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Le fait du jour ! qu'est ce qui vous a marqué dans l'actualité du moment ?
Posté samedi 10 octobre 2009 à 03:44 (#3721)
Voilà qui donnera de l'espoir à Domenech d'être élu meilleur sélectionneur de la planète. Tiens il ne faudra pas être surpris de le voir dans le top 5 du ballon d'or cette année <_<
scoop!!! voici les lauréats du nobel de chimie!!! : Prix nobel de chimie^^

Posté samedi 10 octobre 2009 à 10:45 (#3722)
Citation
Jean Sarkozy est appelé à régner sur le quartier d'affaires de la Défense. A 23 ans, le fils cadet du président de la République se prépare à être élu, le 4 décembre, à la présidence de l'Etablissement public d'aménagement de la Défense (EPAD), un poste occupé jadis par son père, président du conseil général des Hauts-de-Seine, de 2004 à 2007. Le conseiller général du canton sud de Neuilly- sur-Seine poursuit son irrésistible ascension vers la conquête programmée du conseil général en 2011.
Impuissant à repousser l'échéance, Patrick Devedjian en a pris son parti. Agé de 65 ans depuis le 26 août, le président (UMP) du conseil général est atteint par la limite d'âge qui l'oblige à renoncer à la présidence de l'EPAD. Jeudi 8 octobre, en l'absence de M. Devedjian, en déplacement à Dubaï, M. Sarkozy a reçu dans un "consensus absolu et intégral", selon un élu, le soutien de tous les conseillers présents de la majorité à sa candidature au poste d'administrateur de l'EPAD.
"PRINCIPAUTÉ LOCALE"
Le conseil général dispose de deux sièges au conseil d'administration de l'établissement. M. Devedjian avait fait savoir qu'il souhaitait rester administrateur. En annonçant, jeudi, sa démission de son fauteuil à l'EPAD, Hervé Marseille, vice-président (Nouveau Centre) du groupe a providentiellement ouvert la voie à la candidature de M. Sarkozy. Le conseil général l'entérinera en séance plénière, le 23 octobre. Le conseil d'administration de l'EPAD devrait l'élire président le 4 décembre.
"A la tête de la majorité au conseil général, Jean Sarkozy est le plus légitime pour représenter le département à l'EPAD. Il incarne l'avenir politique des Hauts-de-Seine", se félicite Thierry Solère, conseiller général (UMP) desHauts-de-Seine.
M. Sarkozy accède ainsi aux commandes – sans rémunération ni avantage en nature – d'un établissement qui, fin 2008, réalisait un chiffre d'affaires d'1 milliard d'euros et dégageait 350 millions de bénéfices grâce à la commercialisation des mètres carrés de bureaux du quartier d'affaires.
Depuis la crise qui ralentit les investissements immobiliers, la Défense est menacée de déficit. Pour financer, notamment, les travaux d'aménagement, le gouvernement s'apprête à fondre dans un seul établissement l'EPAD et l'Epasa, l'établissement public d'Etat qui aménage les terrains de Nanterre depuis 2000. Alors que la Défense n'a plus guère de surfaces non bâties ou en friche, Nanterre possède encore une réserve de terrains propices à d'importantes opérations immobilières.
En devenant, au plus tard en mars 2010, le patron de ce nouvel établissement public, l'"Epadsa", Jean Sarkozy aura la haute main sur l'aménagement d'un périmètre de près de 800 hectares répartis sur Courbevoie, Puteaux, Nanterre et La Garenne-Colombes. Il se positionne à la tête du territoire le plus stratégique par son potentiel économique du futur Grand Paris, voulu par Nicolas Sarkozy.
On assiste au renforcement d'une "principauté locale par succession de père en fils grâce à des manœuvres de couloir", protestent les élus socialistes des quatre villes concernées par l'Epadsa. "Au-delà des questions d'aménagement, il s'agit bel et bien d'assurer la pérennité du clan et de verrouiller les organes de décision de tout le secteur", dénonce Patrick Jarry, le maire (PCF) de Nanterre. "L'objectif aujourd'hui doit être de bâtir une cathédrale et non plus de se complaire dans des querelles de clocher", réplique Jean Sarkozy.
source
Vous croyez qu'il a été pistonné... nooon qu'en même pas ! lool
Citation
Après la polémique sur ses écrits, Frédéric Mitterrand se défend a présent sur le témoignage de moralité qu'il a apporté à deux hommes accusés à La Réunion de viol, en affirmant qu'il a "apporté (son) témoignage sur la moralité d'une famille", et juge que c'est "immonde" et "dégueulasse" de l'attaquer sur ce sujet.
Dans une interview au Journal du Dimanche daté de samedi, le ministre de la Culture réagit avec virulence à la publication par le Quotidien de la Réunion d'un fac similé d'une lettre dans laquelle il apportait un témoignage de moralité à deux hommes jugés, en mars dernier, devant la cour d'assises des mineurs de Saint-Denis-de-La-Réunion pour viol collectif sur une jeune fille de 16 ans.
"Je ne supporte plus ces attaques. C'est immonde! Il s'agit d'une chose simple que je peux très facilement expliquer. J'ai apporté mon témoignage sur la moralité d'une famille, celle de mon ancienne maquilleuse sur France 2", explique M. Mitterrand.
"Il y a des années, elle m'avait demandé d'être le parrain de son fils qui porte mon prénom. Je ne l'ai vu que cinq fois dans ma vie. Je n'en sais pas plus. Je me suis occupé de cette femme et de son fils comme je me suis occupé d'autres personnes dans ma vie qui avaient besoin de moi", poursuit-il.
Comme on lui demande s'il pense qu'on "s'acharne sur lui", il répond: "Je suis indigné qu'on vienne me chercher sur cette affaire. Je le répète: c'est dégueulasse!".
"N'avez-vous jamais aidé quelqu'un dans votre vie. Ce que l'on me fait est honteux. Je ne suis pas parano. Il ne s'agit pas de complot mais si je m'appelais Tartampion, je ne subirais pas les mêmes indignités".
Les deux hommes pour lesquels il apporte son témoignage de moralité ont été condamnés à huit ans de prison et seront rejugés en appel pour cette affaire à la fin du mois d'octobre.
"Depuis que je suis arrivé au Ministère de la Culture, j'agis. Il y a eu notamment la loi Hadopi. On veut sans doute me le faire payer", ajoute le ministre.
Invité à dire comment il aborde la semaine à venir, il affirme: "avec sérénité. J'ai dit ma vérité. Je suis sûr qu'elle sera comprise".
"La politique est un univers que l'on connaît bien. Quand on s'appelle Mitterrand, on n'a pas de surprise", conclut le ministre de la Culture.
Posté samedi 10 octobre 2009 à 11:07 (#3723)
Citation
[...]
Dans une interview au Journal du Dimanche daté de samedi, le ministre de la Culture réagit avec virulence à la publication par le Quotidien de la Réunion d'un fac similé d'une lettre dans laquelle il apportait un témoignage de moralité à deux hommes jugés, en mars dernier, devant la cour d'assises des mineurs de Saint-Denis-de-La-Réunion pour viol collectif sur une jeune fille de 16 ans.
[...]
Je ne l'ai vu que cinq fois dans ma vie. Je n'en sais pas plus. Je me suis occupé de cette femme et de son fils comme je me suis occupé d'autres personnes dans ma vie qui avaient besoin de moi", poursuit-il.
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Faut vraiment être con pour témoigner de la moralité d'une personne que l'on n'a vu que 5 fois dans sa vie. Bonjour la valeur du témoignage !
Posté samedi 10 octobre 2009 à 11:07 (#3724)
Posté samedi 10 octobre 2009 à 19:47 (#3726)
Citation
Visiblement excédé par le bruit, un homme âgé de 55 ans a abattu quatre personnes chez ses voisins vendredi soir au Raincy (Seine-Saint-Denis), avant de se suicider, a-t-on appris de source policière.
Le drame s'est produit après 23h quand l'homme a tué avec une arme de poing un couple de voisins, dont la femme était enceinte de 7 mois, et un couple d'amis. L'agresseur, qui a épargné les deux enfants présents, les filles de chacun des couples, s'est ensuite suicidé chez lui. L'enquête a été confiée au Service départemental de police judiciaire (SDPJ).
Selon Sébastien Bailly, No2 du syndicat policier Alliance en Seine-Saint-Denis, les policiers arrivés sur place après avoir été alertés vers 23h15 ont découvert "quatre personnes touchées par balle qui gisaient dans leur sang". Il a précisé que le meurtrier s'était ensuite retranché dans son appartement, avant de se donner la mort.
Le quinquagénaire "n'était pas disposé ce soir-là à accepter un tapage" nocturne et a cédé à "un accès de folie", a expliqué M. Bailly. "Au lieu d'aller négocier avec ses voisins, il a pris l'arme (...) en sa possession et a réglé ses comptes de cette manière-là".
Selon des voisins qui ont requis anonymat, le meurtrier était connu pour être irascible. Il aurait déjà eu des différends avec le couple qui recevait souvent des invités et se plaignait du bruit. L'homme, qui semble avoir utilisé un pistolet 9mm, vivait avec son père, un ancien policier, absent ce soir-là de l'appartement familial.
Posté dimanche 11 octobre 2009 à 14:16 (#3727)
Citation
L'Iran dispose de capitaux dans le nucléaire français, dit Areva
PARIS (Reuters) - L'Iran détient depuis plus de trente ans 10% de l'usine d'enrichissement de l'uranium française Eurodif, a déclaré mardi le groupe nucléaire français Areva, confirmant un article du Canard enchaîné. Cette révélation intervient alors que le programme nucléaire iranien fait l'objet d'une intense bataille diplomatique après l'annonce, la semaine dernière, de l'existence d'un second site d'enrichissement de l'uranium près de la ville sainte de Qom.
Selon une porte-parole d'Areva interrogée par Reuters, l'Iran, malgré sa participation au sein d'Eurodif, n'a jamais reçu d'uranium enrichi de la France ni bénéficié de transfert de technologie nucléaire.
D'après Le Canard enchaîné, l'entreprise Eurodif, implantée sur le site nucléaire du Tricastin (Drôme), est détenue à 25% par la Société franco-iranienne d'enrichissement de l'uranium par diffusion gazeuse (Sofidif), laquelle est elle-même détenue à environ 40% par l'Organisation de l'énergie atomique iranienne. Areva détient les 60% restants de la Sofidif.
"Cette participation n'a jamais été cachée et il y a une transparence complète sur l'actionnariat", a déclaré la porte-parole d'Areva. "L'Iran n'a jamais reçu le moindre gramme d'uranium enrichi de la France", a-t-elle ajouté, qualifiant l'Iran de "partenaire dormant de l'Eurodif".
Selon elle, il n'y a pas eu non plus de "transfert de technologie" nucléaire de la France vers l'Iran.
Les six pays engagés dans les négociations sur le programme nucléaire iranien - les cinq membres permanents du Conseil de sécurité de l'Onu et l'Allemagne - ont sommé Téhéran de s'expliquer jeudi à l'occasion d'une réunion prévue à Genève.
L'Iran oppose une fin de non-recevoir, arguant qu'il n'a pas enfreint les règles internationales puisqu'il a porté à la connaissance de l'Agence internationale de l'énergie atomique (AIEA) l'existence du second site d'enrichissement, construit sous une montagne.
Muriel Boselli, édité par Clément Dossin
ralalal tiens depuis le temps que ca dure on s'en rend ocmpte que maintenant... c'est bien comme le bouquin de tonton junior >_<