Sharemanga: La Loose ! - Sharemanga

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La Loose ! Partagez vos experiences ^^

Posté vendredi 01 octobre 2004 à 17:29 (#46) L'utilisateur est hors-ligne   killertime 

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à mon tour une bonne loose qui vient de m'arriver
voila j'avais une copine que je draguais depuis au moins 1 mois (pour ma part c long je suis pas patient) bref 1h de tel par jour blablabla
j'avais déja fait quelques soirées avec elle et je lui avaient même présenté des potes.
bref cette semaine j'avais ma soutenance à nantes (j'habite à laval environ 150 bornes)
elle me propose de dormir chez elle. Moi gonflé à bloc et mon esprit bien pervers j'imaginais plein de truc.
Au final, rien du tout et en plus elle veux que je la branche avec un pote, je fais style t grande tu peux te demmerder et elle me prend la tête en disant quelle comprenait pas mon comportement.
et le pire c que c pas la 1ère fois que des potes récupèrent des plans que j'avais, la prochaine, elle aura même pas le droit de sortir !!!!
"j'ai depensé 90% de mon argent en alcool et en filles, le reste je l'ai gaspillé..."

Posté vendredi 01 octobre 2004 à 17:39 (#47) L'utilisateur est hors-ligne   magetoolien 

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Citation

tu écris mageetolien ? c cool ça !


On se connait ? Tu me rends curieux d'un coup.

(Sorry pour le hors sujet, mais en pm j'ai pas eu de réponses.) ;)
(inutile de préciser de me répondre en pm pour pas prolonger le hs)
1. Eviter toutes pensées perverses.
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.

Posté lundi 04 octobre 2004 à 13:48 (#48) L'utilisateur est hors-ligne   Jojo 

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J’avais promis à Vodka-sensei de l’aider dans la création de son post sur la loose… Comme visiblement il n’avait pas réellement besoin de moi, je me suis permis un peu de retard, qu’il est malgré tout temps de rattraper.
J’admets que je n’ai pas tout lu, car je suis plus d’humeur à écrire qu’à lire en ce moment.
Ce qui ne m’a pas empêché de lire l’histoire de kuroi neko, et j’envisage maintenant d’élever une statue à son effigie au beau milieu du forum… Enfin, je verrais ça plus tard, venons en plutôt à mon histoire.

L’histoire se déroule dans la ville pluvieuse qu’est Londres, à Pâques dernier, ce n’est donc pas si loin que ça, malheureusement.
J’étais partis en colonie de vacances avec quelques 70 ados, dont seulement 20 garçons, le tout hébergé dans une auberge de jeunesse dans la banlieue de Londres. Le coin n’était pas trop mal famé, mais il valait mieux éviter de se balader tout seul la nuit dans le quartier…
L’auberge de jeunesse était remplie, pour ne pas dire bondée, et on entendait presque autant d’allemand et autre hollandais, voir un peu de russe, que d’anglais.
Dès le départ, nous nous sommes fait repérés, enfin, les filles se sont fait repérées par tout ce que comptait l’auberge de célibataire… Et vu la réputation outre-manche des françaises, je vous prie de croire qu’elles avaient bon nombre de proposition dans une journée…
Bref, le séjour ne se passa pas trop mal bien que pluvieux, et mon histoire en elle-même prend place le dernier soir, aux alentours de 21h30 quand nous sommes rentrés à l’auberge pour notre dernière nuit.

En attendant les consignes des moniteurs pour la soirée, je me suis assis, avec la fille qui était, à vrai dire, ma « cible » principale pour la colo, sur les escalier de l’auberge, juste en dessous du panneau « ne pas s’asseoir dans les escaliers ». On commence à discuter, de tout et de rien, et au bout d’un moment elle me sort une phrase que je n’oublierais sûrement jamais de ma vie : « T’es un tellement bon copain que je ne me servirais même pas de toi comme roue de secours ! »

Vous me direz, c’était la fin de la colo, et donc j’aurais même pas eu le temps d’en profiter, (quoique, nous allons voir tout à l’heure que…) mais tout l’intérêt était que cette fille plutôt mignonne, et loin d’être con ce qui ne gâchait rien, habitait à moins d’une demi-heure à pied de chez moi…

Une dizaine de minutes après le groupe se disperse dans l’auberge, et je me retrouve dans une des chambres avec deux trois autres filles et un copain. Cinq petites minutes plus tard, une des fille me fait signe de sortir un moment avec elle, « le temps de fumer une clope »…
Non, ne rêvez pas, ce n’était pas pour me faire une proposition : elle désirait simplement que je lui arrange un coup avec le copain en question…
Je passe donc en mode entremetteur, et 20 minutes après ils étaient assis tous les deux, bien à l’aise, dans un des profonds canapés de l’auberge…

Mission accomplie, je repars donc en quête d’une occupation… Sur le chemin j’apprends que ma « cible » me cherche depuis 10 minutes environ. Une flamme d’espoir s’allume en moi, et je cours vers la direction indiquée… pour la trouver, elle et deux de ses amies, en grande discussion avec un beau surfeur australien et son ami anglais. Et puisque aucune des trois filles n’étaient assez forte en anglais, on fait appel au Jojo comme traducteur. (Mater en vosta ça aide) Puisque de toute façon je n’avais rien d’autre à faire, je reste avec le groupe, traduisant dans les deux sens.

A un moment de la conversation, ma « cible » dit, pour plaisanter et sans se soucier de se faire entendre par les deux abrutis à moitié enivrés d’en face : « Je prends le brun et je te laisse le blond. »
Je vois alors le blond en question se fendre d’un grand sourire lubrique, et se pencher à l’oreille du surfeur pour lui murmurer quelque chose. La conclusion fut vite faite : il comprenait assez de français pour saisir le sens de cette phrase. Résultat : il fallait vite sortir les filles de leurs pattes, au nom de leur vertu…
L’occasion tomba à pic quand ils décidèrent d’aller au bar pour participer au jeu de la soirée : les mineurs n’avaient pas le droit de rentrer. Et pour cause, le jeu consistait à jouer aux cartes, tout en buvant et en se déshabillant un maximum. Avec des gages à base de bisou et autres caresses pour agrémenter le tout…

Quelques minutes après, je me retrouve à une table en train de jouer au tarot, mais de façon plus soft que les adultes au bar. Au bout de trois quatre parties, et comme il était déjà plus de minuit alors qu’on se levait à 4h, les filles partirent se coucher.

Puisque je n’avais rien d’autre à faire, je file dans ma chambre pour essayer de grappiller quelques heures de sommeil malgré le bruit ambiant. Je fais le digicode, pousse la porte de la chambre, et appercois un mec de l’autre chambre de garçon allongé sur mon lit. Je lui demande ce qu’il fait là, et il me répond très exactement : « Casse toi, on baise. »
Il était en effet en train de se faire tailler une pipe par un des filles de la colo.
Sans me démonter, je lui montre comment on met le verrou de l’intérieur pour qu’ils ne soient plus dérangés en pleine activité, et sors tranquillement.

Privé de mon lit, je redescends donc au rez-de-chaussée pour chercher d’autres « insomniaques » de la colo. En chemin je croise une fille en mini jupe rose, qui me demande dans un anglais teinté d’alcool si je pouvais lui indiquer le chemin vers la « plage ». Ou alors c’était peut-être la « salope »… Comme je ne connaissais ni l’un ni l’autre, et qu’elle semblait convaincue, avec sa confiance d’ivrogne, que je le savais, je lui indique le chemin du bar de l’auberge. Bar duquel commençaient à sortir, bras dessus bras dessus, des personnes de tous les sexes et de tous les ages, plus ou moins habillés. (Enfin, surtout moins…)
Je trouve dans un coin une copine, la seule encore debout, et on passe le reste de la nuit à discuter.

Je pourrais arrêter l’histoire là, mais tant que j’y suis, je la finie. A 4h du mat’ tout le monde était debout, son sac sous le bras, prêt à prendre le métro direction l’eurostar. Tout le monde, sauf trois filles. Jouant le rôle d’un mono puisque ceux-ci n’étaient pas réveillés, je monte dans leur chambre et toque à leur porte. (À laquelle était sous pendu un soutif rembourré taille 80 B, et j’eu une pensée compatissante pour l’anglais qui s’était fait avoir sur la marchandise au bar) « Oui, on arrive. »
Je redescends les trois étages, et fait signe aux monos d’y aller avec le groupe et qu’on les rattraperais en chemin.
Je remonte avec le dirlo, un monstre d’1m60 et haut et de 2m de large, pour aider les filles à porter leurs valises.
On toque à la porte.
« Oui, on arrive ! »
Le dirlo qui s’était déjà énervé contre le gérant de l’auberge : « On a plus le temps de se maquiller les filles ! On part tout de suite ! Ouvrez la porte qu’on prenne vos sacs ! »
« Nan on peut pas, là ! »
Le dirlo hurle, et elle se décident enfin à ouvrir la porte, nous dévoilant le spectacle : une chambre jonchée de fringues en tous genres, elles même encore en pyjama, dont une encore dans son lit.
Je retiens le dirlo qui semblait prêt à en assommer une, et les aide à entasser le tout le plus vite possible dans les valises.
Quinze minutes plus tard, on peut enfin partir. Et je me retrouve donc à courir en direction de la station de métro une valise sous chaque bras et mon sac de rando 70L sur le dos.
On grimpe dans le métro, le groupe ayant reçu l’ordre de nous attendre à la station d’arrivée.
C’était la 8ème, mais en doublant à toute vitesse la 7ème (on avait pris un express), surprise : tout le groupe était sur le quai à nous attendre, une station trop tôt…
Je suis donc descendu avec le dirlo et les trois filles à la bonne station, et mon très cher directeur commence à vraiment s’énerver car il n’avait plus le temps d’aller régler les formalités et d’aller rechercher le groupe qui nous attendait toujours.
Même si il n’était pas tout à fait d’accord, il accepta ma solution qui était de me faire prendre le métro pour retourner à la station d’avant chercher le groupe pendant qu’il partait devant avec les filles. De toute façon, il n’y avait plus que ça à faire. Je saute dans la rame, ressort du métro en plein centre ville, car, par chance, il fallait passer à l’extérieur pour passer d’un sens à l’autre. Je me retrouve donc à demander mon chemin en plein Londres à 4h du mat’ à trois ivrognes. Heureusement, ils étaient assez à jeun, façon de parler, pour m’indiquer la bonne direction.
Mes malheurs de la soirée s’arrêtent là, la suite s’étant déroulée sans incident majeur


Merci à ceux qui ont eu le courage de me lire jusqu’à là, j’espère ne pas vous avoir trop endormis.
:sifle:

Posté lundi 04 octobre 2004 à 13:52 (#49) L'utilisateur est hors-ligne   miaka 

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la pire chose qui puisse arriver à un être humain et qui reste néanmoins incroyable.
j'ai rippé sur une peau de banane (indienne bien sûr).
...

[anecdote à garder pour les petits enfants.]
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Posté lundi 04 octobre 2004 à 19:03 (#50) L'utilisateur est hors-ligne   Chico008 

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killertime, le vendredi 01 octobre 2004, 18:29, dit :

à mon tour une bonne loose qui vient de m'arriver
voila j'avais une copine que je draguais depuis au moins 1 mois (pour ma part c long je suis pas patient) bref 1h de tel par jour blablabla
j'avais déja fait quelques soirées avec elle et je lui avaient même présenté des potes.
bref cette semaine j'avais ma soutenance à nantes (j'habite à laval environ 150 bornes)
elle me propose de dormir chez elle. Moi gonflé à bloc et mon esprit bien pervers j'imaginais plein de truc.
Au final, rien du tout et en plus elle veux que je la branche avec un pote, je fais style t grande tu peux te demmerder et elle me prend la tête en disant quelle comprenait pas mon comportement.
et le pire c que c pas la 1ère fois que des potes récupèrent des plans que j'avais, la prochaine, elle aura même pas le droit de sortir !!!!

t'aurais ete plus malin, tu lui aurait pas presenter tes potes. :sifle:


<= retrospective de sign, ou :
l'evolution de l'utilisation de photoshop

Posté lundi 04 octobre 2004 à 19:35 (#51) L'utilisateur est hors-ligne   Minnie Mey 

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Eh bah Jojo ... moi j'ai tout lu sans m'endormir si ca peux tfaire plaisir ^^; !! Mais ... cette fille c'était juste une "cible" a part entière ou t'avais des sentiments pour elle ? :D Parcke si c'est le cas ca dû faire très très mal :sifle: ...

Sinon moi j'ai vécu une magnifique loose a la fin du printemps ou un mec s'est bien foutu dma geule :D mais si ca arrive , jvous raconterai les deux loose en un seul post !! Ca fait moins ... " Vie sentimentale de Minnie = loose + méga loose !! Haha mais quelle conne !!! " mmdddr !
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Ext le naïf dit :

mais dis donc, Minnie. tu ne serais pas un peu morfale, par hasard ?!

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Posté mardi 05 octobre 2004 à 00:00 (#52) L'utilisateur est hors-ligne   Fifou 

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Jojo, le lundi 04 octobre 2004, 13:48, dit :

J’avais promis à Vodka-sensei de l’aider dans la création de son post sur la loose… Comme visiblement il n’avait pas réellement besoin de moi, je me suis permis un peu de retard, qu’il est malgré tout temps de rattraper.
J’admets que je n’ai pas tout lu, car je suis plus d’humeur à écrire qu’à lire en ce moment.
Ce qui ne m’a pas empêché de lire l’histoire de kuroi neko, et j’envisage maintenant d’élever une statue à son effigie au beau milieu du forum… Enfin, je verrais ça plus tard, venons en plutôt à mon histoire.

L’histoire se déroule dans la ville pluvieuse qu’est Londres, à Pâques dernier, ce n’est donc pas si loin que ça, malheureusement.
J’étais partis en colonie de vacances avec quelques 70 ados, dont seulement 20 garçons, le tout hébergé dans une auberge de jeunesse dans la banlieue de Londres. Le coin n’était pas trop mal famé, mais il valait mieux éviter de se balader tout seul la nuit dans le quartier…
L’auberge de jeunesse était remplie, pour ne pas dire bondée, et on entendait presque autant d’allemand et autre hollandais, voir un peu de russe, que d’anglais.
Dès le départ, nous nous sommes fait repérés, enfin, les filles se sont fait repérées par tout ce que comptait l’auberge de célibataire… Et vu la réputation outre-manche des françaises, je vous prie de croire qu’elles avaient bon nombre de proposition dans une journée…
Bref, le séjour ne se passa pas trop mal bien que pluvieux, et mon histoire en elle-même prend place le dernier soir, aux alentours de 21h30 quand nous sommes rentrés à l’auberge pour notre dernière nuit.

En attendant les consignes des moniteurs pour la soirée, je me suis assis, avec la fille qui était, à vrai dire, ma « cible » principale pour la colo, sur les escalier de l’auberge, juste en dessous du panneau « ne pas s’asseoir dans les escaliers ». On commence à discuter, de tout et de rien, et au bout d’un moment elle me sort une phrase que je n’oublierais sûrement jamais de ma vie : « T’es un tellement bon copain que je ne me servirais même pas de toi comme roue de secours ! »

Vous me direz, c’était la fin de la colo, et donc j’aurais même pas eu le temps d’en profiter, (quoique, nous allons voir tout à l’heure que…) mais tout l’intérêt était que cette fille plutôt mignonne, et loin d’être con ce qui ne gâchait rien, habitait à moins d’une demi-heure à pied de chez moi…

Une dizaine de minutes après le groupe se disperse dans l’auberge, et je me retrouve dans une des chambres avec deux trois autres filles et un copain. Cinq petites minutes plus tard, une des fille me fait signe de sortir un moment avec elle, « le temps de fumer une clope »…
Non, ne rêvez pas, ce n’était pas pour me faire une proposition : elle désirait simplement que je lui arrange un coup avec le copain en question…
Je passe donc en mode entremetteur, et 20 minutes après ils étaient assis tous les deux, bien à l’aise, dans un des profonds canapés de l’auberge…

Mission accomplie, je repars donc en quête d’une occupation… Sur le chemin j’apprends que ma « cible » me cherche depuis 10 minutes environ. Une flamme d’espoir s’allume en moi, et je cours vers la direction indiquée… pour la trouver, elle et deux de ses amies, en grande discussion avec un beau surfeur australien et son ami anglais. Et puisque aucune des trois filles n’étaient assez forte en anglais, on fait appel au Jojo comme traducteur. (Mater en vosta ça aide) Puisque de toute façon je n’avais rien d’autre à faire, je reste avec le groupe, traduisant dans les deux sens.

A un moment de la conversation, ma « cible » dit, pour plaisanter et sans se soucier de se faire entendre par les deux abrutis à moitié enivrés d’en face : « Je prends le brun et je te laisse le blond. »
Je vois alors le blond en question se fendre d’un grand sourire lubrique, et se pencher à l’oreille du surfeur pour lui murmurer quelque chose. La conclusion fut vite faite : il comprenait assez de français pour saisir le sens de cette phrase. Résultat : il fallait vite sortir les filles de leurs pattes, au nom de leur vertu…
L’occasion tomba à pic quand ils décidèrent d’aller au bar pour participer au jeu de la soirée : les mineurs n’avaient pas le droit de rentrer. Et pour cause, le jeu consistait à jouer aux cartes, tout en buvant et en se déshabillant un maximum. Avec des gages à base de bisou et autres caresses pour agrémenter le tout…

Quelques minutes après, je me retrouve à une table en train de jouer au tarot, mais de façon plus soft que les adultes au bar. Au bout de trois quatre parties, et comme il était déjà plus de minuit alors qu’on se levait à 4h, les filles partirent se coucher.

Puisque je n’avais rien d’autre à faire, je file dans ma chambre pour essayer de grappiller quelques heures de sommeil malgré le bruit ambiant. Je fais le digicode, pousse la porte de la chambre, et appercois un mec de l’autre chambre de garçon allongé sur mon lit. Je lui demande ce qu’il fait là, et il me répond très exactement : « Casse toi, on baisse. »
Il était en effet en train de se faire tailler une pipe par un des filles de la colo.
Sans me démonter, je lui montre comment on met le verrou de l’intérieur pour qu’ils ne soient plus dérangés en pleine activité, et sors tranquillement.

Privé de mon lit, je redescends donc au rez-de-chaussée pour chercher d’autres « insomniaques » de la colo. En chemin je croise une fille en mini jupe rose, qui me demande dans un anglais teinté d’alcool si je pouvais lui indiquer le chemin vers la « plage ». Ou alors c’était peut-être la « salope »… Comme je ne connaissais ni l’un ni l’autre, et qu’elle semblait convaincue, avec sa confiance d’ivrogne, que je le savais, je lui indique le chemin du bar de l’auberge. Bar duquel commençaient à sortir, bras dessus bras dessus, des personnes de tous les sexes et de tous les ages, plus ou moins habillés. (Enfin, surtout moins…)
Je trouve dans un coin une copine, la seule encore debout, et on passe le reste de la nuit à discuter.

Je pourrais arrêter l’histoire là, mais tant que j’y suis, je la finie. A 4h du mat’ tout le monde était debout, son sac sous le bras, prêt à prendre le métro direction l’eurostar. Tout le monde, sauf trois filles. Jouant le rôle d’un mono puisque ceux-ci n’étaient pas réveillés, je monte dans leur chambre et toque à leur porte. (À laquelle était sous pendu un soutif rembourré taille 80 B, et j’eu une pensée compatissante pour l’anglais qui s’était fait avoir sur la marchandise au bar) « Oui, on arrive. »
Je redescends les trois étages, et fait signe aux monos d’y aller avec le groupe et qu’on les rattraperais en chemin.
Je remonte avec le dirlo, un monstre d’1m60 et haut et de 2m de large, pour aider les filles à porter leurs valises.
On toque à la porte.
« Oui, on arrive ! »
Le dirlo qui s’était déjà énervé contre le gérant de l’auberge : « On a plus le temps de se maquiller les filles ! On part tout de suite ! Ouvrez la porte qu’on prenne vos sacs ! »
« Nan on peut pas, là ! »
Le dirlo hurle, et elle se décident enfin à ouvrir la porte, nous dévoilant le spectacle : une chambre jonchée de fringues en tous genres, elles même encore en pyjama, dont une encore dans son lit.
Je retiens le dirlo qui semblait prêt à en assommer une, et les aide à entasser le tout le plus vite possible dans les valises.
Quinze minutes plus tard, on peut enfin partir. Et je me retrouve donc à courir en direction de la station de métro une valise sous chaque bras et mon sac de rando 70L sur le dos.
On grimpe dans le métro, le groupe ayant reçu l’ordre de nous attendre à la station d’arrivée.
C’était la 8ème, mais en doublant à toute vitesse la 7ème (on avait pris un express), surprise : tout le groupe était sur le quai à nous attendre, une station trop tôt…
Je suis donc descendu avec le dirlo et les trois filles à la bonne station, et mon très cher directeur commence à vraiment s’énerver car il n’avait plus le temps d’aller régler les formalités et d’aller rechercher le groupe qui nous attendait toujours.
Même si il n’était pas tout à fait d’accord, il accepta ma solution qui était de me faire prendre le métro pour retourner à la station d’avant chercher le groupe pendant qu’il partait devant avec les filles. De toute façon, il n’y avait plus que ça à faire. Je saute dans la rame, ressort du métro en plein centre ville, car, par chance, il fallait passer à l’extérieur pour passer d’un sens à l’autre. Je me retrouve donc à demander mon chemin en plein Londres à 4h du mat’ à trois ivrognes. Heureusement, ils étaient assez à jeun, façon de parler, pour m’indiquer la bonne direction.
Mes malheurs de la soirée s’arrêtent là, la suite s’étant déroulée sans incident majeur


Merci à ceux qui ont eu le courage de me lire jusqu’à là, j’espère ne pas vous avoir trop endormis.
:lol:

Je comprends bien que tu aurais du engager en premier ce post :D
Mais il n'a pas eu la chance d'avoir des potes qui n'oseraient pas se taper ses copines :lol:) Et toi t'es bien trop cool!
Dans les boucheries dans ce genre faut y allait comme un porc & même si t'en fait plusieurs à la pelle (des petits rateaux) tu tomberas bien sur une compaticente, seulement il faut être plus rapide : elles sont comme nous , elles en veulent mais ils faut leurs en donner :w00t:

Posté mardi 05 octobre 2004 à 08:20 (#53) L'utilisateur est hors-ligne   Jojo 

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Minnie Mey-chan dit :

Eh bah Jojo ... moi j'ai tout lu sans m'endormir si ca peux tfaire plaisir ^^;


Merciii ! :lol: T'es vraiment adorable ! :lol:



Minnie Mey-chan dit :

Mais ... cette fille c'était juste une "cible" a part entière ou t'avais des sentiments pour elle ?  Parcke si c'est le cas ca dû faire très très mal  ...


Disons que je n'en avais pas qu'après son cul... ( très très bien cela dit en passant, je lui ai assez souvent servi de siege dans le métro pour le savoir :P )


fifal dit :

Dans les boucheries dans ce genre faut y allait comme un porc & même si t'en fait plusieurs à la pelle (des petits rateaux) tu tomberas bien sur une compaticente, seulement il faut être plus rapide : elles sont comme nous , elles en veulent mais ils faut leurs en donner


Mouais, mais en même temps c'est pas des types dans mon genre dont elles ont envie pour s'éclater un soir... :lol:
Par contre c'était pas la peine de copier tout mon post, il était déjà bien assez long pour ne pas avoir à le mettre en double ! :D

Minnie Mey-chan dit :

" Vie sentimentale de Minnie = loose + méga loose !! Haha mais quelle conne !!! "


Tu veux qu'on fasse un concours ? On met Vashu dans le tas, et je suis presque sur que tu as l'air ridicule... :w00t: :D ;)




Édit pour myu :

Pour le scénar de Remi, j'étais surement même pas né... :P Je plaide innocent !

Quant au reste, c'est surement un joyeux mélange des deux.

Citation

En tout cas, rien qu'a te lire, j'etait mal a l'aise!

Je savais pas si je devais rire ou pleurer, j'ai préféré rire. :o
Et je préfére encore qu'elle me prenne pour un grand frère que pour un ennemi mortel ! :) Faut savoir regarder le bon coté des choses, sinon on a pas fini de déprimer, et j'ai eu quelques experience qui font relativiser les choses.
En plus je suis surement meilleur en grand frère qu'en ptit copain, ne serait-ce que parce que j'ai nettement plus d'expérience en la matière. :D :P B)

Posté mardi 05 octobre 2004 à 10:27 (#54) L'utilisateur est hors-ligne   myu 

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..

Posté mardi 05 octobre 2004 à 12:38 (#55) L'utilisateur est hors-ligne   GiGuEuR 

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Citation

Puisque je n’avais rien d’autre à faire, je file dans ma chambre pour essayer de grappiller quelques heures de sommeil malgré le bruit ambiant. Je fais le digicode, pousse la porte de la chambre, et appercois un mec de l’autre chambre de garçon allongé sur mon lit. Je lui demande ce qu’il fait là, et il me répond très exactement : « Casse toi, on baisse. »
Il était en effet en train de se faire tailler une pipe par un des filles de la colo.
Sans me démonter, je lui montre comment on met le verrou de l’intérieur pour qu’ils ne soient plus dérangés en pleine activité, et sors tranquillement.


Arf! Il a du culot le gars dans ta propre chambre! Dans ce temps là tu lui répond : "C'est mon pieu, partage ou jte cogne!"

Ton histoire me rapelle bien des soirées mon cher Jojo :amour:
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Posté mardi 05 octobre 2004 à 23:43 (#56) L'utilisateur est hors-ligne   herc 

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aha t'es pas crédible du tout jojo, mais tu racontes assez bien ton histoire. T'as peut etre de l'avenir en temps qu'écrivain
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Vieux Plouc Elitiste.

Posté mercredi 06 octobre 2004 à 00:17 (#57) L'utilisateur est hors-ligne   Arkangel 

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Hum, j'aimerais vous raconter une histoire de looser, mais j'ai peur de devoir faire mon autobiographie ... :P

Aller si, va pour la plus récente ...

C'était le dernier jour des cours de mon année de 1ère (ça remonte à 4 mois), pour fêter la fin des cours, tout le lycée va dans la même boîte le soir-même (ça fait du monde). Un truc que tout le monde fait avant d'aller en boite, c'est de boire de l'alcool, histoire de pas rentrer complètement à jeun. Ce soir là, j'avais un peu forcé la dose, et donc je me suis retrouvé complètement bourré (le whiskey coca plus whiskey que coca, ça tappe).

Ensuite, tout le monde rentre en boite, le début de soiré ce passe à peu près convenablement jusqu'a ce que je remarque une des filles de ma classe, fille forte attirante avec qui je voulais sortir depuis déjà quelques temps.

Vu mon état, il aurait été simple d'aller tout simplement la voir, mais ayant encore un peu de raison (et ouais !), je me met à douter & commence à me sentir mal (devoir être bourré pour demander à une fille de sortir avec moi, bof). Bref, pour essayer de me calmer, j'enchaine clope sur clope, sans succès (je fume qu'en soirée, mais ça osef).

Le hic, c'est que trop fumer quand on est bourré, ça peut vous faire vomir ... Et quand vous vomisser sur une banquette dans une boite, vous avez toutes les chances de vous faire virer. Me voilà donc, à 1h30 du matin, dehors, dans le froid, tout seul & encore bien bourré.

Environ 1h00 après, un pote viens me chercher & demande au videur de me laisser re-rentrer, chose qu'il fait très gentillement. Je me retrouve donc de nouveau dans la boite à 2h30 du matin, toujours bourré. Je décide donc de rester à l'entrée, attendant que l'on vienne me chercher une heure plus tard. Là, je croise une autre fille de ma classe qui m'apprend que la fille avec qui je voulais sortir c'était trouvé un copain ...

Dégouté, je préfere rester tranquillement assis, en espérant que la soirée se termine vite. Quelques minutes plus tard, la fille avec qui je voulais sortir & son nouveau copain arrivent dans l'entrée eux-aussi. Vu la tête de déterré que j'avais, la fille me demande ce qui ne va pas (alors que son nouveau copain était en train de l'enlacer et de lui mettre une main au cul), ce à quoi je répond "Nan, rien"... Elle me repose la question, je lui répond la même chose, elle n'insite pas plus & s'en va ... Fin de la soirée.

Bon, après ça se poursuit sur les jours suivants pour se finir sur un beau rateau du genre "je te vois comme un copain & je suis bien avec mon mec".

Sympa quelques jours avant des épreuves du BAC !

Edit : Voilà les 1ères réactions auxquelles j'ai eu le droit.

Les réactions IRCéennes dit :

[01:19] <@herc> pakewl ton histoire Arkangel
[01:40] <&Calintz> aha excellente ta loose ark
[13:13] <~DeathScythe> Jolie ta loose Ark

Ce message a été modifié par Arkangel - mercredi 06 octobre 2004 à 12:21.

"Trying is the first step towards failure." Homer Simpson

Posté mercredi 06 octobre 2004 à 19:12 (#58) L'utilisateur est hors-ligne   Chico008 

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et bah, quand je vous lit, je peut vous dire en tout sinserité (je connais pas l'orthographe de ce mot, desoler) que je compatis.

j'ai quelque plan loose, mais pas aussi beau que les votres, et qui ne vaillent la peine d'etre raconter ici, je me tairais donc.


<= retrospective de sign, ou :
l'evolution de l'utilisation de photoshop

Posté jeudi 07 octobre 2004 à 21:40 (#59) L'utilisateur est hors-ligne   herc 

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Il ya environ 2 semaines, je commande le dvd d'azumi. Le jour où je le reçois, je suis invité à l'anniversaire d'un pote, et comme j'ai été prévenu au dernier moment, j'avais rien prévu. Je lui ai donc offert mon dvd. J'ai recommandé ce film il y a quelques jours, et ... rupture de stock chez le fournisseur
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Posté vendredi 08 octobre 2004 à 01:10 (#60) L'utilisateur est hors-ligne   Boulayman 

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Il ya environ 2 semaines, je commande le dvd d'azumi. Le jour où je le reçois, je suis invité à l'anniversaire d'un pote, et comme j'ai été prévenu au dernier moment, j'avais rien prévu. Je lui ai donc offert mon dvd. J'ai recommandé ce film il y a quelques jours, et ... rupture de stock chez le fournisseur


Mouahahahaha, mddddddrrr mais quel boulay lui ^^ ( il m'est arrivé exactement la meme chose il y a presque deux ans, ( payé en live pas online ^^) avec les Sentiers de la perdition ) sauf que moi je me le suis po repayé ensuite, je vais pas m'Acheter deux fois le meme film quand meme :unsure:
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ENCORE Un grand merci a Gigueur pour cette nouvelle signature
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