Voici l'article : (soyez cool, j'ai tout reecrit depuis le journal manuscritement)
Pirates Suisse : La traque est lancée
A l'image des Etats Unis, l'industrie musicale helvétique a lancé une offensive massive contre les pirates sur le net qui risquent de loursdes amendes et la prison.
Par Thierry Vial
Depuis plusieurs semaines, le lobby du dissque américain a lancé une large offensive contre les millions d'adeptes du téléchargement de musique sur l'internet. Après avoir multiplié les mises en garde durant l'éto, la RIAA (REcord Industry Association of America) est passée a l'attaque en déposant 261 actions en justeice contre les internautes coupable de violation des droits d'auteur. En Suisse, l'IFPI, le pendant européens de la RIAA, suit exactement la même voie. "Nous avons déjà repérer et attrapé des centaines de pirates et deux étudiants viennent d'être condamnés. Entre les dommages, les frais de justice et l'amende, ils vont devoir débourser 30'000Chf" Explique Beat Högger, avocat pour l'IFPI à Zurich.
Toutes les nuits, un programme espion fouille les sites internet de musique en ligne afin de repérer les pirates helvétiques. Une fois identifiés, ils sont contactés par les avocats
(ya pas un bug la? y sont senser demander l'accord aux FAI) de l'industrie du disque qui essaient de négocier un accord à l'amiable avec eux. "S'ils vont au procès, ils risquent jusqu'à 100'000Chf d'amende et trois ans de prison, prévient Beat Högger. Même les cas bénins sont passibles d'une année de réclusion. La base de calcul pour l'amende est simple : c'est environ 50Chf par chanson téléchargée sur un site comme Kazaa et 1 franc chaque fois qu'un internautes s'est servi d'un morceau sur le disque dur de l'accusé. Quand l'on sait que les utilisateurs sont des dizaines de millions, le montant total des amendes peut vite s'avérer très conséquent.
Les risques sont particulièrement élevés pour les pirates Suisse, d'autant plus que l'IFPI n'est pas seule à s'être lancée dans cette chasse sur sol helvétique. La swiss Anti Piracy Fedecation (SAFE) mène également une lutte sévère contre la fraude. "Jusqu'à présent, nous nous sommes montrés plutot clément en matière de piratage, car il n'existais pas encore de réseau légal de vente sur le net. Désormais, ce n'est plus le cas. Et nous ne ferons plus de cadeau", explique Adriano Vigano, Avocat pour la SAFE à Zurich. Une quinzaine d'anciens inspécteurs de la police criminelle ont d'ailleur été débauchés pour traquer les fraudeurs en Allemagne et en Suisse. Et plusieurs avocatssont encore recherchés, notamment en Suisse romande
(chez Puppets et moi
).
je finirais demain, j'ai mal aux doigt
Hiroshima 45.
Tchernobyl 86.
Windows 95, 98, 2000. 2003.....