Les manga kissa Petit sondage pour savoir si...
Posté jeudi 04 mai 2006 à 00:05 (#16)
C'est toujours ouvert, alors que ça existe depuis 2001 (si je dis pas de bétises) et ça marche pas mal. Je connais des gens qui vont lire des trucs en prenant un café, après avoir déjeuné à la pause du midi (que ce soit étudiants ou travailleurs). Il ya des mangas et des bédés.
Je me demande comment c'est rentable pour les éditeurs (c'est comme la fnac et les lecteurs dans les couloirs).
2. Se forger dans la voie en pratiquant soi-même.
3. Embrasser tous les arts et ne pas se borner à n’en pratiquer qu’un seul.
4. Connaître la voie de chaque métier, et ne pas se borner à celui que l’on exerce soi-même.
5. Savoir distinguer les avantages et les inconvénients de chaque chose.
6. En toutes choses, s’habituer au jugement intuitif.
7. Connaître d’instinct ce que l’on ne voit pas.
8. Prêter attention au moindre détail.
9. Ne rien faire d’inutile.
Posté jeudi 04 mai 2006 à 14:05 (#17)
magetoolien, le 04/05/2006 à 01:05, dit :
j'avou que j'ai squatté la fnac plusieurs fois ^^
Sinon j'avou que ca pourait être sympas des pitits truc comme ca, mais comme tu le dis, magetoolien, ca serait beaucoup moin rentable, et puis si il y en avait un peu plus, et qu'ils etaient un peu plus connus, ca serait surement la cohu pour aller lire un ptit livre. Peut être que si des magasins proposait ce genre d'endroit, ca pourait peut être leur rapporter plus...ou moins, faudrait calculé approximativement en fonction de leur prix et tout ca...au pire il pourait limité les livres, par exemple par le droit de lire un art book, ou de lire un "gro" manga, comme les dbz qui font des centaines de pages.
Posté jeudi 04 mai 2006 à 18:11 (#18)
Sur l'idée de manga kissa, moi je trouve que c'est plutôt un concept intéressant. J'adhère bien à ce que dit Lesrode, sur le principe par exemple de se faire un dvd entre amis autour d'un verre. C'est quelque chose de sympa et d'alléchant. Et pis avoir un bouquin à disposition quand on va boire un verre ou un café, c'est kioul.
http://www.japonfacile.com/
Japon Facile - Site de photos, vidéos et infos sur le Japon & Blog sur l'actu japonaise
Posté jeudi 04 mai 2006 à 19:02 (#19)
Posté vendredi 05 mai 2006 à 22:38 (#20)
Junta dit :
C'est le genre de concepte dont je serais volontié client si ça existait dans mon blède.
On s'éloigne quand même pas mal du manga kissa, mais rien ou presque est transposable sans gros ou petits ajustements.
Posté vendredi 05 mai 2006 à 23:00 (#21)
Puppets_Master, le 05/05/2006 à 23:38, dit :
C'est sur que ca serait enorme de pouvoir se faire des animes ou des films en groupes en étant rassuré que les parents soir d'accord. Aprés ca pourrait faire aussi des tarifs de nuits pour les adultes, voir même les + de 15ans (je parle pas de hentai hein :shifty:, juste de faire une "nuit special anime") ou un certain age avec l'accord parental.
Avec de l'idée ca pourait devenir un melange de Presse (on pourrait trouver des magazines parlant de mangas, jeux videos et tout ce qui s'en rapproche) Boutique de mangas (donc vente de manga et d'anime) et un bar-manga (avec salles fumeurs et non fumeurs, alcool pour les ados, et friandises pour ne pas avoir le ventres vide.
Mais bon faut avoir pas mal d'idées (et des sous surtout) quand même pour inover dans un tel projet!
Posté mardi 23 mai 2006 à 20:00 (#22)
Citation
Je confirme, je n'irai pas dépenser 3 eures dans un manga kissa.
Posté mardi 23 mai 2006 à 22:26 (#23)
Posté samedi 05 août 2006 à 00:53 (#24)
Tu payes 4 euros la première heure et 1,5 euros la demi heure supplémentaire. Pendant le temps où tu es à l'intérieur tu as boissons gazeuses et boissons chaudes à volonté ainsi que la possibilité de lire tous les mangas qu'ils ont. Il y a même possibilité de jouer à des jeux vidéos mais comme c'était pas mon truc je suis pas partis voir.
On est resté une heure et on a eu le temps de lire un manga (je suis un peu lente), Fae chan a eu le temps d'en lire un et demi (je dirais c'était quoi le 1 lol)
Le principe est sympa et quand tu vois que pour boire un coca c'est 4 euros sur une terrasse sur Paris, là t'as la possibilité de lire un manga en même temps. En plus c'est assez confortable, on s'est mis sous la mezzanine on était tranquille.
Voici leur site :
Manga Café
Franchement j'y retournerais, ça permet de lire des séries qu'on a peut etre pas spécialement envie de lire en temps normal et de pas être debout comme à la fnac ou au virgin !!!!
Posté samedi 05 août 2006 à 01:04 (#25)
naru-narusegawa, le 05/08/2006 à 01:53, dit :
Wais ben d'abord j'assume vachement bien que je lis du hentai, na. (nan mais euh j'allais pas l'acheter ce truc c'était méga nul xD)
naru-narusegawa, le 05/08/2006 à 01:53, dit :
Certes, c'est pas mal du tout, y a des fauteuils etc mais nous on était dans une sorte de niche pour 1 ou 2 personnes, on s'adosse sur des coussins et on lit à moitié affalé, c'est bien confortable en effet ^^. (et pis intime aussi, huhuhu)
En tout cas très bonne impression itou, même si dommage y a pas TOUS les manga (y avait pas celui que je cherchais ) mais c'est du chipotage vu le choix qu'il y a... (et c'est même pas très cher en plus)
A préciser que les tarifs changent un peu selon les horaires heures pleines/heures creuses.
Posté vendredi 15 septembre 2006 à 14:01 (#26)
J'ai lu un article bien intéressant dans libé. (voir ci-dessous) et je me demandais s'il existait d'autres endroits comme ça en France.
Bien sûr le concept librairie/café n'est pas nouveau et se développe de plus en plus, mais spécialisé en manga je trouve ça pas mal...
PS : j'ai peut etre mal placé ce sujet... j'avoue que je ne savais pas ou le mettre....
Café A Paris, le Manga Café met à disposition, moyennant un forfait horaire, 8 000 livres qui balaient cette culture japonaise.
Cocktail de mangas en «open bar»
Par Nicolas BAUCHE
QUOTIDIEN : Vendredi 15 septembre 2006 - 06:00
Manga Café 11 bis, rue des Carmes, 75005. Rens. : 01 43 26 55 59 et www.mangacafe.fr Mar.-sam. de 10 h 30 à 22 heures, lun. et dim. de 14 heures à 22 heures. Première heure 3 € (creuse) ou 4 € (pleine), demi-heure sup. 1,50 €.
Les otakus, ces mordus du manga, sortent de la clandestinité. Le couvre-feu imposé voici quinze ans par les programmes jeunesse de la télé, refourguant l'après-midi du seinen (la version un poil violente du manga adulte) à haute dose, est enfin levé. «Avec dix millions d'exemplaires vendus par an, la France est le deuxième marché au monde de mangas après le Japon», assure Ben Kordova, 21 ans, dont le Manga Café a ouvert, rue des Carmes à Paris, depuis la fin juillet. Dans le petit triangle d'or de l'animation nipponne cintrant le Quartier latin entre les objets dérivés (Asian Alternative, rue Monge) et les comics (Pulp's comics, rue Dante), il inscrit une nouvelle adresse au répertoire de cette fratrie nébuleuse. Sans centre, ni périphérie, «un peu comme le Net» .
Design soigné. «Cette bibliothèque privée» a commencé par un clic. Pour adapter à la sauce française les mangakissas , ces coffee houses nées en 1979 dans le quartier remuant de Nagoya, Ben a surfé sur la Toile «trois, quatre mois» durant, recroisant les infos glanées sur des sites japonais. Histoire de ne pas se planter, le sorbonnard, une maîtrise d'écogestion en poche, monte un business-plan avec un cabinet comptable. «20 ans, sans fric... Peu de banques étaient prêtes à soutenir le projet», se rappelle-t-il. D'autant que le mangakissa pur jus a de quoi rebuter : «Pas de musique, ni d'alcool, on vient pour lire ou jouer aux jeux vidéo.» Mais l'ambiance zen attire. Design soigné, sofas, tatamis rouge cerise dans les renfoncements et, en fresque murale, une nymphe de manga éthérée, le kimono aux quatre vents. Certaines femmes du quartier y ont déjà leur QG, feuilletant des magazines entre deux bouffées de cigarette.
«Le manga et les filles, c'est une grande histoire d'amour, s'amuse Ben, rappelant la vague du cosplay , ces fans qui se déguisent en héroïnes de manga, venue jusqu'à sa porte. Depuis l'ouverture, une vingtaine d'adolescentes nous ont contactés pour savoir si on organisait des soirées à thème.» Naturellement, les jeunes otakus affluent vers cette caverne d'Ali Baba. A 10 euros le manga, la lecture leur revient cher et l'édition se renouvelle à la cadence infernale de cent nouveautés par mois. «Au début, on ciblait les squatteurs de la Fnac et Virgin : les 15-20 ans sans le sou.»
C'est «la génération post-Goldorak» qui constitue le gros de sa clientèle, des trentenaires biberonnés dans les années 80 aux prémices du genre, Cat's Eyes , Cobra et consorts. «Avant, c'était la honte de lire des mangas, ça faisait gamin. Les éditeurs s'en foutaient, les traductions étaient bâclées, limite débiles. Dix ans après, les mangas se sont bien installés dans la culture», constate Mathieu, 27 ans. Et de citer les hits du moment, Naruto , un ado démoniaque qui veut devenir ninja, Fruits Basket ou le sombre Monster, l'histoire d'un médecin traquant un serial killer.
Bizarrement, les best-sellers ne sont pas les plus lus sur place. Gros bouquineurs, les otakus viennent en repérage, se délestent du sésame de 4 euros et prennent quelques mangas, les parcourant avant de se décider. Mathieu fanfaronne : «En une heure, je t'abats trois tomes.» Sur la mezzanine, 8 000 volumes balaient tous les styles, du shojo à l'eau de rose au porno d' Angel, censuré par le CSA en 1995. Les pièces rares, elles, sont rangées à part dans une armoire où s'alignent les grosses prises, les introuvables qui ne seront plus réédités, «la collection des Candy, le premier manga paru en France, en 1993, et acheté 400 euros via le Net à une librairie libanaise», explique Ben.
Passage à tabac, viol. Il faut tout de même reconnaître que le manga a de quoi déconcerter. Coq de combat en mains, Gnenhoury, Franco-Cambodgienne de 25 ans, feuillette les pages sous le nez d'un Texan, joueur de poker. Elle pile sur les scènes où le héros, d'abord passé à tabac en prison, se fait violer par ses compagnons de cellule. Verdict de son voisin d'outre-Atlantique ? «Porn !»
Ce message a été modifié par Lesrode - vendredi 15 septembre 2006 à 17:55.
Posté vendredi 15 septembre 2006 à 14:23 (#27)
Le manga "Angel" censuré par le CSA (Conseil Supérieur de l'Audiovisuel), en plus je pense pas qu'il avait était interdit, le manga de chez Tonkam devait juste ne pas être à la vu de tout le monde dans les librairies. Après "Candy, le premier manga paru en France", faut arrêter le délire... Voila ce qui reste de la presse en france : désinformation et fait divers inventés...
Posté vendredi 15 septembre 2006 à 14:29 (#28)
Alexkiddmw, le 15/09/2006 à 15:23, dit :
En lisant l'article, on voit que les propos sur candy ne proviennent pas du journaliste, mais du proprio.
A bon entendeur.
Sinon, jolie initiative, possible uniquement dans une (très) grande ville malheureusement.
Mais l'effort est bien vu. Faut lui souhaiter bon courage
Officiellement misanthrope, et quasiment agoraphobe. Misogyne pour taquiner (pas par conviction).
Tendance sociopathe les jours de grande fatigue (85% du temps).
Un esprit sain en somme
Posté vendredi 15 septembre 2006 à 14:37 (#29)
Posté vendredi 15 septembre 2006 à 14:51 (#30)
Alexkiddmw, le 15/09/2006 à 15:37, dit :
Que veux tu , il y a un point de vu général , qu'il faut suivre pour ne pas passer pour con ! " Les mangas c'est que dla violence et des ptites culottes " !!
Mais l'idée est vraiment bonne !! J'aimerai bien qu'y en ai un chez moi ! En tout cas la prochaine fois que je monte à Paris j'y fais un tour !!
Ext le naïf dit :