? Je ne vois pas en quoi il se dégrade... Sauf si on encode le fichier encodé... Mais je ne pense pas qu'ils parlent de ça.
4. Ahah... et on peut pas faire ça avec des fichiers récupérés ailleurs ? Y'a QUE sur ces sites qu'on peut le faire ? Mais n'importe quoi là !
5. Hmm ok je vois. Donc si je vais sur les sites des groupes, et que je récupère les mp3 qu'ils mettent en téléchargement libre, c'est illégal... OH les méchants, ils essaient de nous piéger !! Et puis n'oublions pas des sites comme purevolume par exemple, pour eux ça serait un site illégal.
Bref un bel article qui conforte mon opinion, maintenant, on assimile le gratuit au piratage. Et surtout on parle sans même savoir comment ça fonctionne, en se basant sur ce qu'on entend par ci par là.
Maintenant je vous laisse donner votre avis
PS : je précise que l'article a été fait en partenariat avec
Pro Music France, vous y trouverez encore plein de conneries monumentales :whistling:
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